La santé publique, une mamelle pour les pharmas
L'épidémie de Covid a été une source privilégiée de revenus octroyés par l'Etat, pour payer des médicaments chers mais peu utilisés, au détriment de la prévention et de traitements efficaces
McKinsey, «la Firme» qui veille sur votre santé en conseillant chèrement nos Etats
Le «coup d'Etat sanitaire mondial» de McKinsey et des pharmas est décortiqué en détail par des observateurs et des élus. On parle même d'un pillage organisé des denier publics
Comment Bill Gates contrôle l’OMS et impose au monde son idéologie vaccinale
La santé mondiale ne répond plus à l’intérêt public, mais aux forces de l’argent. Et la vaccination, devenue une source majeure de rentabilité, a pris le pas sur d'autres priorités sanitaires. Cet article fouillé du journaliste scientifique Xavier Bazin explique l’influence démesurée du fondateur de Microsoft en direction d’une médecine hypertechnologique
Urgence levée au Canada: vers une enquête parlementaire sur la répression de Trudeau
Après une dispersion violente des Convois de la Liberté à Ottawa, le premier ministre a annoncé le 23 février la levée de La loi sur les mesures d'urgence, qui permettait notamment de geler des avoirs bancaires. Sa répression musclée a suscité de fortes réactions dans le monde. Au Canada même, sept provinces sur dix l'ont clairement désavoué, annonçant un allègement des restrictions. Aux Etats-Unis, un convoi s'est mis en route.
«PLUS JAMAIS ÇA !»
Les mesures sont levées... Maintenant faisons la lumière, réclame l'ADEPSM
Canada : les comptes personnels des camionneurs et de leurs soutiens pourront être bloqués
Les banques sont désormais autorisées à geler les avoirs de toute personne ou entreprise soupçonnée de financer des activités illégales. Et ce, sans ordre de justice. Les plateformes de financement participatif sont aussi touchées par ces nouvelles mesures de contrôle, dans le cadre de la loi d'urgence décrétée dans le pays.
Révoltée par les mesures scolaires, une enseignante a quitté son poste
Nathalie Bourgeois est maîtresse enfantine quelque part dans le canton de Vaud. Lorsque la décision a été prise de masquer les enfants de huit ans, elle s'est mise en arrêt. Non sans avoir envoyé un courrier à la cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture, afin de lui expliquer le mal-être qu’elle ressent depuis deux ans face aux mesures scolaires.