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Une discrète étude de l’université de Stanford démontre l’inutilité des masques face au Covid

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Avez-vous entendu parler de l’étude “révisée par les pairs” Facemasks in the COVID-19 era: A health hypothesis réalisée par l’Université de Stanford ? Elle démontre au-delà de tout doute raisonnable que les masques faciaux n’ont aucune chance d’empêcher la propagation du Covid-19.

Elle a été publiée sur le site gouvernemental du National Center for Biological Information. Le NCBI est une branche de l’Institut national de la santé (NHI).
On pourrait donc penser qu’une telle étude serait largement relayée par les médias grand public et adoptée par les personnes “éprises de science”. Pourtant, une recherche sur DuckDuckGo révèle qu’elle n’a été reprise par aucun média grand public au 17 avril 2021, selon le journaliste américain JD Rucker.
Voici les conclusions de l’article du Pr Baruch Vainshelboim, cardiologue à l’Université de Stanford :
“Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l’efficacité du port d’un masque facial comme intervention préventive pour le COVID-19. Les données suggèrent que les masques médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que le SRAS-CoV-2 et le COVID-19, ce qui milite contre l’utilisation des masques.
Il a été démontré que le port de masques faciaux a des effets physiologiques et psychologiques négatifs importants. Il s’agit notamment de l’hypoxie, de l’hypercapnie, de l’essoufflement, de l’augmentation de l’acidité et de la toxicité, de l’activation de la réaction de peur et de stress, de l’augmentation des hormones de stress, de l’immunosuppression, de la fatigue, des maux de tête, du déclin des performances cognitives, de la prédisposition aux maladies virales et infectieuses, du stress chronique, de l’anxiété et de la dépression. Les conséquences à long terme du port du masque facial peuvent entraîner une détérioration de la santé, le développement et la progression de maladies chroniques et un décès prématuré. Les gouvernements, les décideurs politiques et les organisations de santé devraient utiliser une approche prospère et fondée sur des preuves scientifiques en ce qui concerne le port de masques faciaux, lorsque celui-ci est considéré comme une intervention préventive pour la santé publique.”
L’article a depuis été rétracté, d’une manière accessoirement douteuse au possible.

Le motif annoncé étant :

“A broader review of existing scientific evidence clearly shows that approved masks with correct certification, and worn in compliance with guidelines, are an effective prevention of COVID-19 transmission”.

En français : “Un examen plus large des preuves scientifiques existantes montre clairement que les masques approuvés, correctement certifiés et portés conformément aux directives, constituent une prévention efficace de la transmission du COVID-19”.

Ce qui n’est pas un motif acceptable pour le retrait d’un papier puisqu’il suppose une hypothèse non objective et dépendant d’un jugement de valeur (“clearly shows” est un terme relatif). De plus il n’y a pas de sources. Un exemple (de plus) de censure pseudo-scientifique ?!