Ce rassemblement s’inscrit dans le cadre de la 10e Journée mondiale contre la traite des personnes, créée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2014.
La manifestation aura lieu mardi 30 juillet 2024 de 18h à 20h30, à Genève, aux “Canons”, rue de l’Hôtel-de-Ville.
Prise de parole d’une survivante (qui s’exprime dans le film Les Survivantes de Pierre Barnérias, actuellement au cinéma), de Corinne Fonseca, mère qui dénonce le placement abusif de ses enfants (voir son interview ci-dessous), de Michelle Cailler, juriste, Chloé Frammery, Dr Dominique Chatton, Jean-Dominique Michel, anthropologue, et Olivier Pahud, reporter citoyen.
Témoignage de Corinne Fonseca, qui dénonce le placement abusif de ses enfants, interviewée par Olivier Pahud :
Témoignages et interviews de 3 députés cantonaux par Olivier Pahud, sur les placements abusifs des services de protection de l’enfance en Suisse :
Témoignages 50 voix de violence rituelle (50 Voices of Ritual Abuse) en français :
🔸YouTube: https://m.youtube.com/@50voixdeviolencerituelle
🔸Odysee: https://odysee.com/@50voixdeviolencerituelle:6
Documentaire “Pédocriminels, la traque” d’1h30 à visionner avant le 26/08/2024. Avec le développement du numérique, Internet est devenu le terrain de chasse privilégié des prédateurs. Dans cette enquête dans huit pays, Laetitia Ohnona s’infiltre au sein des forces policières qui luttent contre la pédocriminalité: https://www.arte.tv/fr/videos/113627-000-A/pedocriminels-la-traque/
Parce que les deux que vous nommez ne sont pas de la véritable opposition, au contraire d’Ariane Bilheran qui est toujours restée intègre et précise sur les mots, et qui subit beaucoup d’attaques. Idem de Pierre Barnérias, intègre toujours. La véritable opposition est très très très minoritaire.
La propagande peut être stubtile autant que grotesque, et vous avez bien raison de souligner les incohérences du discours, et l’utilisation d’un vocabulaire qui devrait pourtant être vivement dénoncé. La vérité reste toujours la même, alors que le mensonge, et les demi-vérités qui ne sont rien d’autre que des mensonges, sont mouvants et on finit par les repérer si on garde un œil attentif. Mêler un peu de faux à beaucoup de vrai est la tactique multiséculaire du diable et de ses sbires. Tactique reprise par les propagandistes et leurs serviteurs.
Les “lanceurs d’alerte” et “résistants” qui ne commencent pas par dénoncer les mots pervers et le vocabulaire menteur ne sont pas fiables.
Bravo pour votre dénonciation du traître Jean-Dominique Michel ! Voici deux liens qui permettront aux intéressés d’ en savoir plus sur ce sinistre individu.
Commentaire d’Émilie Mugabo
https://docs.google.com/document/d/1Hemm99YoCAexQU4vhAoVo58yO92NCDvPwwDY_wBqbWo/edit?usp=drivesdk
Un de mes commentaires:
https://dr.kreyts.fr/2024/07/03/qui-pour-repondre-au-defi-lance-par-jean-dominique-michel/
Ce genre de message et de “chasse à l’homme” permettra en effet à chacun de faire son opinion sur qui sert quelle cause et pourquoi. Vos attaques incessantes contre Didier Raoult ne diffèrent en rien de celles venant du gouvernement français et des médias mainstream. Prêt pour la légion d’honneur comme Karine Lacombe ?…
On voit hélas les mêmes procès d’intention, injustes et dommageables, être portés systématiquement par des personnes prétendant détenir seuls la vérité et s’offusquant de toutes nuances en la matière.
La seule question est de savoir si nous sommes d’accord que les enfants ne doivent jamais, sous aucune forme, être exposés à la sexualité des adultes.
Sur cette base, nous devons pouvoir tolérer des nuances sur les analyses en fonction des savoirs disciplinaires et des expertises de chacun.
Marion Sigault, qui est la première à avoir fait connaître le travail de Judith Reisman et le danger des programme d’éducation à la sexualité de l’OMS en France, considère que d’autres se sont appropriés de manière indue son travail. Ce sont ces mêmes aujourd’hui qui prétendent avoir le monopole de la vérité sur ces questions.
Les prétentions à la pureté et à nommer la fausse opposition (les autres) de la vraie (ceux qui pensent comme nous) ne font que reprendre les tours toxiques de nos oppresseurs. Si je trouve sain que chacun exprime son avis, il faut nommer le côté problématique et destructeur de cette dérive mimétique.
J’ai pris la responsabilité de signaler ce risque, dont certains commentaires laissés ici montrent la réalité, ce qui m’avait valu d’être d’autant plus violemment attaqué.
Il en faudrait bien plus pour m’intimider.
Cela est allé jusqu’à des appels à la violence, cautionnés par d’aucuns parmi ceux dont je parle : “Le sophiste, une race loin d’être en voie d’extinction. Sa “chasse” déjà autorisée devrait être encouragée… tant dans le camp oppresseur que dans la fausse dissidence.”
Que chacun se demande qui sert quelle cause, et en quoi le fanatisme intolérant semant la division dans nos rangs diffère de ce que nos oppresseurs souhaitent voir arriver, soit que nous entrions en conflit les uns avec les autres au lieu de nous rassembler sur ce qui compte.
La vraie “opposition contrôlée” n’est pas forcément là où on croit…
Nous avons élaboré cette situation directement avec François de Siebenthal le lendemain de cet incident, sur lequel j’ai aussi communiqué publiquement. Et je n’ai jamais fichu les pieds de ma vie chez les francs-maçons !
La parano est hélas aussi bien présente dans la “résistance”…
Eh bien mettons que votre modération ne suit guère les principes sains que vous énoncez.
Laisser place à la libre expression d’attaques personnelles et d’opinions sectaires revient à cautionner ce que vous dites vouloir éviter.
Je le regrette.
Je réponds très volontiers : j’ai souvent souligné la qualité du travail de l’ONEST, nombre de mes vidéos en témoigne.
En revanche, ses membres ne tiennent pas compte de la définition du dictionnaire du mot “sexualité” et ré-écrivent au passage toute la psychologie du développement d’une manière qui en devient problématique,tout en disqualifiant violemment les autres collectifs (“Mamans louves”, “SOS éducation”, etc.) qui font un travail fort utile sur ce sujet.
Je n’entrerai pas dans les polémiques stériles ni les attaques personnelles contenues (merci la dénégation !) dans votre mail. Si ce n’est pour rappeler ces deux réalités :
1. J’ai toujours défendu la position “pas d’exposition des enfants à la sexualité des adultes sous aucune forme” qui est in fine la seule chose qui compte et combattu sans la moindre réserve les programmes criminels de l’OMS.
2. Le cœur de mon travail depuis 30 ans est l’évaluation des pratiques de soins en santé mentale, en pédopsychiatrie comme en psychiatrie adulte, et des modèles théoriques qui les fondent.
Recevoir les mêmes procédés discriminatoires, procès d’intention et attaques personnelles de personnes qui se prétendent être dans la “résistance” que celles que je reçois depuis 4 ans du camp d’en face laisse un drôle d’arrière-goût…
Je me suis expliqué, respectueusement et exhaustivement, sur la question soulevée et je ne vais pas perdre plus de temps avec des personnes qui ne veulent ou ne peuvent pas comprendre le sens de mes propos mais ont besoin d’un “ennemi” de plus à poursuivre des leur vindicte et de leur haine.
J’aurais apprécié que vous ayez au moins le courage de vous exprimer à visage découvert et en votre nom propre.
Tant pis.
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