Lancé l’année dernière, le site français “Victimes Vaccins Covid-19” (VVC-19) qui aide les victimes des injections et publie leur témoignage, devient un site de référence.
Le premier objectif de ce site est de recueillir les témoignages de victimes des injections. Leur quantité a quintuplé en moins d’un an: de 103 témoignages en juillet 2023, à déjà 531 aujourd’hui. Classées par types de symptômes, ces courtes vidéos en français permettent aux autres victimes du “vaccin” de trouver des récits corroborant leur propre expérience.
On peut se réjouir que les victimes des injections Covid soient en mesure de trouver des ressources et des moyens pour communiquer et s’entraider, mais bien sûr on ne peut que déplorer que ces victimes existent tout court; dans un monde idéal, un tel site n’aurait jamais dû être nécessaire.
Mode d’emploi en six étapes
La vidéo d’introduction, présentée sous le libellé “Je pense avoir des effets secondaires d’un vaccin covid-19: mode d’emploi”, explique aux victimes comment procéder. En six étapes:
- Trouver un praticien qui n’exclut pas la piste d’un effet secondaire d’un “vaccin” Covid-19 pour éviter une errance médicale. La vidéo référence pour ce faire est le site Covisoins.fr.
- Rejoindre un collectif de victimes. La vidéo référence les collectifs Verity France, Où est mon cycle, AAVIC Team (acouphènes et autres troubles auditifs), et le groupe d’échange Telegram Témoignages Vaccin Covid.
- Déclarer ses effets secondaires. La vidéo indique que si le praticien de santé n’a pas lui-même fait la déclaration, le patient peut la faire lui-même. Elle cite ensuite plusieurs ressources pour trouver de l’aide en ce sens: le syndicat Liberté Santé, un site du gouvernement, et enfin une liste des centres régionaux de pharmacovigilance.
- Témoigner. La vidéo indique que plus il y aura de témoignages, plus les victimes seront reconnues, et meilleure sera la prise en charge médicale. Elle explique ensuite qu’il y a plusieurs façons de le faire, par ordre décroissant d’impact: par une vidéo à visage découvert, par une vidéo anonyme, ou par écrit. Elle indique que les endroits pour témoigner sont soit avec son propre collectif de victimes, soit avec le site VVC-19 lui-même via l’adresse email vvc19@protonmail.com, soit sur les réseaux sociaux.
- Activer la justice. La vidéo explique que d’agir via les collectifs, ou que les collectifs agissent en commun, est l’approche la plus efficace. Elle enjoint les victimes à rassembler un maximum de preuves médicales, et cite les coordonnées d’avocats et d’associations juridiques: BonSens.org (avec le prof. Christian Perronne), l’association Je ne suis pas un danger, et enfin David Guyon.
- Rejoindre une ou plusieurs associations d’aide aux victimes. La vidéo cite Solidekla, Verity France, et REVAV. Le site VVC-19 dispose d’un annuaire pour trouver de l’aide, accessible via l’adresse apreslevaccin.fr.
La vidéo termine sur une note d’encouragement, en rappelant aux victimes qu’elles ne sont pas seules.
Omerta
Face à l’omerta dont les médias traditionnels se rendent coupables au sujet des effets secondaires des injections Covid, une censure dont nous avons amplement parlé sur Essentiel News, le site VVC-19 représente une aide indispensable aux victimes.
Cette aide est non seulement pratique, sur la manière de se soigner et d’agir, mais également psychologique, car elle permet aux victimes de sortir de leur isolement et de vaincre le gaslighting dont les pouvoirs publics et les journalistes qui leur sont subordonnés sont coupables. Les médias traditionnels modernes, qu’ils soient “publics” ou autrement subventionnés, agissent en effet dans un contexte classique de journalisme jaune et de propagande grise, et portent une responsabilité principale et première pour le fiasco du “vaccin” Covid.
Si ces journalistes n’avaient pas depuis longtemps abdiqué leur responsabilité, et s’ils avaient suivi la charte de déontologie régissant notre profession, un site tel que VVC-19 n’aurait en effet jamais été nécessaire.
Initiatives similaires
Les initiatives individuelles unilatérales et libres sont source de vérité et de justice; c’est vrai dans tous les domaines, et celui des effets secondaires vaccinaux est un excellent exemple.
L’initiative de VVC-19 de récolter des témoignages rappelle celle des “Vaxxed Stories”, un recueil de centaines de témoignages en anglais sur les effets secondaires d’autres vaccins, qui avaient rencontré un grand succès avant d’être censurés de Youtube, mais qui restent disponibles sur le site vidéo de Children’s Health Defense Europe.
Cette collection de témoignages avait été produite dans le sillage du film “Vaxxed” (vaccinés) du Dr Andrew Wakefield, faussement qualifié de “conspirationniste” par les auteurs de l’orthodoxie. Grâce à la courageuse Mme Michèle Rivasi, ce film devait être diffusé au parlement européen en février 2017; mais les députés britanniques en avaient toutefois obtenu l’interdiction. Il a par la suite été projeté au festival de Cannes en 2017, et connaît une large diffusion aux États-Unis, en Europe, et en Chine.
La suite du film, Vaxxed 2, sortie en 2019, a été coproduite par Robert Francis Kennedy Jr. qui est cette année candidat aux élections américaines.
En savoir plus
Découvrez le site Web de VVC-19 sur vvc19.fr. L’organisation dispose également d’un contenu sur certains réseaux sociaux: Twitter, Facebook, Instagram, Youtube, Telegram, Odysee, et Crowdbunker.
Votre article et votre mode d’emploi en 6 étapes s’apparente à de l’opposition contrôlée !!!!
Vous emmenez les gens sur une VOIE DE GARAGE JURIDIQUE et en plus vous faites de la pub à guillon (ça c’est limite vis à vis de l’ordre ..!!!
On va vous étudier de prêt …
Mode d’emploi en six étapes
La vidéo d’introduction, présentée sous le libellé “Je pense avoir des effets secondaires d’un vaccin covid-19: mode d’emploi”, explique aux victimes comment procéder. En six étapes:
Trouver un praticien qui n’exclut pas la piste d’un effet secondaire d’un “vaccin” Covid-19 pour éviter une errance médicale. La vidéo référence pour ce faire est le site Covisoins.fr.
Rejoindre un collectif de victimes. La vidéo référence les collectifs Verity France, Où est mon cycle, AAVIC Team (acouphènes et autres troubles auditifs), et le groupe d’échange Telegram Témoignages Vaccin Covid.
Déclarer ses effets secondaires. La vidéo indique que si le praticien de santé n’a pas lui-même fait la déclaration, le patient peut la faire lui-même. Elle cite ensuite plusieurs ressources pour trouver de l’aide en ce sens: le syndicat Liberté Santé, un site du gouvernement, et enfin une liste des centres régionaux de pharmacovigilance.
Témoigner. La vidéo indique que plus il y aura de témoignages, plus les victimes seront reconnues, et meilleure sera la prise en charge médicale. Elle explique ensuite qu’il y a plusieurs façons de le faire, par ordre décroissant d’impact: par une vidéo à visage découvert, par une vidéo anonyme, ou par écrit. Elle indique que les endroits pour témoigner sont soit avec son propre collectif de victimes, soit avec le site VVC-19 lui-même via l’adresse email vvc19@protonmail.com, soit sur les réseaux sociaux.
Activer la justice. La vidéo explique que d’agir via les collectifs, ou que les collectifs agissent en commun, est l’approche la plus efficace. Elle enjoint les victimes à rassembler un maximum de preuves médicales, et cite les coordonnées d’avocats et d’associations juridiques: BonSens.org (avec le prof. Christian Perronne), l’association Je ne suis pas un danger, et enfin David Guyon.