“11 septembre”: la technologie alimente de nouvelles questions

Photographie REUTERS/Sean Adair
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Des recherches plus récentes exposeraient la catastrophe des tours jumelles à des conclusions qui s’éloignent du point de vue officiel.

La plupart des gens se souviennent de ce qu’ils faisaient le 11 septembre 2001, le fameux jour où les tours du World Trade Center se sont effondrées. Au-delà du choc suscité par cet événement, de nombreux citoyens s’attellent toujours à comprendre les arrière-plans de la catastrophe.

Ainsi l’ “Association 11 septembre en question” a-t-elle organisé dernièrement une rencontre à Genève au cours de laquelle tel scientifique travaillant dans le secteur de l’Énergie a présenté une vision revisitée des théories officiellement diffusées, en les mettant à l’épreuve de données scientifiques inédites. Œuvrant derrière les initiales K-J pour conserver l’anonymat, avec l’accord de l’association précitée, cet expert connu de notre rédaction intervient sur internet pour exposer ce qu’il présente comme de nombreuses failles et incohérences des principales théories en circulation. Du fait de la connaissance que nous avons des nouvelles technologies, il entend également ouvrir la porte à des éventualités peu connues à ce jour. Il s’appuie notamment sur les recherches de l’ingénieure Judy Wood développées dans son livre “Where did the towers go?” et de Mark Conlon.

23 ans après la destruction des tours du World Trade Center, comprendre le 11 septembre aujourd’hui, selon K-J, peut nous aider à mieux décrypter les crises et conflits tels que ceux qui se sont développés à l’échelle mondiale, de la crise Covid à la guerre en Ukraine.

Lors de son exposé, K-J a engagé le débat sur deux grandes questions :

L’effondrement des tours a-t-il été créé par des armes à énergie dirigée ?

Selon les preuves disponibles rassemblées dans l’ouvrage précité de Judy Wood, il semble impossible que l’effondrement des bâtiments du World Trade Center ait été causé par le choc des avions ni par des explosifs installés au cœur des tours. Il apparaîtrait plutôt que l’effondrement soit le résultat d’une démolition contrôlée, mais pas de la façon classique que nous connaissons, soit avec des explosifs. Une nouvelle technologie aurait été utilisée. La question étant de savoir laquelle. Certains éléments apporteraient des réponses hypothétiques tout en soulevant de nouvelles questions:

  • Un ouragan de catégorie 3 appelé “Erin” a été repéré proche de New York le 11 septembre. Connu dès le 7 septembre, sa présence n’a pas été médiatisée. L’ouragan a pris une trajectoire qui semble impossible. Pourquoi, comment ? S’agit-il d’un exemple de manipulation artificielle du climat ? Il reste à le découvrir. Mais la présence de cet ouragan aurait permis la création d’un champ statique nécessaire à l’exploitation des technologies utilisées pour l’effondrement des bâtiments du World Trade Center.

 

  • Le jour du 11 septembre, il est constaté par les appareils de mesure que le champ magnétique terrestre a été aussi complètement perturbé. Une fois encore, cela semble être le fait d’une manipulation artificielle. Mais quelle technologie permettrait ce résultat ?

 

  • Par ailleurs, le choc sismique provoqué par l’effondrement aurait dû être 30 fois plus fort pour chaque bâtiment. Ce faible choc sismique, en considération de la masse des édifices, peut s’expliquer dans la mesure où les bâtiments se sont transformés en poussière en s’effondrant avant le choc au sol. De même, il est impossible qu’une telle masse produise aussi peu de débris au sol après sa chute. Il s’agirait donc d’une “poussiérisation”, pour reprendre le terme de Judy Wood, plutôt que d’un effondrement ou d’une pulvérisation.

Pour Judy Wood, les nouvelles technologies utilisées pour créer la catastrophe du 11 septembre s’appuient sur l’utilisation de l’énergie libre de Tesla, notamment de l’effet nommé Tesla-Hutchison qui démontre la dissociation moléculaire de matériaux réalisée avec un système à énergie dirigée.

Les avions qui ont percuté les tours étaient-ils réels ou pas?

Contrairement à ce que proposent certaines théories, trop de preuves irréfutables existent et démontrent la réalité ou la présence “des avions” ou d’objets volants dans le ciel. Mais la théorie selon laquelle ils seraient des avions classiques ne fonctionne pas non plus sur la base des preuves disponibles. De fait, s’agit-il réellement d’avions? Pourrait-il s’agir d’hologrammes? Ou plus exactement d’une technologie de projection? K-J n’exclut pas que “les avions” en soi puissent être des armes à énergie dirigée.

En conclusion de son exposé, K-J a invité le public à ne jamais s’enfermer dans des concepts, simplement parce qu’ils sont connus et confortables :

En ne cherchant pas à expliquer ce que l’on observe uniquement à partir de systèmes que l’on connaît déjà, nous pouvons rester ouverts à de nouveaux concepts et à l’existence de technologies peu connues jusqu’ici. De cette façon, nous pouvons garder une pensée souveraine en toute situation.

Pour en savoir plus

Sur les recherches de Judy Wood : La vidéo de Jeanne Traduction avec Judy Wood

Sur la question des avions : Le site web de Mark Conlon 911planesresearch.blogspot.com

Le magazine Nexus n°152/mai-juin 2024 a publié un dossier détaillant les principales conclusions de Judy Wood.

Les émissions de K-J : avec Akina sur le Front Médiatique, sur la chaine youtube Histoire et révélations