Selon les auteurs de cette action internationale, le certificat OMS-UE sera un moyen pour des experts non élus d'imposer des vaccinations sans débat démocratique.
Des voix critiques rappellent les épisodes autoritaires, voire sanglants, lorsque l'actuel directeur de l'OMS avait des responsabilités politiques en Ethiopie.
Malgré les promesses de respecter la souveraineté des Etats, le traité pandémies actuellement négocié peut mener à un «totalitarisme sanitaire mondialisé», avertit le médecin suisse
Près de 40 organisations s'opposent au projet de Traité Pandémie qui pourrait empêcher les Etats de décider eux-mêmes de leurs mesures sanitaires. Pétition lancée.
Des élus et experts de tous bords ont fait le point sur les «dangers pour nos libertés» que comporte le projet de traité pandémies que l'OMS va soumettre fin mai à Genève.
Bilan de 3 ans de crise avec des scientifiques, journalistes, juristes et politiques de tous bords les 11-12 février au Luxembourg. Enjeux: les préparatifs d'une surveillance mondiale des politiques sanitaires.
Ce projet lancé à la réunion du G20 à Bali n'est pas pour demain, nous affirme la cheffe de la délégation suisse à l'OMS. Elle contredit ainsi les avertissements des milieux critiques de l'OMS.
L'accalmie des tracasseries sanitaires, c'est bientôt fini? A Bali, les 20 puissances mondiales lancent un projet de passeport numérique, à soumettre à l'OMS en mai 2023. Une pétition s'y oppose.
Révéler les prix des traitements et la teneur des accords avec les Etats. C'est ce que prescrit le projet actuellement sur la table de négociation à l'OMS. Big pharma pourrait entrer en résistance.