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Premier dédommagement en Suisse pour une injection Covid

Le dédommagement symbolique s'inscrit dans un contexte de révélations au compte-goutte sur les effets secondaires parfois terribles, dont des «turbo-cancers»

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Le journal dominical alémanique Sonntagsblick l’a annoncé ce dimanche: une première en Suisse, une personne victime d’effets secondaires causés par l’injection Covid sera indemnisée par la Confédération.

La somme versée est symbolique, et liée à la perte de gains engendrée: 12’500 francs à titre de réparation, plus une indemnité de 1360 francs.

Début juillet, Swissmedic indiquait avoir reçu un total de 17’575 déclarations de suspicions de réactions liées aux vaccins contre le Covid, dont 39,5% considérées comme graves.

Bien que l’institut chargé de surveiller le marché des produits thérapeutiques en Suisse atténue son propos en alléguant que le «Covid long» peut également provoquer les mêmes effets, il admet néanmoins dans ce communiqué du mois de juillet que l’injection controversée peut avoir des effets graves provoquant des handicaps importants:

Toutes déclarations confondues, les réactions connues à la vaccination telles que fièvre, céphalées, douleurs dans les membres, fatigue, frissons, rougeurs, douleurs ou gonflements au niveau du site d’injection et nausées sont les plus fréquentes. Elles correspondent aux réactions également constatées dans les études réalisées en vue de l’autorisation et les études de surveillance après la mise sur le marché.

Dans certains cas isolés, des symptômes prolongés apparus peu de temps après une vaccination contre le Covid-19 sont rapportés. Ces symptômes entraînent un handicap important pour les personnes concernées […].

En effet, et comme précédemment révélé par Essentiel News, des procès-verbaux officiels publiés au printemps 2024 ont éliminé l’argument d’ignorance: ils révèlent en effet que «l’Office fédéral de la santé publique» était parfaitement au courant, dès l’été 2021 au moins, que les injections ne prévenaient pas l’infection, n’empêchaient pas la transmission, et provoquaient des effets secondaires fréquents.

La fraude institutionnelle a également éclaté au grand jour cette année en Allemagne, dans l’affaire dite des «RKI Files», à laquelle Essentiel News a également consacré de nombreux articles. Cette affaire avait fait titrer à l’agence autrichienne de presse (OTS) que «les protocoles RKI montrent que les mesures liées au coronavirus étaient une mise en scène sans preuve de la part des politiques et de l’armée.»

Le sommet de l’iceberg

Contrairement aux injections de Pfizer ou Moderna, le produit AstraZeneca, à l’instar de l’injection Johnson & Johnson, n’était pas fondé sur la «technologie ARNm». Il utilisait plutôt un adénovirus de chimpanzé, génétiquement modifié, et chargé de délivrer sa charge dans les cellules.

Or c’est cette injection-là dont les effets secondaires ont été les plus rapidement reconnus; AstraZeneca a admis en février 2024 que son injection était susceptible de causer des cas de thrombose grave. En mai 2024, l’entreprise annonçait le retrait de son produit, et l’Union européenne annulait dans la foulée son autorisation de mise sur le marché.

Cette injection, désormais considérée comme notoirement dangereuse, était pourtant indisponible en Suisse; d’autres injections sont donc à l’origine du dédommagement récent ainsi que des 17’575 autres déclarations parvenues à Swissmedic. On ne dispose malheureusement pas encore d’autres informations sur les injections qui sont en cause.

On sait toutefois que ces révélations au compte-goutte représentent encore le sommet de l’iceberg: au-delà des nombreux articles consacrés par Essentiel News à ce sujet au fil des mois, la question qui est aujourd’hui la plus d’actualité est celle des «turbo-cancers», liés quant à eux aux vaccins à ARNm.

Injections à ARNm et cancers explosifs

Il existe en effet un faisceau d’indices qui suggérerait qu’outre les effets secondaires sérieux et désormais reconnus, mais dont l’émergence est relativement rapide, les injections Covid pourraient également avoir un effet terrible à plus long terme: celui de favoriser l’apparition de cas de cancers graves à progression rapide.

Encore qualifiée de théorie du complot dans l’article Wikipedia traitant de ce thème, l’hypothèse fait pourtant son chemin. Le Dr. Malone a par exemple témoigné en ce sens devant le Congrès américain, en accusant de surcroît Moderna d’être au courant de ce risque.

Le docteur Pierre Kory, cofondateur de l’organisation «Front Line Covid-19 Critical Care Alliance», a également publié un article à la fin de l’année dernière qui donne du poids à l’hypothèse des «turbo-cancers» provoqués par les injections Covid, et dans lequel il cite l’expérience de nombreux collègues sur le terrain.

Mais c’est un autre témoignage qui fait le plus de bruit, car il provient d’un médecin et chercheur japonais au curriculum éloquent, le Dr. Prof. Masanori Fukushima. Directeur jusqu’en 2009 de l’unité d’oncologie ambulatoire à l’hôpital universitaire de Kyoto, et directeur depuis 2009 de l’institut de recherche TRI à la Fondation pour la recherche biomédicale et l’innovation de Kobe, il n’a pris aucune position pendant la «pandémie.»

Pourtant, au printemps de cette année, l’éminent professeur japonais a donné une interview (vidéo archivée ici et ici) faisant suite à son papier de recherche publié en avril, et qui établit un lien entre injections à ARNm et cancers. Il y qualifie les injections à ARNm «d’œuvre du mal» et «essentiellement synonymes de meurtre.»

Il y explique aussi que les «turbo-cancers», un type de cancers explosifs à la progression rapide et qui se trouvent déjà souvent à un stade avancé lorsqu’ils sont diagnostiqués, sont corrélés à la distribution des injections à ARNm, et qu’ils ne peuvent pas être expliqués par la seule réduction des dépistages et des traitements pendant la «pandémie.»

Il déplore dans son interview que les médias soient en train de passer ces effets sous silence, et qu’ils qualifient ceux qui doutent de la sûreté de ces injections d’«hérétiques». Il décrit cette attitude comme étant tout à fait éloignée de la science, et «plus proche de la foi, de l’hystérie ou même d’un comportement sectaire».

En tout état de cause, la rédaction d’Essentiel News s’engage à continuer de suivre ces révélations qui arrivent au compte-goutte, et à poursuivre son travail d’information en cherchant à démêler le vrai du faux.