Résilience numérique
Republication du journal Le Pharandol no. 26 de juin 2025
Dans le système sociétal dans lequel nous vivons, il nous est difficile de couper aux technologies numériques. En effet, le boycott du numérique peut mener à l’isolement, et s’il peut représenter une solution individuelle à court terme, ça ne saurait être viable collectivement sur le long terme.
Au travers de cette édition consacrée à la résilience numérique, nous allons vous montrer qu’il nous est possible, et même primordial, de se réapproprier les innovations permises par l’intelligence collective, en apprenant d’abord à mieux les connaître et en faire une utilisation raisonnée, pour ne plus les subir, et au final, en tirer avantage!
Nous y abordons l’importance de l’hygiène numérique, grâce notamment au dossier de résilience numérique préparé avec Icaros, ainsi qu’au phare mis sur Wikilibriste et sur le mouvement des CHATONS.
Nous y évoquons également les risques, mais aussi, les atouts/avantages des technologies numériques, au travers d’entretiens inspirants avec Wojnicz et Victor Lardé au sujet des DAO (Organisations Décentralisées Autonomes), et avec Sylvain, concernant l’utilisation de la si décriée Intelligence Artificielle (IA).
Retrouvez enfin nos rubriques habituelles Phartiste et Philophare, qui abordent également cette thématique qu’il est indispensable de mieux appréhender.
Journal de juin 2025 consultable gratuitement: https://lesenfantsphare.fr/project/le-pharandol-26-hacker-vaillant-rien-dimpossible/
Télécharger le journal au format pdf: https://lesenfantsphare.fr/wp-content/uploads/2025/06/LE_PHARANDOL-N_26-HACKER_VAiLLANT-.pdf
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En complément, article d’Icaros sur Essentiel News: Protection de la vie privée numérique: réaliste ou utopique?
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J’ai parcouru rapidement le journal et je ferai quelques remarques :
Il serait plus prudent d’expliciter quelques précautions et explications avant d’inviter les gens d’activer bitlocker ou autres.
Il est dommage qu’on parle de web 3.0 et de libgen mais rien sur IPFS, pourtant l’auto hébergement, surtout avec la fibre, est un moyen de dépasser la censure.
Je n’ai rien vu non plus sur le principe de chiffrement asymétrique avec des clés public et privée gérées par soi-même. Cela reste encore ce qu’il y a de mieux, même si on se doute que la NSA et compagnie ne vont pas s’embêter très longtemps avec cela.
Dans la suite logique, il serait bien d’avertir que toute utilisation de l’outil informatique est une faille béante vis à vis de données espérées secrètes. C’est une fiction d’y croire, les portes dérobés sont partout, y compris au niveau matériel (cpu, gestion de la mémoire, puce réseau, etc), et fort probablement aussi au niveau de linux et compagnie.