Le rôle essentiel des médias

1ère émission de la campagne de financement participatif pour 2026
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Dans le cadre de sa nouvelle campagne de financement, l’équipe d’Essentiel News diffuse 4 émissions autour des thématiques principales du média. La première explore le type d’information qui peut faire sens au milieu du chaos médiatique actuel, de la censure et de différentes formes de propagande. Y a-t-il encore une place pour l’écrit, la controverse ou une lecture plurielle de l’actualité?

Senta Depuydt, Icaros et Akina reçoivent 2 invités particulièrement bien placés pour en parler: Pierre Barnérias, journaliste et réalisateur de plusieurs documentaires tels que la trilogie Hold-Up, Hold-On, Hold-Out, et Les survivantes, et l’éditeur belge Marco Pietteur, spécialisé dans le domaine de la santé, qui a publié de nombreux auteurs de la « dissidence médicale ».

Missions d’information

La première partie de la discussion aborde l’esprit qui caractérise la démarche des uns et des autres. Comment cherchons-nous chacun à faire émerger une partie de vérité, pour évoluer vers un monde plus libre?

Pour Essentiel News, il s’agit de lutter contre la mise en place d’un agenda mondial en analysant les différentes stratégies et récits qui participent à sa mise en oeuvre. Qui nous donne telle information, à quel moment? Comment cherche-t-on à polariser le débat avec différentes techniques de manipulation? Il s’agit d’aller au-delà de la vérification de l’information ou de la réaction à chaud, mais d’en rechercher les clés de compréhension, afin de ne pas tomber d’une manipulation à l’autre.

C ‘est le leitmotiv de nos choix rédactionnels: identifier les objectifs cachés, les acteurs clés et la mise en scène du théâtre de l’actualité. Cette ligne éditoriale spécifique se retrouve d’ailleurs jusque dans l’architecture du site qui a abondonné les codes classiques du journalisme.

Du côté de la chaîne Citizen Light, et dans le travail de Pierre Barnérias, il s’agit plutôt de privilégier l’enquête, la recherche des faits, de recueillir la parole des témoins et des experts de terrain. Et c’est à partir de ces réalités crues que se dessinent les failles d’un système qu’il faut ensuite dénoncer sans faire de compromis.

Souvent, on ne fait que soulever le couvercle d’une réalité qui dépasse l’entendement. Mais il faut force d’arguments et de références pour attester l’indicible, remettre en cause la doxa et faire bouger les schémas de pensée. C’est là qu’intervient le livre. Pour Marco Pietteur, il est important de donner la parole à des auteurs qui osent défier le discours ambiant, amènent une réflexion critique. C’est pourquoi il n’hésite pas à publier des livres qui dérangent, dont les thèses s’opposent, de manière à alimenter le débat. Par exemple: les livres de Jean-Dominique Michel, de Vincent Reliquet, de Marion Saint Michel ou le livre de Robert Kennedy Jr sur les expériences de gain de fonction au laboratoire de Wuhan et le livre de Sam Bailey qui questionne l’existence des virus.

Mais sa mission s’étend bien au-delà: il s’agit de donner la parole à ceux que l’on veut faire taire ou que l’on a oublié, de soutenir des professionnels engagés, qui ont parfois perdu leur métier, ou encore de mettre à disposition du public des documents qui trouveront leur utilité dans un débat scientifique ou lors d’un procès.

L’ampleur de la censure et le contrôle mondial de l’information

La seconde partie de l’émission s’attache à démontrer l’ampleur du contrôle de l’information et la régression de la liberté d’expression. Pierre Barnérias et Senta Depuydt évoquent le rôle des agences de presse, l’alliance Trusted News Initiative et le rôle particulier de l’AFP qui fonctionnent désormais comme des agents d’un ministère de la vérité à l’échelle mondiale.

Akina et Icaros relèvent de leur côté les différents moyens techniques par lesquels les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) sont aujourd’hui capables d’amplifier ou de rendre invisible n’importe quel émetteur d’informations. Des techniques de censure ‘perverses’ sont introduites dans les algorithmes: plus difficiles à dépister, impossibles à dénoncer.

Mais l’on est surpris d’apprendre que la censure est pour beaucoup devenue synonyme de ‘bienséance’ et qu’elle s’étend même jusqu’aux livres. Libraires, bibiliothécaires, services postaux: la liberté d’expression semble aujourd’hui être un crime et nous sommes bien face à une surveillance généralisée de la parole citoyenne, proche des régimes totalitaires.

Comment y faire face? En ne se laissant pas intimider, en se serrant les coudes et en se donnant les moyens de riposter, y compris les ressources financières nécessaires!

C’est le crédo de la campagne de financement d’Essentiel News pour 2026. Cette année, grâce au soutien de Marco Pietteur, les donateurs d’Essentiel News pourront commander un livre à choisir parmi une sélection d’auteurs qui leur sont bien connus. Cette action permettra de soutenir tant notre média, que des auteurs engagés et un éditeur indépendant, tout en faisant plaisir à la personne qui recevra le livre.

Prochaine émission spéciale de notre campagne de financement: l’avancée de l’agenda mondial par le contrôle de la santé.

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3 commentaires

  1. Enfin un site qui promet d’informer intelligemment et complètement. Il y en a quelques autres, bien sûr, mais la foire aux nouvelles catastrophiques n’a pour résultat que de nous enfoncer alors qu’on se maintient juste la tête hors de l’eau.
    Merci pour cette initiative et tous mes voeux de réussite.

  2. « Et si l’initiative “Service citoyen” n’était qu’un masque ?
    On vous parle d’engagement, de cohésion, de modernisation du service de milice. On vous montre une juge militaire souriante, diplômée de Londres, portée aux nues par la presse progressiste. Mais derrière cette vitrine bien propre, c’est une opération d’influence bien huilée qui se joue : financements opaques, fondations liées à Soros et au Forum économique mondial, relais politiques chez les Verts et la gauche fédérale. Ce que personne n’ose dire ? Cette initiative n’a rien de suisse. Elle est le cheval de Troie d’un projet globaliste qui vise à reprogrammer notre société — en commençant par nos jeunes. À lire absolument avant de glisser votre bulletin le 30 novembre.

    🇨🇭 Noémie Roten ou l’art d’infiltrer la Suisse avec 500’000 francs d’influence douce

    Une juge militaire, chauffeuse de poids lourd à ses heures, diplômée de la London School of Economics… et financée par des fondations liées à Soros, au WEF et à la philanthropie woke.

    Voilà qui est Noémie Roten, figure de proue de l’initiative pour un « service citoyen » en Suisse.

    Et voilà ce que les médias — comme Heidi.News, où elle a d’ailleurs travaillé — ne vous diront jamais.

    Un parcours bien balisé… par qui ?

    Dès ses études, le profil de Noémie Roten semble suivre une trajectoire étrangement bien accompagnée. Après un bachelor à Saint-Gall et un passage par la Banque nationale suisse, elle se tourne vers un master en philosophie politique à la prestigieuse London School of Economics. Problème : l’aventure coûte environ 70’000 francs. Solution ? Deux fondations lui financent généreusement ses études. C’est elle-même qui le déclare dans une interview à 24 Heures (2 novembre 2025) :

    « Deux fondations lui avancent le gros de l’enveloppe. »
    Source : 24 Heures – « Noémie Roten, la soldate qui porte l’initiative du service citoyen »

    Mais quelles fondations ? Pourquoi elle ? Quelles contreparties implicites ou explicites ? Aucune réponse.

    Dans un pays normal, on poserait ces questions. En Suisse, quand on pousse un agenda compatible avec les plans de Davos, personne ne creuse.

    Une opération d’ingénierie sociale maquillée en engagement civique

    Derrière les grands discours sur le « ciment de la société » et le « renouveau de l’esprit de milice », c’est une toute autre réalité qui se dessine.

    L’initiative « Service citoyen », que Souveraineté Suisse dénonce depuis des mois, n’est pas un projet neutre. C’est une manœuvre furtive, programmée et financée, pour redessiner les rapports entre l’État, les sexes et les générations. Sous prétexte d’égalité, on impose une nouvelle obligation étatique aux femmes, en fragilisant la cellule familiale, en dissolvant les repères naturels et en injectant de force des « valeurs » progressistes dans la jeunesse.

    Et ça, ça coûte de l’argent. Beaucoup.

    Mais qui paie ? Voici la vraie carte des soutiens :

    🔹 Open Society Institute (Bâle) – branche suisse de l’empire Soros, qui distribue des grants de 50’000 à 200’000 francs pour les ONG pro-migrations, pro-genre et pro-médias « indépendants ».

    🔹 Swiss Philanthropy Foundation (Genève) – vitrine philanthropique des élites progressistes. Depuis 2006, elle héberge des fonds thématiques sur l’« égalité », le « climat », ou les « jeunes leaders » en partenariat avec… le WEF. Enveloppes entre 70’000 et 100’000 francs pour des « projets à impact ».

    🔹 Schwab Foundation for Social Entrepreneurship – le bras du WEF pour les « social entrepreneurs » mondialistes, fondée par Klaus Schwab. Elle finance les leaders compatibles avec la gouvernance globale.

    Ces trois structures incarnent l’écosystème parfait pour faire émerger des figures dociles, formées à Londres, propres sur elles, capables de porter des réformes sociales lourdes — sans jamais prononcer le mot souveraineté.

    Un soutien parlementaire révélateur — et inquiétant
    (…) »

    Suite sur Linkledin

    🇨🇭 L’indépendance suisse n’est pas négociable.
    Et encore moins avec une caste technocratique sans mandat, dictant sa loi au nom du “bien commun”.
    Rejoignez @souverainetesuisse

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