Génocide et transhumanisme: il est temps d’en parler ouvertement

Dans cette émission, l’équipe d’Essentiel News et ses invités, Dr Martine Gardénal, présidente de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) et Dr Vincent Reliquet, membre du comité directeur de l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante (AIMSIB), approfondissent des questions centrales de la gouvernance mondiale, encore trop souvent occultées: les pratiques génocidaires de certaines politiques vaccinales et les expériences transhumanistes, deux facettes d’une idéologie bien connue, dont seuls les mots et les techniques semblent avoir évolué.

Tout était annoncé et dénoncé depuis des décennies

La discussion démarre en rappelant par divers exemples que le programme d’une gouvernance mondiale unique technocratique a été annoncé, revendiqué et appliqué par des élites dirigeantes depuis des décennies et que de nombreux lanceurs d’alerte l’ont dénoncé, sans que la conscience collective ne s’en saisisse.

Senta Depuydt avait d’ailleurs exposé la mise en place de tous les éléments qui préparaient une avancée totalitaire sous couvert d’urgence sanitaire dans un dossier complet intitulé « le plan mondial de la vaccination », publié en mars 2019, un an avant la pandémie, dans le magazine Nexus, mais il a fallu plusieurs années avant que ce contenu ne soit « entendable » par un public supposément alerte.

La présentation d’Akina résume comment cela a été patiemment construit, par la constitution d’une alliance entre les géants de la finance, de l’industrie et les nations du monde sous la forme d’organisations internationales et d’ONG privées, adhérant toutes à une vision malthusienne où les ressources communes sont limitées et les « bouches inutiles » un fardeau à éliminer.

Pour Icaros, si l’on veut changer le cours des choses et s’y opposer, il est important de remonter aux fondements philosophiques dont cette vision découle. Si l’on adhère à une vision matérialiste de l’homme où la conscience est produite par le cerveau – ce qui est enseigné dans les écoles et les universités – il ne faut pas s’offusquer des conséquences logiques qui en découlent, comme le fait d’ériger la survie en une valeur absolue. Une vision dont le transhumanisme est en quelque sorte l’expression ultime.

Martine Gardénal et Vincent Reliquet expliquent comment la profession médicale a été soumise à ce postulat matérialiste et muselée au fil des ans par l’Ordre des médecins, la peur incessante des maladies infligée au public et les poursuites à l’encontre des praticiens indépendants.

Selon Vincent Reliquet, l’on dispose pourtant d’un énorme corpus scientifique qui atteste d’une autre réalité, notamment tout ce qui a été publié sur les expériences de mort imminente. Un sujet à développer lors d’un futur congrès, propose Martine Gardénal.

Les preuves de l’intention de nuire

Le doute a longtemps subsisté quant aux raisons pour lesquelles la sécurité des vaccins et de leurs ingrédients était systématiquement ignorée, mais il y a aujourd’hui des faits qui attestent d’une volonté indiscutable d’attaquer la santé et la fertilité de certaines populations. L’on pense par exemple à la présence d’hormones de grossesse dans certains vaccins administrés aux femmes dans le cadre de « programmes santé » de l’OMS au Kenya; un scandale dont on découvre toutes les preuves dans le film « Infertilité: un agenda diabolique« , republié cette semaine par Essentiel News.

La discussion s’engage sur le fond des choses après quelques extraits du 4ème épisode de la série de Vera Sharav « Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial » où interviennent le Dr Vladimir Zelenko et le Dr Mike Yeadon, avant d’en venir spécifiquement au problème du contenu des vaccins et de la qualité des lots.

Senta Depuydt, Martine Gardénal et Vincent Reliquet rapportent les observations de chercheurs indépendants qui confirment non seulement la mauvaise qualité de certains lots de vaccins, mais aussi les craintes d’objectifs génocidaires et transhumanistes menés sous couvert de santé publique. C’est ici que l’on comprend l’importance du travail mené par des associations telles que Corvelva en Italie, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) et l’Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienvaillante (AIMSIB) en France ou encore ICAN, Children’s Health Defense et la Fondation McCullough aux États-Unis.

Espoir, méfiance, victoire… Où en sommes-nous?

Icaros attire l’attention sur les pièges à éviter. Différents acteurs et différents scénarios ne mènent-ils pas à la même issue? Après avoir combattu avec force les projets ouvertement totalitaires prônés par des figures caricaturales comme Klaus Schwab et ses acolytes du WEF, le public pourrait accepter docilement les mêmes innovations transhumanistes, lorsqu’elles seront introduites par les figures de sauveurs du genre d’Elon Musk, avec un argumentaire plus séduisant.

C’est l’occasion pour les autres intervenants de faire le point sur les politiques de santé actuelles aux Etats-Unis et en Europe. Senta Depuydt remarque que si les réformes menées par Kennedy sont remarquables et sans précédent, le danger de l’évolution vers le transhumanisme est toujours bien présent. Qu’en est-il des technologies ARN? Un an après l’arrivée au pouvoir de Trump, il n’y a toujours pas de suppression des technologies ARN, les vaccins Covid ont été approuvés par la FDA et c’est Robert Malone, « l’inventeur de l’ARN » qui se retrouve aujourd’hui à la tête du comité de recommandation des vaccins.

Dans ces circonstances, quels scénarios peut-on envisager et que peut-on penser du lancement récent de MEHA, Make Europe Healthy Again au Parlement européen?

Pour Martine Gardénal et Vincent Reliquet, même si la vigilance reste de mise, les réformes outre-Atlantique insufflent un nouveau dynamisme à la résistance en Europe, et la montée d’une nouvelle force politique est nécessaire.

L’espoir est permis! Les consciences s’éveillent, la foi aveugle dans les autorités sanitaires a disparu et le nouveau projet de loi sur la vaccination obligatoire dans les Ephad en France a été rejeté. Certains pays ont montré qu’il est possible de s’opposer à des mesures de contrainte, lorsque la société reste soudée. Et les associations sont prêtes à aller plus loin, pour venir à bout des derniers mythes de « la santé publique ».

Comparer la santé des vaccinés aux non-vaccinés, réévaluer l’impact de la vaccination sur les maladies infectieuses, exposer la corruption de l’OMS et revenir à des politiques régionales, ou falsifier la notion de « menace pandémique », tout est à revoir… jusqu’aux fondements philosophiques qui sous-tendent les politiques de santé et nos modèles de gouvernance.

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