Il y a plus de vaccinés que de non vaccinés hospitalisés pour Covid grave, selon des chiffres officiels français. Mais Le Figaro s'efforce de trouver une interprétation infirmant ces faits. A son tour, le rédacteur en chef d'un mensuel de santé a voulu "vérifier le vérificateur" en déconstruisant la démarche pro-gouvernementale du quotidien parisien.
Un documentaire de 30 minutes dénonce avec force les mensonges d'Etat ayant débouché sur la mise en place de la vaccination anti-Covid des enfants, mais aussi et surtout sur les effets parfois gravissimes de celle-ci, obstinément passés sous silence par les gouvernements et les médias.
Question : les double-vaccinés ont-ils compris qu'ils pourraient être "rétrogradés" au statut de non vaccinés ? Face à l’imposition envisagée par le Conseil fédéral d’une 3e piqûre obligatoire, l’association ADEPSM lance une pétition contre ce projet qui pourrait voir le jour après la votation sur la loi Covid.
Elle avait déjà ému le monde entier avec sa première vidéo, au moment de son licenciement pour avoir refusé l'obligation vaccinale. Le Dr Julie Ponesse revient avec un autre message fort.
L'association française VERITY a vu le jour fin octobre. Elle a été fondée par trois familles de jeunes morts brutalement après leur "vaccination" contre le Covid 19. Sur diverses plateformes, elle recueille les témoignages douloureux de victimes ou de leurs proches désemparés.
Reprenant les dernières données de la science, notre référent en santé publique analyse combien les questions sur lesquelles les Suisses voteront "sont mal posées."
De passage en Suisse pour la manifestation de Berne, le 12 novembre, le président de Children Health Defense demande aux Suisses de montrer l’exemple pour donner du courage au reste du monde.
Françoise Bloch, socio-anthropologue, a adressé un courrier de lectrice au rédacteur en chef du quotidien genevois marqué à gauche. Un média qui paradoxalement s'aligne sur la solution unique vaccinale des multinationales pharmaceutiques et la restriction des libertés fondamentales. L'auteure se désole de voir la gauche participer à la «désinformation».
Des milliers d'opposants au durcissement de la Loi Covid ont défilé de la Place Neuve à la Place des Nations, dans une ambiance festive et bon enfant. Selon la télévision suisse romande, ils étaient seulement 1000. Petit correctif en images.
La Suède semble avoir tourné la page Covid, alors que le reste de l'Europe affronterait selon les autorités une énième vague. La stratégie sanitaire du pays, soucieuse d'éviter les dommages collatéraux et donc très mesurée, a-t-elle fonctionné ? Enquête sur place d'Amèle Debey, journaliste indépendante.
Ces paroles fortes ont été prononcées par la porte-parole romande des Amis de la Constitution lors d'une grande manifestation de soutien au référendum contre le durcissement de la loi Covid le 12 novembre à Berne. Etaient également présentes des personnalités comme les avocats Robert Kennedy Jr et Reiner Fullemich.
En France, un rapport officiel repris sur les plateaux TV démontre selon les uns qu'il n'y a pas eu de submersion hospitalière. Ils dénoncent le décalage entre la réalité et la perception anxiogène qui en a été donnée au public. "Pas si simple" rétorquent les autres en opposant un déluge de fact-checkings.
Premières victimes de l’extension du pass Covid, mi-septembre, bistrots et restos peinent à garder la tête hors de l'eau. Cette fois-ci, on leur permet de rester ouverts. Mais à quel prix ? Témoignages, entre résignation et colère.
Coïncidences ou effets indésirables des injections ? Depuis le lancement des campagnes de vaccination génique, le phénomène interroge : des sportifs de haut niveau semblent bien plus fréquemment victimes d'incidents de santé graves, notamment cardiaques, allant parfois jusqu'au décès. Un site en a fait la liste, alors qu'une vidéo virale illustre cette étrange accumulation d'événements.
Les clivages sont souvent tranchés et les débats tendus. Avant le scrutin suisse du 28 novembre, l’Association pour la défense des droits fondamentaux des humains et de la protection des données médicales et privées (ADEPSM) propose sept questions à discuter posément en famille et entre amis, voisins ou collègues.