Tim Ellison, un physicien et ingénieur américain à la retraite, estime que 20 millions de décès sont imputables aux injections Covid dans le monde. Il base ses calculs sur la forte corrélation temporelle observée aux États-Unis entre le nombre d’injections et l’évolution de la mortalité.
Sur le graphique publié par le retraité dans un article publié sur Substack le 15 mai 2023, les points oranges représentent le nombre d’injections par semaine aux États-Unis entre juin 2021 et le tracé bleu la variation des décès, ramené à une échelle comparable. La corrélation entre injections et décès est évidente selon Tim Ellison.
Dans un article précédent, il avait résumé les résultats d’une analyse statistique qui montre que 75 à 90 % des variations du taux de mortalité toutes causes confondues aux États-Unis peuvent être attribuées aux variations du nombre d’injections Covid, la courbe de mortalité étant décalée d’environ 6 semaines.
Il note également que son analyse est incomplète vu que les décès à moyen et long terme ne sont pas visibles immédiatement, par exemple ceux qui interviendraient après deux ans.
Il estime à 900 000 décès le surplus ainsi observé, qu’il arrondi à un million. Extrapolé au niveau mondial, où il y a eu 20 fois plus de doses administrées qu’aux États-Unis, cela donne au moins 20 millions de personnes qui ont été tuées par ces injections jusqu’à présent.
La rareté des autopsies rend la démonstration difficile
Tim Ellison conclut en affirmant que selon lui, personne ne sera jugé responsable de ces millions de morts, ni des coûts engendrés. Il se réjouit par contre que le nombre d’injections d’ARNm se soit réduit comme peau de chagrin et qu’un nombre croissant de personnes se rendent compte “que la santé n’est PAS (positivement) corrélée au nombre d’injections qui la détruisent”.
Bien qu’une vue d’ensemble comme celle-ci montre qu’il y a un phénomène macro problématique lié aux vaccinations, la démonstration se heurte ensuite à la difficulté de dire si une injection Covid est bien responsable d’un décès particulier. Pour cela, il faut une autopsie et malgré l’obligation légale en cas de mort subite, ces analyses post-mortem sont devenues de plus en plus rares, comme nous l’évoquions dans un article précédent.
Par contre, ces données donnent des indications sur la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid: s’ils avaient été sûrs, on aurait pu s’attendre à ce que la courbe bleue, celle des décès, reste plate lors des pics de vaccination (orange) et s’ils avaient été efficaces, on aurait logiquement pu s’attendre à ce que la courbe de la mortalité s’inverse par rapport à celle des vaccins, puisque ceux-ci étaient censés sauver des vies.