Amèle Debey, membre de l’équipe de rédaction de Covidhub, vient de publier sur son site L’Impertinent média un article portant sur les procédures de l’Agence européenne des médicaments. Laquelle, après avoir mis en échec les traitements précoces et peu coûteux utilisés dans de nombreux pays pour “manque de preuves” vient d’approuver la nouvelle pilule anti-Covid de… Pfizer !
Rappelons que la collusion entre les laboratoires pharmaceutiques et les organismes de surveillance est une pierre angulaire de la corruption institutionnelle dans le domaine de la santé, “généralisée” selon le constat posé par… la Commission européenne elle-même.
Nous re-publions ici le début de l’article, avec le lien pour le lire en entier sur L’Impertinent Média.
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Voici ce que vaut vraiment une autorisation de l’Agence européenne du médicament
Jeudi 27 janvier 2022, la pilule anti-Covid de Pfizer a été approuvée par l’Agence européenne du médicament (EMA). Information immédiatement relayée un peu partout en Occident, comme un espoir d’alternative au vaccin. Cependant, il serait bon de rappeler que l’EMA est financée en grande majorité par les industriels dont elle valide les produits. Explications.
«L’Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré jeudi avoir approuvé la pilule anti-Covid de Pfizer commercialisée sous le nom de Paxlovid. Elle devient le premier médicament antiviral pris par voie orale autorisé au sein de l’Union européenne.» Cette information, diffusée par les principales agences de presse, est reprise un peu partout dans les médias depuis jeudi.
Or, comme le soulignait le sociologue Laurent Mucchielli dans son dernier ouvrage La Doxa du Covid, le fonctionnement de l’Agence européenne du médicament, et surtout son financement, ne sont pas dérisoires.
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Pour aller plus loin :
- Présentation de Jean-Dominique Michel – La corruption systémique dans le domaine de la santé” : cliquer ici.
Voir aussi sur Covidhub :
Après celui des vaccins, Pfizer vise le marché des traitements précoces