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Vaccins: un message d’alerte en provenance du Japon pour le monde

Au pays du Soleil Levant, des dizaines de milliers de personnes s’opposent au Traité pandémie de l'OMS et à des mesures liberticides.

Masayasu Inoue transmet son message au monde lors du World Council for Health
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À travers le discours énergique du Professeur Masayasu Inoue, de l’Université d’Osaka, et des manifestations rassemblant des dizaines de milliers de personnes, le Japon donne des signes de vive opposition à la nouvelle politique sanitaire. La lutte contre le projet d’instauration, de la part du gouvernement et de l’OMS, d’un nouvel état de contrôle et de surveillance, pousse de nombreux habitants au pays du Soleil Levant à lancer un appel au nom des droits de l’homme qui résonne bien au-delà de ses frontières.

Des manifestations qui resteront dans les annales

Les manifestations du 13 avril 2024 resteront gravées dans les annales de l’histoire moderne du Japon. Ce jour-là, des dizaines de milliers de Japonais se sont rassemblés pour s’opposer au Traité pandémie de l’OMS, et plus globalement à la politique sanitaire menée par le gouvernement, au manque de transparence quant à la forte augmentation de la surmortalité et aux effets secondaires des vaccins Covid.

Des orateurs tels que le professeur Masayasu Inoue et le chercheur en histoire moderne Chikatsu Hayashi ont prononcé des discours mettant à nu la collusion inquiétante entre les autorités sanitaires mondiales et les programmes pharmaceutiques.

LE DISCOURS DU PROFESSEUR MASAYASU INOUE

Quelques semaines auparavant, le 22 mars, le Professeur Masayasu Inoue s’était déjà exprimé lors de la conférence de presse du World Council for Health à Genève. Son discours particulièrement intense a marqué les esprits et continue de résonner à travers le monde. Le voici:

Merci beaucoup de m’avoir donné cette précieuse opportunité d’envoyer mon message sur les violations des Droits de l’Homme à l’époque du Covid-19. Je m’appelle Masayasu Inoue, Professeur émérite de la Faculté de Médecine de l’Université de la ville d’Osaka. Ma spécialité est la pathologie moléculaire et la médecine.

La pandémie a été utilisée comme un faux prétexte par l’OMS pour promouvoir la vaccination de tous les peuples du monde. Un plan a été mis en place pour raccourcir le délai de développement des vaccins, qui prend généralement plus de dix ans, à moins d’un an en utilisant l’Opération Warp Speed. Cette opération a été utilisée pour dissimuler les fausses idées sur les vaccins génétiques. Sous prétexte de gagner du temps, une méthode extrêmement dangereuse a été retenue.

Une méthode mal conçue

Celle de l’injection intramusculaire de gènes viraux pour produire des protéines spike toxiques directement dans les tissus humains afin de stimuler le système immunitaire. Parce qu’il s’agit d’une méthode complètement nouvelle et mal conçue qui n’a jamais été appliquée auparavant dans l’histoire de l’humanité, il est donc impossible pour la plupart des médecins de donner un consentement éclairé approprié. Cependant, en raison des campagnes irresponsables du gouvernement et des médias pour promouvoir les vaccins, 80% des Japonais ont été vaccinés.

Malheureusement, sept doses ont été injectées jusqu’à présent. C’est le plus et le pire qui a été fait au monde. Et le résultat a été que l’injection de ces terribles vaccins a induit des dommages qui n’ont jamais été vus dans l’histoire de l’humanité. Je crois que l’utilisation frauduleuse de la thérapie génique expérimentale sur des personnes en bonne santé, en particulier sur des enfants en bonne santé, constitue une violation extrême des Droits de l’Homme. Cependant, Keizo Takemi, le ministre japonais de la Santé, du Travail et de la Protection sociale, a insisté sur le fait qu’il n’y avait aucune inquiétude sérieuse quant aux dommages causés par les vaccins génétiques. Et sans tirer les leçons de la situation actuelle des patients souffrant d’effets secondaires, ils envisagent de construire un nouveau système de production de vaccins en prévision de la prochaine “pandémie”. C’est une situation folle et difficile à croire.

Le gouvernement japonais est le premier au monde à approuver un nouveau type de vaccin appelé le vaccin auto-réplicant “Replicon”. Il prévoit de commencer à le fournir cet automne ou cet hiver. Le ministère de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie fournit d’énormes subventions pour ce projet. Et des usines pour produire ces nouveaux vaccins se construisent les unes après les autres au Japon. J’ai visité certaines de ces usines directement.

La “prochaine pandémie”

En outre, le gouvernement japonais sollicite actuellement des essais cliniques à grande échelle, d’une valeur de 900 millions de dollars, auprès des sociétés pharmaceutiques qui relèvent le défi de développer des vaccins pour se préparer à la “prochaine pandémie” due à la maladie X proposée lors de la conférence de Davos cette année. On suppose que cette action du gouvernement japonais fait partie de la mission des 100 jours de la CEPI (Coalition for Epidemic Preparedness Innovation), qui vise à réduire d’un tiers la durée de l’Operation Warp Speed. Ils tentent notamment de raccourcir le cycle commercial des vaccins en développant un vaccin en 100 jours. Cela n’est possible qu’en ignorant la perspective des Droits de l’Homme. Les amendements à l’OMS, le Règlement sanitaire international (RSI) et le soi-disant Traité pandémie, qui sont sur le point d’être adoptés lors de la 77e Assemblée Mondiale de la Santé cette année, tentent de donner une rationalité et une force juridique contraignante à des projets aussi insensés, non scientifiques et dangereux.

Si de telles choses continuent, il existe un risque élevé que les vaccins fabriqués au Japon soient exportés sous couvert de fausse confiance. Si le Japon devenait coupable de cela, cela laisserait un préjudice irréparable pour les générations futures. Par conséquent, les actions du gouvernement japonais DOIVENT ÊTRE ARRÊTÉES grâce à des collaborations internationales.

Les barrières sonores des médias grand public

Même si cela fait déjà trois ans que j’ai commencé à donner des conférences pour sensibiliser les Japonais aux dangers des vaccins, il est encore difficile de franchir les barrières sonores des médias grand public. Si nous disons la vérité sur les vaccins sur YouTube, elle est supprimée en un jour. La réalité est que nous sommes confrontés presque quotidiennement à la censure et à la suppression de la liberté d’expression.

Par conséquent, j’ai mis mon espoir dans la publication d’un livre qui soit le dernier bastion de la liberté d’expression. J’ai donc publié ce livre intitulé « Se retirer de l’OMS ». Il est difficile d’arrêter ce mouvement car il est désormais politiquement sans espoir de changer la situation du gouvernement japonais. Le message que je voudrais transmettre au monde est que lorsque la maladie X surviendra à l’avenir, vous ne devriez jamais faire confiance au vaccin fabriqué au Japon qui a été développé en une courte période de temps.

Afin de protéger les Droits de l’Homme en cas de contrôle qui transcende les frontières nationales, je crois que partager la vérité entre les pays est particulièrement important, une étape vers l’unité et la solidarité. Ce n’est que grâce au processus d’échange d’informations entre tous les pays du monde que nous pouvons trouver l’espoir au milieu du désespoir. J’espère que ma déclaration vous aidera tous à protéger votre santé et votre famille. Merci beaucoup pour votre attention.

Professeur Masayasu Inoue de la Faculté de Médecine de l’Université de la ville d’Osaka.

Traduction par la rédaction d’Essentiel News