Ses réponses se basent sur l’état actuel des connaissances et des incertitudes, telles que la science peut les établir.
M. Lafrance est aussi conseiller municipal (membre de l’exécutif) de Saint-Bernard-de-Lacolle, petite commune à 60km au sud de Montréal. Ayant exprimé des doutes sur le narratif des autorités et passé trente-quatre jours en Suède pour y observer la gestion sanitaire, il s’est vu traiter de « négationniste » du Covid par le journal de Montréal.
Alexandra Henrion Caude est elle aussi victime d’une campagne de dénigrement orchestrée par certains médias français, l’ayant affublée d’une « identité » nouvelle faite de fausses informations, comme par exemple sur son profil Wikipédia. Seul l’hebdomadaire Marianne, déclare-t-elle, s’est donné la peine de se renseigner sur ses relations avec l’INSERM, dont elle s’est mise en retraite en octobre 2019, sans avoir connu le moindre problème avec l’institution au sujet de ses travaux.
A menu de l’entretien :
- Tests PCR : la généticienne souligne que la règle de base devrait être la standardisation des procédures et des normes. Celles-ci devraient indiquer explicitement avec quelles machines les tests ont été faits, avec quels réactifs, selon quels protocoles et avec combien de cycles d’amplification. A défaut de connaître ces paramètres, on mélange les carottes et les choux ; sachant que pour une maladie infectieuse, un PCR réalisé sans examen clinique du patient est de toute manière sans pertinence.
- Infections et décès post-vaccinaux : restant prudente, elle souligne toutefois qu’il semble qu’il y ait bel et bien un nombre anormal d’infections et de décès Covid post-vaccinaux. Le variant Delta, peu virulent par lui-même, semble pouvoir être plus dangereux chez certains double-vaccinés. Ce qui ne serait qu’une demi-surprise, dans la mesure où la science connaissait le risque d’une réaction immunitaire facilitant plutôt qu’empêchant la pénétration du virus dans l’organisme. Avec des formes de « vaccine-enhanced disease » (maladie aggravée par la vaccination) et ce paradoxe que la vaccination génique puisse diminuer le nombre de cas sévères, mais créer dans le même temps des formes aggravées qui ne se seraient pas produites sans vaccin.
- Immunité : l’immunité naturelle se révèle bel et bien largement supérieure à l’immunité vaccinale. Donnant la référence du site israelnationalnews.com, il est relevé que 40% des nouveaux patients ont été vaccinés, contre seulement 1% qui avait été précédemment infectés. Ce qui correspond aussi à une connaissance que la science avait déjà : un article publié le 24 mai dernier dans Nature sur la durée de l’immunité contre le Sars-CoV-2 dans les cellules de moelle osseuse montre qu’elle est détectable 11 mois après l’infection, limitée uniquement par l’expérimentation. En ce que concerne le premier Sars-CoV, l’immunité naturelle est encore active 17 ans après, donnant de surcroît une immunité croisée avec le nouveau coronavirus malgré les importantes différences entre les deux !
- Efficacité de l’Ivermectine : avoir tout misé sur la vaccination est incompréhensible, à la lumière de la science et des bonnes pratiques en santé publique : comme l’ont montré plusieurs dizaines d’études de qualité et les résultats probants des pays qui l’utilisent, l’ivermectine apparaît efficace, tant en prophylaxie qu’en traitements précoce et aigu, avec de surcroît un effet thérapeutique sur les Covid longs. Ne pas soigner avec cette molécule (dont le Jerusalem Post vient de rappeler qu’elle permettrait de traiter les patients au coût d’un dollar par jour) est une décision politique dictée par d’autres impératifs que le bien public et la santé de la population. Il s’agit même d’un déni de science ; une des nombreuses décisions actuelles qui échappent à l’entendement rationnel et ne s’expliquent guère que par un « business as usual », sachant que nos gouvernements sont soumis à de nombreuses pressions. La réalité est qu’on n’a jamais vu un vaccin associé à autant de décès et d’effets indésirables graves. (Voir aussi notre article du 13 août : cliquer ici)
- Fertilité et grossesses : les études de Pfizer n’ont tout simplement pas évalué ce risque ! Partir dès lors du principe qu’on n’a pas connaissance de problèmes particuliers est indéfendable, sachant qu’on a raccourci les essais cliniques avec une phase d’observation de 6 mois au lieu des 24 requis ! Le fait est que la protéine Spike se diffuse bel et bien dans tout le corps après la vaccination, et que les récepteurs qui la fixent (ACE2, NRP-1, BSG) se retrouvent en grand nombre dans les testicules, le placenta et les cellules intestinales. On ne peut donc absolument pas affirmer à ce stade que l’injection génique est sûre. Le placenta étant l’organe humain le plus vascularisé, le risque existe que la protéine Spike y déclenche aussi des thromboses. Avec le risque qu’elle franchisse la barrière placentaire, sachant que la « reverse transcriptase » est particulièrement élevée dans cellules embryonnaires… On a d’ores et déjà observé un nombre anormalement élevé de troubles menstruels (des saignements, y compris chez des femmes ménopausées), ainsi que de fausses couches. Des phénomènes qui auraient dû être anticipés et sont actuellement confirmés par toutes les bases de données à travers le monde.
- Effets toxiques du “piratage” des cellules par l’ARNm: dans une perspective de biologie systémique, il faut comprendre que tout est lié : dans l’organisme, chaque information est liée à plein d’autres informations. L’information spécifique que constitue l’ARN est ultra versatile, puisque cette molécule peut interagir avec les protéines, l’ADN, ainsi qu’un nombre important de composés et de processus biochimiques. L’ARN messager du vaccin entre dans les cellules à l’insu du corps ; et ce, contrairement à l’ARN utilisé dans le vaccin contre la rougeole, lequel est reconnu d’emblée comme provenant d’une espèce différente. Avec l’ARN messager du vaccin génique, les cellules ne savent pas s’il appartient ou non à l’organisme. La protéine Spike produite par ce « piratage » du logiciel de nos cellules circule dans l’organisme pendant une dizaine de jours ,avec une importante signalisation toxique.
- Toxicité pour le foie : la base de données américaine VAERS (sur les effets indésirables des vaccins) peut être consultée en temps réel. La généticienne mentionne le cas d’une femme allaitant son enfant de 5 mois. Le jour même de la vaccination, le nourrisson a arrêté de boire. Il est décédé deux jours plus tard, avec une inflammation majeure au niveau du foie. Ce qui était également anticipable : la toxicité hépatique des nanocapsule lipidiques ayant été signalée. Il faudrait au moins doser les enzymes du foie chez les jeunes qui se font vacciner… ce qui n’est jamais fait.
- Nombre d’effets indésirables et de décès sans précédent : on devrait arrêter immédiatement la campagne d’injection génique devant les remontées massives et sans précédent d’effets indésirables et de décès. Et revenir aux fondamentaux de la médecine : diagnostiquer sur la base d’examens cliniques, soigner toutes les personnes atteintes, et faire confiance à l’immunité naturelle. Tout le contraire des réponses politiques, qui n’ont plus rien de sanitaire, portées par une propagande médiatique cousue de fil blanc.
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AVERTISSEMENT / CENSURE
La vidéo originale de l’interview ayant été censurée par YouTube, nous vous proposons désormais de la suivre sur la plate-forme Odysee.
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- Lien de la vidéo sur Odysee (à partager ) : https://odysee.com/@jssimonjean51:c/Rencontre-entre-Me-Andr%C3%A9-Lafrance—Alexandra-Henrion-Caude—Tests-PCR—Injections:9