Les «vaccins» Covid n’ont pas réduit les cas graves

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Exploit : en 12 mois on est passé d’un vaccin qui promettait la lune, à 4 doses sans protection contre l’infection.

Le blog “Covid, faits & chiffres” (anciennement blog du Dr Gérard Maudrux) poursuit son inlassable œuvre d’information. Les auteurs présentent ici les données relatives à la “protection contre les formes graves”, ultime argument disponible pour les les thuriféraires des injections géniques expérimentales. Qu’en est-il donc et que montrent les données disponibles ? Tentative d’y voir clair au-delà des croyances, des dogmes et des parti-pris.

“La protection à 95% se déplume petit à petit. Pensant au départ être couverts, atteindre une immunité collective et en terminer avec l’épidémie, ce pourquoi sont faits habituellement les vaccins, on a appris que l’immunité collective était une utopie inaccessible. Ensuite on apprend que nous n’étions couverts que quelques mois, mois dont le nombre a rapidement diminué pour tomber officiellement à trois. Officiellement car en pratique on se demande si on ne doit pas compter maintenant en semaines, vu le nombre de tri-vaccinés qui profitent de l’omicron, nombre de ministres donnant l’exemple à ne pas suivre, en contradiction avec leurs affirmations. Maintenant, on ne nous parle même plus de protection, tant cette non efficacité devient de plus en plus difficile à cacher, mais uniquement de protection de formes graves. Exploit : en 12 mois on est passé d’un vaccin qui promettait la lune, à 4 doses sans protection contre l’infection.”

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