Le graphique ci-joint est issu de la base de données officielle VAERS (centre de recensement des effets secondaires des vaccins aux Etats-Unis)(1). Il représente tous les cas de myocardites et péricardites signalés depuis 12 ans, tous types de vaccins confondus (grippe classique, COVID-19, etc.).
Depuis la vaccination contre le COVID-19, ce nombre a explosé :
Les vaccins Pfizer et Moderna représentent 98,3% des inflammations cardiaques enregistrées contre seulement 1,7% des cas pour le vaccin JANNSEN .
Les deux premiers sont basés sur la nouvelle technologie à ARN messager, déployée pour la première fois en 2021. Alors que JANNSEN utilise la technologie du virus atténué. Avec l’ARN, on vous injecte un message génétique qui va forcer le corps à produire lui-même une partie du virus et donc à réagir en créant des anticorps. Il s’agit d’une expérimentation humaine testée à grande échelle sur le plan planétaire.
Dès le 25 juin 2021, l’autorité américaine des médicaments (la Food and Drug Administration ou FDA) demande l’ajout de cet avertissement dans les fiches d’information des vaccins Pfizer et Moderna (qu’on ne vous montre jamais)(2) : “ Les rapports d’événements indésirables suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec l’apparition de symptômes quelques jours après la vaccination “.
Et en Europe?
La chasse aux données européennes sur les effets indésirables des vaccins covid est un parcours du combattant nécessitant une expertise informatique de haut niveau(3). Les vainqueurs de ce labyrinthe arrivent aux mêmes conclusions: les myocardites et péricardites ont également explosé de plusieurs centaines de fois. Pfizer et Moderna sont eux aussi largement en tête.
Au total, 13’782 cas ont été recensés, dont 76% pour la tranche 18-64 ans. Les deux dernières semaines enregistrées (47 et 48) montrent un bond de 37%, imputable à l’encouragement de la 3e dose.
En Suisse, pluiseurs témoignages de soignants (dont le nom doit malheureusement être tu) nous font état d’une progression similaire, mais les employés d’hôpitaux ou établissements médico-sociaux ont reçu l’ordre de ne pas en parler sous peine de sanctions.