Article de Nexus :
La justice américaine avait jusqu’au 16 avril 2024 pour apporter à la Haute Cour britannique des garanties concernant le sort de Julian Assange si celui-ci était extradé vers les États-Unis. C’est chose faite depuis mardi. Washington s’engage notamment à ce que le fondateur de WikiLeaks ne soit pas « jugé pour un délit passible de la peine de mort ». Prochaine étape le 20 mai.
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Et bé… comme ça, Julian Assange ne risquerait pas la peine de mort aux U.S.
Il est important de faire remarquer qu’à l’heure actuelle, il y a des détenus dans le couloir de la mort aux U.S., mais vraisemblablement dans des prisons de haute sécurité où sont détenues des personnes qu'”on” estime présenter des risques importants pour la sécurité, qui aimeraient bien pouvoir mourir, tellement elles trouvent les conditions d’isolement (SANS CONTACT)inhumaines, insupportables, surtout sans aucune perspective d’y échapper un jour. Elles trouvent le temps… très long, même nourries, logées, confinées indéfiniment.Le tout justifié par le besoin de… sécurité.
Dans un des pays du 0% risque, il y a des personnes qui aimeraient mieux mourir que de vivre ainsi, et on peut juger qu’elles ne sont pas folles, svp. Oui, on peut leur donner assez de crédit pour ne pas les soupçonner de folie, tout de même.