«Ne vous faites aucune illusion: elle sera d’abord “proposée”… et ensuite, elle sera OBLIGATOIRE POUR CONSERVER SON CERTIFICAT COVID!», affirme l’Association pour la défense des droits fondamentaux des humains et de la protection des données médicales et privées.
Sa pétition avait déjà recueilli 75’000 signatures jeudi 18 novembre.
Déjà appliqué en Israël, déjà décidé en France
Rappelons ici que l’obligation d’une troisième dose pour conserver son pass deviendra une réalité en France dès le 15 décembre pour les plus de 65 ans et/ou les “personnes à risque”. C’est une réalité dès 12 ans en Israël depuis l’été dernier.
Or, Il y a quelques mois seulement, rappelle Thomas Müller, président de l’ADEPSM, on nous avait promis la “fin de l’épidémie” grâce à deux doses d’un vaccin expérimental.»
Aucun retour à la vie normale en Suisse malgré les promesses
Résultat: l’épidémie n’a pas reculé d’un pouce en Europe en 2021, par rapport à 2020, ajoutant qu’il n’y a aucun retour à la vie normale en Suisse.
Et de dénoncer une «société de surveillance et du QR code généralisée», comme en témoigne l’arrestation brutale de restaurateurs de Zermatt parce qu’ils ne voulaient pas contrôler leurs clients.
La peur d’une saturation des hôpitaux cet hiver reste toujours brandie, alors que 70% des adultes sont maintenant vaccinés. Et que 45% des lits de soins intensifs ont été supprimés depuis 18 mois.
Les vaccins n’empêchent ni les infections, ni la transmission, ni les formes graves sur la durée
«Nos grands experts ont été obligés de reconnaître qu’il se sont trompés”, estiment les pétitionnaires.
Ils ont admis que les vaccins anti-Covid n’empêchent ni les infections, ni la transmission du virus – ils ne peuvent donc pas stopper l’épidémie. Ensuite, ils ont admis que ces vaccins ne protègent des formes graves que quelques mois ; c’est pourquoi ils demandent une 3ème dose de rappel.
Effets indésirables graves
Enfin, ils ont admis que ces vaccins avaient de graves effets indésirables : après avoir suspendu le vaccin AstraZeneca, la France vient de déconseiller le vaccin Moderna aux moins de 30 ans, parce qu’il provoque des myocardites (graves inflammations du cœur).
Plutôt que de se tourner vers d’autres solutions – comme les mesures de prévention et les très nombreux traitement précoces qui existent mais que les médecins n’ont pas le droit de prescrire – «les mêmes qui nous ont faussement promis la lune après 2 doses, veulent maintenant nous forcer à faire une 3e dose”, déplore l’ADEPSM.
Et cela, «sans le moindre recul sur sa dangerosité (…) et sans moindre preuve scientifique sérieuse de son efficacité», regrette l’ADEPSM.
Les double-vaccinés “rétrogradés”au statut de non vaccinés : le Conseil fédéral avance à pas de loup avant la votation
Cela veut dire que les vaccinés deux doses, comme les non-vaccinés, n’auraient bientôt plus accès librement:
-Aux restaurants et bars
-A tous les concerts, musées et manifestations culturelles
-Aux salles de sports, piscines, centres de loisirs, bains thermaux, etc.
-Aux grandes cérémonies religieuses et fêtes, mariages, enterrement
En ce moment, ajoute Thomas Müller, le Conseil Fédéral passe cela sous silence, pour ne pas attiser la colère avant le vote sur le durcissement de la loi Covid.
Mais si les Suisses votent «oui» le 28 novembre, alors l’association est persuadée que «le certificat Covid sera prolongé et maintenu en Suisse, peut-être pour des années. Et que, pour en bénéficier, il faudra certainement avoir 3 doses (puis 4, 5, etc.) comme c’est déjà le cas en Israël. Alors qu’en France, le président Macron vient d’annoncer l’obligation de 3ème dose pour les plus de 65 ans s’ils veulent conserver leur pass.
Dès janvier 2022, les premiers vaccinés verront leur certificat périmé
En Suisse, pour Thomas Müller, «il y a une preuve très claire que la 3ème dose sera obligatoire. Cette preuve, c’est que le certificat Covid n’est valable que 12 mois. Cela veut dire que, dès janvier prochain, les premiers vaccinés verront leur certificat se périmer.»
C’est ce que l’Office fédéral de la Santé publique a annoncé fin octobre :
La 3ème dose ne doit pas être obligatoire, poursuivent les pétitionnaires, car on sait maintenant que les vaccins peuvent causer des effets indésirables graves, parfois fatals.
A chaque dose supplémentaire, les effets signalés augmentent
Les institutions de pharmacovigilance de la plupart des pays ont constaté qu’à chaque dose supplémentaire, le nombre d’effets signalés augmente nettement.
Selon Thomas Müller, quand on en parle autour de soi, on entend que la plupart des gens ont eu beaucoup plus d’effets indésirables après deux doses, qu’après la première. Notamment plus de nuits blanches, de fièvre, de frissons et de douleurs, ainsi que des fortes migraines. Les risques de réactions plus sévères lors d’une 3e dose ne sont pas négligeables.
On a ainsi observé en Israël que sur 136 myocardites suite aux injections de vaccin Pfizer, 19 ont eu lieu après la 1ère dose et 117 après la 2ème dose. Il y a ainsi une multiplication par 6 du risque entre les deux.
«Certains pensent qu’il pourrait même y avoir une augmentation exponentielle du danger, c’est à dire une multiplication par 36 du risque d’avoir des effets secondaires graves. En réalité, personne ne le sait avec certitude.
C’est une expérimentation à l’échelle mondiale sur laquelle nous n’avons aucun recul», conclut l’ADEPSM.
L’aveu d’Alain Berset : la validité prolongée seulement si la protection du vaccin reste élevée
Concernant le ministre de la santé Alain Berset, Müller rappelle qu’il disait ne pas envisager une seule seconde d’imposer le certificat Covid en Suisse pour les restaurants ou musées. Et pourtant, il l’a rendu obligatoire début septembre. Il est clair que l’histoire va se répéter avec la troisième dose”, estime-t-il.
Alain Berset l’a déjà reconnu publiquement : la validité du certificat Covid avec 2 doses ne sera prolongée qu’à une seule condition : « si la protection du vaccin reste élevée »3 Mais on sait déjà que cette condition ne sera pas remplie.
Partout dans le monde, on observe une chute de l’efficacité du vaccin, après quelques mois :
- En France, Arnaud Fontanet du Conseil scientifique l’a dit haut et fort : «la protection contre l’infection passe de 80% deux mois après la deuxième dose à 50% au bout de six mois»4
- Selon une étude israélienne, c’est même encore plus grave: l’immunisation ne dure que quelques mois : «L’immunité contre le variant delta du SRAS-CoV-2 a diminué dans tous les groupes d’âge quelques mois après la réception de la deuxième dose de vaccin(…) d’où l’importance des doses de rappel» (3ème, 4ème, 5ème…)
Une étude suédoise vient d’enfoncer le clou. 1,7 millions de cas – vaccinés et non vaccinés ont été examinés. Après 200 jours, il n’y a plus AUCUNE efficacité contre les infections.
C’est même pire: après 240 jours, l’efficacité devient négative : ce qui veut dire que les vaccinés 2 doses ont plus de risques d’être infecté !
Contre les formes graves, l’efficacité du vaccin est en chute libre: au bout de 9 mois, elle n’est plus que de 20 à 25 % !
En Suisse, la pétition demande «d’arrêter ce projet dangereux d’obligation, car il n’y a pas de preuve que la 3ème dose protège vraiment du Covid. Aucun essai clinique sérieux n’a été réalisé pour le prouver.» Et d’appeler les vaccinés et non vaccinés à se mobiliser ensemble pour la liberté de choix et contre la 3ème dose obligatoire.
Après deux doses seulement, l’organe de surveillance Swissmedic constate un tiers d’effets secondaires graves:
Après 3 doses, il y a toutes les raisons de penser qu’il y aura encore plus d’effets indésirables, ajoute l’ADEPSM :
- 24 à 48 heures d’enfer pour la majorité des vaccinés (vertiges, fièvres, frissons, douleurs)
- Roulette russe pour une minorité malchanceuse, avec les réactions graves rares et reconnues officiellement: paralysie faciale, myocardites, lymphadénopathie, appendicite, zona7, etc.
- Sans parler des effets mortels, non reconnus pour l’instant mais fortement suspectés: thromboses, AVC, embolies pulmonaires, etc.
Voilà pourquoi la 3ème dose doit rester un choix individuel.
Chacun doit évaluer librement, avec son propre médecin, son risque et son bénéfice. Il est impensable d’imposer cette 3ème dose expérimentale via le certificat Covid, concluent les pétitionnaires.
Vers la pétition :
https://www.non-a-la-3-dose.ch/signature
Sources
[1] https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20211003-isra%C3%ABl-le-passe-sanitaire-d%C3%A9sormais-directement-li%C3%A9-%C3%A0-la-3e-dose-de-vaccin
[2] https://www.24heures.ch/le-certificat-covid-pourrait-regenter-la-vie-des-suisses-399577422779
[3] https://www.blick.ch/fr/news/suisse/pas-aussi-fort-que-les-manifestations-berset-parle-dun-soutien-populaire-tres-large-a-la-politique-du-gouvernement-id16951678.html
[4] https://www.lindependant.fr/2021/10/24/covid-19-meteo-efficacite-du-vaccin-a-la-baisse-pourquoi-la-hausse-des-cas-est-inevitable-9887702.php
[5] https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3949410
[6] https://www.20min.ch/fr/story/vaccination-34-des-effets-indesirables-sont-juges-graves-211190720995
[7] https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2021/revue-medicale-suisse-756/securite-du-vaccin-a-arnm-bnt162b2-pfizer-en-etude-de-phase-4
Voir aussi sur CovidHub :
https://essentiel.news/emmanuel-macron-plus-de-pass-sans-3e-dose-un-journaliste-en-colere-lui-repond/
Suisse : Swissmedic autorise la 3e dose. Bientôt exigée pour conserver son pass sanitaire ?