Par le Dr Thierry Schmitz
Pierre Chaillot, statisticien, a publié il y a quelques semaines un livre bombe : Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels. Avec les données officielles, il démontre :
– D’une part, qu’il n’y a pas de surmortalité en 2020 qui dût justifier les mesures de confinement. Le rapport même qui les recommandait souffrait de truquages statistiques, d’après le mathématicien Vincent Pavan.
– D’autre part, que la panique de 2020 était due à une mauvaise organisation des hôpitaux: seuls 38 d’entre eux étant, au départ, habilités à recevoir des malades «covid», sur plus d’un millier d’établissements hospitaliers.
Il ajoute aussi une petite cerise sur le gâteau : il n’y a pas, en France, d’accès aux données sur les morts dus à la vaccination, lesquelles montreraient, comme c’est le cas en Angleterre, que les vaccinés meurent plus que les non-vaccinés par classe d’âge.
En somme, nous avons été manipulés de bout en bout. Vous le saviez déjà, certes, mais maintenant, ça devient OFFICIEL.
Un journaliste terrorisé par la vérité
Son ouvrage, pourtant scientifique et dans les meilleures ventes en France, subit la loi du silence du milieu journalistique – l’Express refuse même de le chroniquer… belle fiabilité d’un journal aux ordres, et qui ne veut pas de débat. D’ailleurs, quand Pierre Chaillot passe en plateau de télévision, sur C8, on sent une forte tension, sinon une terreur du journaliste.
Vous n’êtes pas sans savoir que le gouvernement tient la presse par les subventions, et a imposé à tous les médias de relayer le discours de la peur, qui lui a donné les coudées franches, c’est le moins que l’on puisse dire.
Mais il y a aussi la crainte que les peuples se tournent vers les dirigeants et leur demandent de rendre des comptes sur les malheurs qu’ils vont vivre ou qu’ils ont vécu – par la violence.
Effets secondaires : nous n’en sommes qu’au début
Car, les effets secondaires des vaccins covid, comme je l’ai souvent écrit dans ces colonnes, sont supérieurs à tous ceux des autres vaccins jamais employés, et ils peuvent être encore multipliés par 10, au moins[2].
C’est devenu un fait de société, et ce n’est que le début. Même la très sage chaîne Arte a consacré un reportage sur le sujet. Façon de désamorcer les craintes. Pour combien de temps encore ?
Nous avions ici parlé des études sans aucun fondement scientifique qui tendaient à «prouver» que les vaccins n’avaient aucune incidence sur la fertilité. Et pourtant, la fertilité est devenue un sujet d’inquiétude largement relayé par les journaux, sans que les liens avec la vaccination ne soient faits[3].
Là aussi, il ne faudrait pas que la panique se retourne contre les gouvernants et les médias.
Les gouvernants sur des charbons ardents
Matt Hancock, l’ancien ministre de la Santé anglais, n’a même pas effacé les conversations téléphoniques sur lesquelles il est avéré qu’il se servait des nouveaux variants pour terroriser volontairement la population[4].
Ce scandale secoue en ce moment la scène politique anglaise. Et les Anglais sont désormais pleinement lucides sur le sens qu’ont pris les politiques « covid » :
Plus de pouvoir pour les médias, pour le gouvernement, pour les cabinets de conseil, pour les grosses entreprises de livraison comme Amazon, qui ont plus que jamais cassé le commerce de proximité.
Classe moyenne ruinée, médecine discréditée
Les conséquences, vous les connaissez. La classe moyenne s’est ruinée, et avec la dette covid, on lui fait payer les mesures mêmes qui l’ont ruinée, quand elles n’ont pas rendu ses membres fous ou malades.
C’est donc aussi un problème pour la médecine elle-même, complètement discréditée, parce qu’elle a servi les intérêts du clergé médiatique et de « l’élite » politico-financière.
Cet usage pernicieux de la médecine nous a déjà conduit à une période «post-scientifique», où la croyance la plus élémentaire dans la science est discréditée.
Cela représente un recul de nos sociétés. La civilisation occidentale, qui mettait l’autorité scientifique au-dessus des autorités religieuses, depuis Galilée au moins, vacille sur ses fondements.
La reconnaissance officielle, par le FBI, que le covid est issu du laboratoire de Wuhan[5] et non d’un pangolin, ne change rien à l’affaire, sinon à susciter encore plus de questions : que couvre-t-on encore ?
Un immense espoir
Le cataclysme ne fait que commencer. Il faudra 10 bonnes années pour que l’on se rende compte de l’ampleur de la supercherie médico-politique qui s’est abattue entre janvier 2020 et mai 2022.
Seule l’énormité du mal qui a été accompli, et qui va continuer à s’accomplir, donnera à la justice le souffle de faire rendre gorge aux responsables de cette folie. La médecine et la science se remettront-elles jamais de ce discrédit ? Si l’Occident perdure, elles perdureront. S’il s’effondre, elles s’effondreront avec lui.
Et pourtant, vous ne m’enlèverez pas d’avoir vu un immense espoir se lever pendant cette crise.
Des gens qui ne vaquaient qu’à leurs occupations, qui ne se souciaient pas de leur prochain, ont exigé des comptes, et ne se sont pas laissés berner par ceux qu’on leur présentait faussement comme des sachants.
Besoin de savoir, retour de l’esprit critique
Dans le peuple s’est élevé un immense appétit de savoir, de souci d’autrui, de retour de l’esprit critique, de redéfinition du bien commun, de rejet de cet État qui se prend pour notre mère à tous, quitte à nous étouffer entre ses bras.
Cet espoir a donné lieu à un engouement renouvelé pour la médecine – notamment pour la médecine naturelle, pour une alimentation saine, pour une vie en bonne santé, indépendante de la grande distribution et des labos.
En somme, la santé est redevenue une cause populaire, ce qu’elle n’avait plus été depuis le XIXe siècle.
Bien sûr, il faut rester vigilants, car les charlatans pullulent plus que jamais, dans la médecine allopathique comme dans la médecine naturelle. Mais il y a eu un tel sursaut de l’esprit critique et de l’action citoyenne, qu’enfin, depuis longtemps, je me remets à espérer pour les générations futures.
Quoiqu’il arrive, gardez confiance dans l’avenir.
Sources
[2] Car la pharmacovigilance, qui prend en considération les effets secondaires, est très déficiente de ce point de vue-là. De plus, le monde de la médecine n’a pas l’habitude de faire preuve d’ingratitude envers ses principaux mécènes, les laboratoires pharmaceutiques.
[3] https://destinationsante.com/linfertilite-progresse-t-elle-en-france-video.html
[5] https://edition.cnn.com/2023/02/28/politics/wray-fbi-covid-origins-lab-china/index.html