L’avocate Virginie de Araujo-Recchia, le Dr Louis Fouché et l’anthropologue Jean-Dominique Michel lancent un appel à occuper le terrain de manière pacifique, en réponse à ce qu’ils considèrent être une dérive liberticide sans justification sanitaire.
A l’heure où les protestations se multiplient (celles des jeunes en particulier comme le montre le montage, tourné à Lausanne en Suisse le mardi 21 septembre), les auteurs en appellent à un mouvement qui assiège “avec conscience, insistance et bienveillance” les bastions du pouvoir. Ils se réfèrent notamment aux chaînes humaines lancées par la généticienne Alexandra Henrion-Caude.
Assiégeons-les (avec Amour)!
Appel du 17 septembre 2021
Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate
Dr Louis Fouché, médecin réanimateur-anesthésiste
Jean-Dominique Michel, anthropologue et expert en santé publique
Nos autorités continuent à nous imposer des mesures de plus en plus brutales et surtout inutiles. Elles ont maintenant imposé un « pass sanitaire », instituant une discrimination et une ségrégation en fonction de la soumission des individus à une injection génique expérimentale dont les risques réels ne sont pas connus, et dont l’immense majorité de la population n’a aucun besoin pour se protéger ou protéger les autres.
La meilleure immunité (et de loin) face à toute infection virale est l’immunité naturelle, qui protège durant des décennies. En ce qui concerne le Sars-CoV-2, contre toute science, elle n’est pas reconnue valable au-delà de quelques mois.
Ce qui prouve si besoin était que nos gouvernements sont au service d’intérêts économiques privés et non pas de la santé et de la sécurité de la population.
Le Pr Martin Kulldorff professeur d’épidémiologie à la Faculté de médecine de l’Université de Harvard (classée première université au monde) vient de dire que « les dernières données sanitaires ont détruit tous les arguments en faveur d’un pass sanitaire. » Imposé malgré tout en France sur la base d’une (nouvelle) étude frauduleuse.
Il soulève aussi, avec ses meilleurs collègues (comme les Pr Ioannidis et Battacharya de Stanford, Gupta et Pollard d’Oxford et des dizaines de milliers d’autres) que l’immunité collective vaccinale est désormais un mirage et que la politique sanitaire mise en œuvre dans nos pays est un véritable « fiasco de santé publique », contraire à tout ce que l’on sait devoir faire pour bien gérer une épidémie.
Or nos autorités n’écoutent plus les meilleurs scientifiques depuis 18 mois. Elles s’en remettent à des petits groupes d’experts payés par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, à des sociétés de conseil et à des cercles d’influence qui n’ont rien à voir avec la démocratie. Et nous imposent des mesures arbitraires, détruisant la vitalité et la richesse économiques, culturelles et sociales de nos sociétés et in fine la vie des gens.
Cette crise n’a depuis longtemps plus rien de sanitaire.
Prétendant lutter contre un virus qui n’a pas accru le risque de mortalité en-dessous de 70 ans dans nos pays et dont la médiane d’âge des décès est alignée sur l’espérance de vie, qu’on saurait très bien soigner avec des remèdes connus, peu chers et efficaces, nos gouvernements et les médias qu’ils subventionnent ont entretenu depuis une année et demie une psychose collective toxique.
En donnant en permanence à la population une vision erronée de la réalité, pour lui faire accepter des mesures de plus en plus abusives et liberticides.
Dans leur fuite en avant, nos gouvernements trahissent l’intérêt et la confiance du peuple. Elles nous conduisent vers l’esclavage en privilégiant les intérêts des plus grosses sociétés mondiales au détriment des forces vives de l’économie réelle, de nos PME, commerces de proximité, entrepreneurs et indépendants. Même les grandes entreprises nationales sont aujourd’hui au bord de l’asphyxie.
Ceci pour des mesures qui n’ont pas d’utilité sanitaire réelle : les pays qui ne les ont pas appliquées s’en sortent -et de loin- mieux que les nôtres.
Ils martyrisent maintenant les soignantes et soignants qu’ils faisaient applaudir en les laissant prendre tous les risques au printemps 2020. Conditionnant leur droit de pratique à une expérimentation génique, ils réalisent une purge des milieux soignants qui ne laissera en place que les soumis et les obéissants.
Un viol des corps et des consciences
Nombre de malheureux cèdent à contrecœur pour ne pas perdre leurs moyens de subsistance et voient leur intégrité corporelle et leur conscience violées par une injection dont les fabricants (firmes criminelles multirécidivistes) ont d’ores et déjà obtenu l’impunité pour tous les potentiels effets destructeurs. Les données de pharmacovigilance sont alarmantes, avec déjà des dizaines de milliers de personnes tuées par ces injections géniques en Europe et des millions d’effets secondaires souvent graves. Alors qu’on sait qu’au maximum 10% des incidents sont signalés.
Comme rien – ni les appels des meilleurs scientifiques, universitaires et médecins, ni les pétitions, ni les plaintes judiciaires, ni les protestations de millions de personnes dans la rue chaque semaine et à travers le monde – ne les détournent de leur agenda morbide, nous devons les arrêter, ici et maintenant !
Les protestations numériques, chacun derrière son écran, ne suffisent plus. Les manifestations des samedis ne suffisent plus. Les malades qui nous gouvernent ne sont sensibles qu’aux rapports de force. Comme ils ont le pouvoir des armes et la brutalité de leur côté, les seules puissances que nous puissions leur opposer (celles qu’ils redoutent le plus en vérité) sont celles de notre présence et de notre conscience. Nous devons occuper le pays. Occuper les alentours des lieux où ils fourbissent leurs sinistres plans et mettent en œuvre leurs politiques destructrices.
« Ne doutez jamais qu’un petit groupe de personnes peuvent changer le monde. En fait, c’est toujours ainsi que le monde a changé. »Margaret Mead
C’est pourquoi :
Nous appelons toutes les personnes intègres et de bonne volonté à assiéger pacifiquement les lieux du pouvoir. En faisant des chaînes humaines, des sit-in, des piquets de conscience ou par de simples regroupements pacifiques et festifs.
Réunissons-nous en masse devant les hôpitaux, les ministères, les préfectures, les médias et chaînes de télévisions, privés ou d’état, devant les universités, les hautes écoles et les lycées, les administrations, tous ces lieux qui participent activement à cette ignominie.
Faisons-le sans violence et avec Amour, le terme amour devant être compris non pas comme une mièvrerie mais comme une posture implacable, un regard plongé au fond des yeux de l’autre et qui le met à nu pour lui demander :
« Que fais-tu ? Pourquoi violes-tu ainsi l’honnêteté et la bonne foi ? Comment peux-tu faire preuve de si peu d’empathie envers tes semblables ?
Pourquoi torturer la population et en particulier ses membres les plus vulnérables comme les aînés et les enfants ? Pourquoi imposer des mesures brutales, violentes, risquées, contraires à toutes les bonnes pratiques en santé publique ? Pourquoi agir ainsi au service de l’instinct de mort plutôt que de chérir la vie et la beauté qui nous entourent ? Qu’as-tu fait de tes devoirs et responsabilités envers la population ? A quoi ou à qui as-tu vendu ton âme ? »
Que ce regard que nous porterons sur eux, jour et nuit, par beau temps, qu’il pleuve ou qu’il vente, sans haine, sans injure, sans violence, mais avec la lucidité implacable de notre humanité et de notre conscience, les fasse reculer et les hante !
Et oui, puisque ce que redoutent plus que tout cette caste et cette élite dénaturées sont l’amour, la liberté, les sentiments, la solidarité, la proximité, le contact, le toucher, la musique, la poésie, la danse, la spiritualité, la joie, l’innocence et le vivre-ensemble, en définitive le « NOUS », restons-là face à eux, sans faiblir, désarmés, n’ayant pour seul puissance que celle de notre regard posé sur eux et la force irréductible de notre liberté – et de notre amour de la vie.
DÈS AUJOURD’HUI ET JUSQU’À LA VICTOIRE, ASSIÉGEONS-LES (AVEC AMOUR) !
« Vous pouvez demander aux gens qui m’entourent. Je n’abandonne pas. Je n’abandonne pas… et ce n’est pas par frustration ou désespoir que je dis que je n’abandonne pas. Je n’abandonne pas parce que je n’abandonne pas. Je n’y crois pas. »
Johnny Cash
NOUS N’ABANDONNERONS PAS.
PS. N’hésitez pas à relayer cet Appel de toutes les manières possibles. Et à rejoindre toutes les initiatives intègres. C’est maintenant que se joue le sort de notre liberté et de notre dignité.