L’impact destructeur des mesures sanitaires (et non pas de l’épidémie elle-même !) sur la population est d’une gravité sans précédent.
L’éthique en santé publique commandant qu’un examen rigoureux de la balance coûts / bénéfices soit fait avant l’imposition de toute mesure de quelque ordre que ce soit, nous ne pouvons que constater avec consternation que cet examen n’a jamais été fait au-delà de quelques gesticulations autour de modélisations qui se sont avérées systématiquement fausses.
Il était évident depuis le début que les principaux impacts destructeurs porteraient sur l’économie réelle d’une part (le gagne-pain honnête de centaines de millions voire de milliards de personnes à travers le monde) ainsi que sur la santé mentale des populations.
Quinze mois plus tard, les ravages sont là. Avec deux phénomènes nouveaux : une vague d’hospitalisations en psychiatrie pour des personnes n’ayant aucun diagnostic psychiatrique classique. Et une flambée des taux de suicide, en particulier chez les jeunes.
On voit même apparaître le sommet de l’horreur : des suicides et tentatives de suicide chez les enfants.
Ce phénomène étant quasi-inexistant (Dieu merci !) en temps normal, va-t-on enfin commencer à prendre conscience de la maltraitance qui leur est infligée, au point d’en devenir lourdement traumatisante ?! Tout cela pour une épidémie qui aurait pu et dû être gérée de manière sereine et sans infliger de telles souffrances et brutalités à l’entier de la population…
Le moins rassurant étant que celles et ceux qui nous gouvernent ne semblent aucunement capables et encore moins désireux d’ouvrir les yeux sur les tragédies qu’ils ont largement provoquées, ni de faire marche arrière -quand bien même cela est plus urgent que jamais.
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