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Suicide en Suisse de l’actrice Katarina Pavelek, terrassée par une maladie post-vaccinale

Atteinte de l'incurable maladie de Charcot après sa dose de rappel Covid, elle a choisi en juin 2023 une mort volontaire assistée près de Bâle. Son histoire a été censurée par Facebook.

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L’actrice et modèle hollywoodienne Katarina Pavelek, ne pouvant plus supporter les séquelles de ses vaccins COVID-19 successifs, est venue en Suisse pour mettre fin à ses jours. C’était le 17 juin 2023 dans une clinique spécialisée à Liestal (Bâle). Elle a fait appel au service de “mort volontaire assistée” proposé par l’association Pegasos.

L’actrice avait mentionné à plusieurs reprises sur ses comptes de réseaux sociaux à quel point les injections l’avaient affectée au quotidien. Facebook censure son histoire tragique en la qualifiant de “fausse information sur le COVID-19”.

Fauchée en pleine carrière

La mannequin et actrice slovaque Katarina Pavelek côtoyait les plus grands acteurs et actrices comme Uma Thurman, avec laquelle elle a travaillé sur un film fin 2021 ou encore Brad Pitt, avec lequel elle a joué dans “Babylon” en juillet 2021.

Son booster comme cause de ses maux

Katarina Pavelek a très tôt fait état du lien entre ses problèmes de santé et les injections Covid. Elle a dénoncé un “enfumage médical” (“gaslighting” – une techniques de manipulation mentale consistant à déstabiliser la victime en la faisant douter d’elle-même) dont seraient victimes les personnes touchées par des dégâts post-vaccinaux. Elle aurait probablement reçu son vaccin de rappel à Los Angeles entre décembre 2021 et début 2022.

“Toutes les victimes des injections, dont moi-même, sont soumises à de l’enfumage médical” Katarina Pavelek

C’est dans un post Instagram qu’elle a annoncé publiquement sa décision de mettre fin à ses jours :

“Bonjour, au cours des 10 derniers jours, je suis tombée gravement malade et je suis de nouveau confinée à la maison, incapable de faire quoi que ce soit. Mon corps est trop faible pour combattre cette maladie et je n’ai plus de force.
J’ai donc pris la décision de mettre fin à mes jours auprès de l’association Pegasos en Suisse. On m’a diagnostiqué une maladie neurologique chronique incurable, l’EM/SFC, causée par une vaccination de rappel, en plus d’une suspicion de SLA respiratoire [réd. sclérose latérale amyotrophique ou maladie de Charcot].
Cette maladie m’a handicapée, m’a rendue incapable de travailler ou d’avoir une vie sociale et m’a empêchée de profiter de la vie. Respirer est devenu de plus en plus difficile et douloureux pour moi et ma fonction pulmonaire s’est dégradée. Je vous remercie pour votre amitié et votre soutien au cours de l’année écoulée.
La piqûre de rappel que j’ai reçue il y a plus d’un an a complètement détruit ma santé, mon corps et ma vie. Il n’y a pas d’autre moyen de mettre fin à mes souffrances que la décision que j’ai prise.” Katarina Pavelek

Facebook censure son histoire

Des lecteurs nous ont rapporté que la diffusion de cette histoire tragique est censurée par Facebook, qui la considère comme de la “désinformation sur le Covid-19”, malgré sa véracité étayée par des preuves évidentes.

Facebook fait partie d’un conglomérat cartellaire mondial d’entreprises détenues par des fonds d’investissement géants américains qui possèdent également tous les fabricants de vaccins Covid. Voir à ce sujet le documentaire “Monopoly, qui possède le monde?”.

De quoi souffrait-elle ?

Katarina Pavelek souffrait d’encéphalomyélite myalgique et du syndrome de fatigue chronique (EM/SFC), ainsi que de sclérose latérale amyotrophique (SLA).

Les personnes atteintes d’EM/SFC sont souvent incapables de mener leurs activités habituelles. Parfois, l’EM/SFC peut les confiner au lit. Les personnes atteintes d’EM/SFC ressentent une fatigue accablante que le repos n’améliore pas. Outre la fatigue, les patients atteints d’EM/SFC souffrent également d’une variété d’autres symptômes, notamment de malaise post-exercice, de troubles cognitifs, de douleurs musculo-squelettiques, de troubles du sommeil, de maux de gorge, de lymphadénopathie, d’intolérance orthostatique et de symptômes gastro-intestinaux.

La SLA est une maladie neuromusculaire caractérisée par une faiblesse des muscles respiratoires et un déclin progressif de la fonction pulmonaire. Le décès survient dans les 3 à 5 ans suivant l’apparition de la maladie, à la suite de complications respiratoires.

Que faire en cas de dégât vaccinal ?

L’annonce de troubles de santé consécutifs à un vaccin est une obligation légale et permet d’alimenter la pharmacovigilance avec des informations qui permettent d’ajuster les recommandations vaccinales. Cette annonce est possible sans devoir prouver le lien de cause à effet. Le personnel médical est habilité à annoncer les cas mais le patient lui-même est autorisé à le faire également. Suivant les pays, différentes possibilités s’offrent aux personnes touchées.

Sources