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Stanislas Berton: le règne des «mondialistes» touche à sa fin

En prenant conscience des rouages cachés du système, on peut sortir de la prison dans laquelle les «mensonges du pouvoir» ont enfermé les citoyens.

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  • Vidéo complète de la conférence en fin d’article

La mise en place d’un contrôle planétaire n’est pas inéluctable. C’est ce qu’affirme l’écrivain français Stanislas Berton dans son dernier ouvrage. Il était de passage à Genève en mai pour donner une conférence intitulée «Combattre l’empire du mensonge, comprendre les vrais enjeux sociaux, politiques et spirituels de la crise qui bouleverse nos sociétés et où se joue aujourd’hui l’avenir du monde».

L’orateur était invité par le Mouvement Fédératif Romand. La vidéo de son allocution, filmée par Actions Suisse, a été publiée début juin.

Stanislas Berton est également un entrepreneur. Pendant plusieurs années, il s’est consacré à l’étude de l’économie, de la psychologie, de l’éthologie, des risques systémiques et du renseignement open-source (OSINT).

Il a commencé par rappeler qu’il importe qu’un nombre grandissant de gens prennent conscience des rouages du système: des mensonges politiques, historiques, médicaux proférés depuis longtemps, qui sont comme les barreaux d’une prison dans laquelle sont enfermés une partie de nos concitoyens. La connaissance est la clé pour en sortir.

Dans la première partie de son intervention, il a parlé des mensonges relatifs à la structure du pouvoir, puis il a abordé la dimension spirituelle, et enfin comment chacun peut être acteur pour mettre en échec les plans du «nouvel ordre mondial».

Qui dirige réellement nos sociétés ?

Il cite Jacques Attali qui s’est vanté d’avoir repéré, créé et inventé totalement Macron. Et aussi Tycoon Kolomoisky, un oligarque gouverneur d’une province en Ukraine, qui a déclaré au Times : «Zelenski est ma marionnette, je suis le marionnettiste». Il cite également Klaus Schwab, président du Forum économique mondial, qui a affirmé en 2017 à la Kennedy School de Harvard, le «sciences-Po mondialiste» : «Avec mes young leaders, nous avons pénétré tous les gouvernements de la planète», à savoir Macron, Trudeau, Merkel, la majeure partie des politiques d’Argentine, entre autres.

Il soutient qu’il existe une structure parallèle du pouvoir détenu par d’autres réseaux que ceux qui sont présentés à la population, à savoir les familles Rothschild, Rockefeller, Warburg, Worms, Wallenberg. Le pouvoir de ces grandes familles vient de leur contrôle sur la monnaie et l’activité économique. Les Rothschild ont inventé le concept de banque centrale, ont conclu un contrat avec les Etats : leur monopole sur l’émission de la monnaie en échange de prêt d’argent. Aujourd’hui le contrôle de la monnaie est entre des mains privées. Le dollar, la monnaie de référence mondiale, appartient à des privés.

Au sujet de la propagande woke, Stanislas Berton affirme que les fonds d’investissement Black Rock, Vanguard, State Street promeuvent l’ESG (Environmental Social Governance), en attribuant des scores aux entreprises dans lesquelles ils ont des parts. Ils font du chantage, en disant que s’ils font de la publicité pour le mouvement LGBTQ et qu’ils ont un recrutement inclusif, ils seront bien notés.

Berton cite l’exemple de la marque de bières Bud Light aux Etats-Unis (équivalent de Kronenbourg en Europe) qui ont fait une pub avec un inflenceur transgenre. Résultat : l’action a totalement chuté et perdu 6 milliards en une semaine. Les usagers ne s’y retrouvaient pas, plus personne ne voulait boire cette bière. Le “Corporate Egality Index” est un agenda poussé par ces fonds de placement détenus par ces grandes familles, dont l’actionnariat est plus ou moins opaque.

Les pouvoirs invisibles ne peuvent pas être contestés, raison pour laquelle ils agissent dans l’ombre. Il est faux de croire que les plus grandes fortunes sont celles qui sont régulièrement annoncées. Ils dépensent des sommes colossales pour empêcher les gens de comprendre que ce sont eux qui détiennent le pouvoir, raison pour laquelle ils paient des fact-checkers pour décrédibiliser toute voix dissidente, accusant ceux qui dénoncent les Rothschild d’être antisémites, affirme l’orateur. Tout le système médiatique contribue à maintenir cette omerta.

Le pouvoir n’est pas dans les ministères

Le pouvoir politique n’est pas dans les ministères. En dessous de ces grandes familles se trouvent des institutions internationales présentées comme des cercles de réflexion comme le Forum économique mondial, le Council of Foreign Relations (CFR), le groupe Bilderberg, la Commission trilatérale, le Good Club fondé par Warren Buffett et Bill Gates sur les questions d’eugénisme et de vaccination.

Philippe de Villiers alors député en 2007, étonné de voir le politicien américain Henry Kissinger au Parlement européen, est allé écouter une réunion de la Commission trilatérale Europe où on affirmait qu’on allait détruire l’homogénéité des nations occidentales, lever les frontières pour avoir une grande zone économique de libre-échange, mettre en place des restrictions pour le climat comme le bilan carbone et le pass carbone, etc. François Fillon, alors premier ministre, lui a dit un jour qu’il se rendait à la réunion du groupe Biderberg. De Villiers lui a demandé pourquoi. L’intéressé a répondu : «Ce sont eux qui nous gouvernent.»

C’est lors de ces grandes réunions que les participants reçoivent la feuille de route, par exemple sur l’Agenda 2030. Les courroies de transmission sont des structures supra-nationales : Union Européenne, OMC, ONU, OMS, etc.

Quels sont leurs objectifs ?

Voici leur programme selon Berton:
la destruction des nations, une gouvernance mondiale, totalitaire, qui éradique le politique
la destruction des cultures, des peuples et des religions traditionnelles
l’abolition de la propriété privée, sous prétexte du climat, arguant que les maisons individuelles seraient sources de trop de gaspillage. «Vous ne posséderez rien et vous serez heureux»,  comme le suggère le Forum économique mondial.

Ces objectifs vont être mis en place par la surveillance généralisée, la dictature technocratique, explique-t-il. Comme Schwab l’a déclaré à la Radio Télévision Suisse en 2016, ils visent la «convergence bio-digitale» soit la fusion biologique-numérique-médical via une puce implantée dans le corps humain pour faire des paiements, accéder aux transports, etc. Egalement par la mise en place de «villes intelligentes» connectées (Smart Cities ou 15 minutes Cities): des goulags numériques, avec voitures autonomes, objets connectés, etc.

Un des objectifs du Covid a été l’avancement de cet agenda numérique de contrôle, estime Berton. Les maires des communes sont poussés à installer un maximum de caméras de surveillance.

L’agenda des «globalistes» est le transhumanisme: pousser les humains à devenir «augmentés» en leur insérant des implants connectés. De même, la dépopulation. Ils l’ont écrit, dit et redit. Le fait qu’ils poussent l’agenda transgenre permet de stériliser les enfants et jeunes.

La sexualisation des enfants fait également partie de leurs plans pour normaliser la pédophilie. Maintenant aux Etats-Unis, les pédophiles sont plutôt appelés «personnes attirées par des mineurs».

Comment arrivent-ils à imposer leurs projets ?

Ils utilisent 3 techniques, résume l’écrivain :
1. l’infiltration, en utilisant les leviers du pouvoir, ainsi le financier Georges Soros aurait pris le contrôle de la Cour Européenne des Droits de l’Homme en faisant nommer à sa tête des directeurs d’ONG qu’il a créées en Europe de l’Est, pour influencer la jurisprudence de l’Union Européenne. Il a fait la même chose aux Etats-Unis en finançant les campagnes de procureurs et de juges.
2. L’ingénierie sociale soit la manipulation des attitudes et comportements. Il révèle que l’utilité de Netflix est de faire de la propagande pour le mouvement transgenre/LGBT, la préoccupation climatique, etc. Stanislas Berton ajoute que les médias de masse sont là pour mettre un cadre et empêcher les gens de penser en dehors de celui-ci.
3. Les «révolution de couleur» : coups d’Etats menés par des services secrets, essentiellement la CIA, présentés comme des révoltes populaires suscitées par des ONG ou des mouvements démocratiques.

Redevenir souverains

L’émergence des BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud,  qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels – crée une nouvelle configuration multipolaire et met en échec le projet de gouvernance mondiale sous l’égide des Etats-Unis.

Ceux-ci sont également affaiblis par la dédollarisation des échanges mondiaux, ainsi que par la révélation de scandales de corruption et de pédocriminalité révélée par l’affaire Epstein.

Stanislas Berton a creusé le sujet de la fraude électorale, il encourage les citoyens à s’assurer que toute la chaîne du processus de vote soit transparente.

Il conclut en disant qu’il importe de redevenir souverains dans tous les domaines : au niveau de l’éducation des enfants (écoles alternatives), prendre notre santé en mains… Il s’agit de se mobiliser massivement pour tout reconstruire sur des bases saines et solides.

Sources mentionnées sous la vidéo sur Youtube

Chapitres vidéos :
00:00:00 Introduction et présentations de Stanislas Berton
00:05:07 Organisation de sa conférence
00:05:26 De quoi va-t-on parler ?
00:06:57 L’empire du mensonge
01:03:27 La laïcité
01:25:13 Les raisons d’espérer
01:53:20 Conclusion

http://stanislasberton.com/
https://t.me/Stanislas_Berton