Mélodie Féron du collectif français “Où est mon cycle” (Twitter), rassemblant 20’000 femmes, vient de publier un recueil de témoignages d’effets secondaires “à priori dus à la vaccination anti-covid”. Cet ouvrage, intitulé “Où est mon cycle ? Et toi, où est le tien ?”, se veut un travail de mémoire pour documenter les millions d’effets indésirables dont ces femmes souffrent, souvent dans la plus grande indifférence du monde médical et politique.
Selon une étude américaine publiée en juillet, 42% des femmes vaccinées ont connu des troubles post-vaccinaux de leur cycle menstruel. De quoi remettre en question la balance bénéfice-risque présentée comme positive par la plupart des autorités sanitaires. Les dommages vont d’importantes hémorragies à l’absence de cycles, fausses couches, des jeunes sont comme ménopausées à vingt ans, ne pourront pas avoir d’enfants, des femmes plus âgées ont une résurgence de cycles, amplification d’endométriose, entre autres. Les médecins et services des urgences hospitaliers sont souvent désemparés, ces femmes se sentent également incomprises par leur entourage. Elles étaient nombreuses à échanger sur les réseaux sociaux, avant d’être censurées par ces plateformes.
En France, des femmes qui connaissent des désordres importants de leur cycle menstruel suite à leur vaccination anti-covid, ont récemment manifesté à Paris. Mélodie Feron, interviewée par André Bercoff sur Sud Radio le 3 octobre dernier (voir l’intégralité de son intervention dans la vidéo ci-dessous), créatrice du collectif “Où est mon cycle”, parle de la publication de son livre, édité avec la participation de la Dr Laurence Kayser, gynécologue belge, et Diane Protat, avocate du collectif. Cette dernière rappelle qu’il est mentionné dans la notice des vaccins Moderna et Pfizer que ceux-ci n’ont pas été testés sur des femmes enceintes, mais sur des femelles rats enceintes et allaitantes. Comment les autorités ont-elles pu à ce point recommander la vaccination des femmes enceintes sur la base d’essais cliniques si rudimentaires et incomplets ?
Par ailleurs, Mélodie Feron révèle avoir subi beaucoup de pressions, son téléphone a été hacké, toutes les données avaient disparu du “cloud” pendant l’écriture de son livre, elle a connu des intrusions dans son domicile, des appels anonymes en pleine nuit.
Me Protat indique qu’il est écrit dans les contrats de Pfizer et Moderna qu’au cas où les manquements lors des essais cliniques et / ou les effets secondaires graves seraient prouvés, les laboratoires deviendraient responsables des dommages causés. “Ce n’est pas aux femmes de démontrer que ce vaccin est dangereux, c’est aux laboratoires de prouver qu’il ne l’est pas. On assiste à un renversement de la charge de la preuve. Dans le doute, on s’abstient”. Beaucoup de femmes ont témoigné mais face au silence et à l’indifférence. Il y a une volonté de ne pas savoir et une volonté de ne pas voir”. Selon elle, “reconnaître l’inefficacité des vaccins pourrait faire vaciller l’économie générale des contrats en sachant que l’on a commandé trop de vaccins.”
Une branche suisse de “où est mon cycle” vient d’être lancée par les collectifs Réinfo Santé Suisse International et le Mouvement Fédératif Romand. L’annonce officielle se fera sur leur site internet respectif. Une interview suivra.