Aidez-nous à poursuivre notre mission en 2025! Objectif de notre financement participatif: 144'000 chf (150'000 €) - 67.98% atteints

Séverine, aide-soignante: une vie brisée suite au vaccin

Partager

Le 18 mai 2021, jour de sa vaccination, cette aide-soignante de 47 ans a vu sa vie basculer. Elle est désormais en fauteuil roulant, victime de neuropathies graves. Livrée à elle-même, sans logement adapté et mère solo d’un adolescent, elle avertit : “La vie est fragile, ne vous vaccinez pas juste pour avoir un pass sanitaire.”

Un témoignage qui prend toute sa dimension, depuis l’introduction de l’obligation vaccinale faite aux soignants de France, depuis le 15 septembre.

Séverine avoue qu’elle n’était “pas plus informée que ça” au moment de sa première injection. Son médecin lui avait fortement conseillé le vaccin, supposément moins risqué que d’attraper le Covid. Hormis des maux de tête éventuels, “aucun médecin ni structure n’a mentionné de potentiels effets indésirables graves”, affirme-t-elle.

A peine une demi-heure après l’injection, pourtant, elle éprouve maux de tête et bouffées de chaleur. Le lendemain, elle ne parvient pas à se lever et ressent des douleurs intenses aux jambes. Consultée, son médecin traitant la fait hospitaliser d’urgence. Un premier séjour à l’hôpital, qui durera une semaine.

Une seconde hospitalisation de 25 jours en neurologie s’ensuit, avec “des examens complètement barbares”. Mais sans réponse probante. “Les médecins sont là, bras ballants, et me disent qu’ils ne savent rien, qu’ils ne savent pas si je vais remarcher un jour”, déplore-t-elle.

La déclaration d’effets indésirables suite au vaccin a été faite, mais le lien entre l’injection et ses effets n’est pas encore officiellement établi.

A ce jour, elle est à la recherche d’un logement adapté, sans lequel elle n’aura pas accès à des soins spécifiques.

“Ma vie est brisée. Je ne sais pas si je vais remarcher. C’est compliqué et violent…”

Son témoignage sur Facebook a été censuré rapidement. Elle le déplore, tout comme le manque et la confusion de l’information sur les risques réels liés aux vaccins. Raison pour laquelle elle a décidé de témoigner (uniquement) sur France Soir.

Car elle tient à avertir :

La vie est fragile, ne vous vaccinez pas seulement pour avoir un pass sanitaire. En deux minutes, votre vie peut basculer. Cela doit vraiment être (un acte) réfléchi.