Loin d’être accidentelle, la crise masquerait des objectifs financiers, visant notamment à capter l’épargne des particuliers. Analyse de la situation en septembre par le célèbre avocat qui a fait plier la Deutsche Bank et Volkswagen.
Nombreux sont ceux qui attendent beaucoup des travaux d’investigation et des annonces d’action judiciaire de Me Fuellmich. L’avocat inscrit aux barreaux allemand et de Californie prévient qu’il faudra être patient.
En l’absence d’une juridiction internationale ad hoc, en effet, la seule stratégie possible consiste à adopter la politique des petits pas. Des plaintes sont ainsi en préparation dans une cinquantaine de pays et ce sont les tribunaux nationaux qui instruiront l’affaire un par un, au fur et à mesure du dépôt des plaintes.
Les auditions de la Commission d’investigation, présidée par Me Fuellmich, compile expertises et éléments de preuve mises à disposition des collectifs d’avocats de chaque pays. Avec l’espoir que certaines décisions tombant en cours de route créent des précédents internationaux, un peu à la manière des jurisprudences dans les législations nationales.
Dans ce nouvel épisode, Fuellmich rappelle les conclusions auxquelles ont abouti jusqu’ici les travaux de la commission d’enquête qu’il a mise sur pied :
- “Tout ceci n’est pas un accident. C’est intentionnel.”
- “Tout ceci n’a rien de sanitaire, et n’a jamais rien eu de sanitaire.”
- L’aspect économique de la pandémie est probablement le véritable enjeu caché. Les travaux de la Commission montrent que “ceux qui récupèrent actuellement des parts de marchés dans le monde sont aussi ceux qui, si on suit l’argent, sont derrière ce qui est en train de se passer”. Selon lui, les PME, notamment occidentales, sont en train d’être phagocytées par les géants économiques tels qu’Amazon ou d’être rachetées par les Chinois.
- La crise dite “sanitaire” viserait essentiellement à masquer la quasi-faillite de la plupart des Etats occidentaux et des banques centrales, du fait d’un endettement devenu hors de proportion.
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