Robert Kennedy Jr: « ces maladies ont disparu avant l’arrivée des vaccins! »

Republication de la vidéo de NTD France diffusée le 7 octobre 2025, transcription écrite d’Essentiel News

Selon le nouveau secrétaire à la Santé américain:

La baisse de 70% de la mortalité aux Etats-Unis et en Europe occidentale due aux maladies contagieuses depuis 1900, marque l’une des avancées les plus fondamentales en santé publique de toute l’histoire humaine. Etait-ce vraiment dû à la réussite des programmes de vaccination de masse?

L’étude la plus complète et basée sur des preuves qui examine rigoureusement cette question, est une étude financée par les CDC publiée en 2000, réalisée par une équipe de chercheurs des CDC et de l’Université Johns Hopkins, et dirigée par le Dr Bernard Guyer.

Un scientifique a minutieusement analysé 100 ans de données gouvernementales sur la mortalié due aux maladies infectieuses. Ils ont conclu que presque toutes les réductions de mortalité sont survenues avant l’introduction des vaccins et que les vaccinations ne pouvaient s’attribuer que peu de mérite.

Par exemple, en 1900, environ 13’000 Américains mouraient chaque année de la rougeole. En 1960 ce nombre était tombé à quelques centaines. Le vaccin contre la rougeole n’a été introduit que 3 ans plus tard, par conséquent presque toute la mortalité due à la rougeole avait disparue avant le vaccin, de sorte que le vaccin contre la rougeole ne peut vraiment pas s’attribuer le mérite d’avoir sauvé toutes ces vies.

Regardons la coqueluche, là encore nous voyons que la plus grande baisse de coqueluche s’est produite avant l’introduction du vaccin. Il en est de même pour la grippe. Les mortalités massives dues à la grippe avaient déjà disparu dans les années 1960, mais le vaccin n’a été largement diffusé que dans les années 1980. Donc une fois de plus le vaccin ne peut pas s’attribuer les mérites.

Et regardez comment les décès dus à la tuberculose ont simplement disparu en suivant exactement le même schéma que toutes ces autres maladies infectieuses, bien qu’il n’y ait pas eu de vaccination de masse contre la tuberculose aux Etats-Unis, la mortalité a disparu sans aucune aide d’un vaccin.

De même, il n’y a jamais eu de vaccin contre le scorbut, mais les décès dus au scorbut ont aussi disparu de la même manière. Il en est de même pour la scarlatine, dont j’ai souffert enfant. Les décès dus à la scarlatine ont disparu aux côtés des baisses de mortalité due à toutes ces autres contagions.

Alors qu’est-ce-qui a réellement causé la baisse de la mortalité due aux maladies infectieuses?

Une étude de référence de 1977 par McKinlay et McKinlay était une lecture obligatoire dans la plupart des écoles de médecine américaines pendant les années 1970 et le début des années 1980. Cette étude attribuait la baisse non pas aux avancées ou innovations médicales mais presque exclusivement aux innovations agricoles et en ingénierie qui amélioraient la nutrition. Celles-ci incluaient de meilleures routes, le transport aérien et la réfrigération, ainsi que des systèmes d’assainissement plus performants.

C’est à cette période que les toilettes à chasse d’eau et la chloration de l’eau sont devenues courantes. Les McKinlay attribuent moins de 3,5% des baisses de mortalité à toutes les mesures médicales combinées, y compris antibiotiques, chirurgies et vaccins. L’introduction de la chloration correspond assez parfaitement à la baisse de la mortalité due aux maladies infectieuses.

En 1970, le Professeur Edward Kass de la Faculté de médecine de Harvard était sans doute l’autorité mondiale en matière de maladies infectieuses. Il était à la fois le fondateur et le rédacteur en chef de longue date du Journal des maladies infectieuses, et président et membre fondateur de la Société américaine des maladies infectieuses.

Cette année-là, lors de son discours lors d’une réunion conjointe de la Société américaine des maladies infectieuses et de la 10ème conférence internationale sur les agents antimicrobiens et la chimiothérapie, le Dr Kass a émis un avertissement public prémonitoire selon lequel des acteurs au sein de l’industrie médicale essaieraient de revendiquer le crédit pour la réduction monumentale des fatalités dues aux maladies afin d’avancer leurs profits, leur prestige et leur influence.

Le Dr Kass a contesté l’affirmation émergente selon laquelle les vaccins ont sauvé des centaines de millions de vies. Le docteur a observé que le déclin des morts massives dues aux grands tueurs de l’histoire s’est produit avant la prolifération généralisée des vaccins. Et il a mis en garde contre ce qu’il appelait les demi-vérités et le fait que la recherche médicale avait éradiqué les grands tueurs du passé comme la tuberculose, la diphtérie, la pneumonie, la septicémie, etc.

Il a mis en garde contre l’affirmation selon laquelle la recherche médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des facteurs majeurs dans l’extension de l’espérance de vie. Le graphique trompeur que le sénateur Cantwell a montré à la nation est précisément le genre de dispositif de propagande scientifiquement infondé contre lequel le professeur Kass nous a mis en garde.

Et pourtant c’est un argument couramment utilisé par l’industrie pharmaceutique, les associations alliées, et leurs politiciens hautement payés. Ils nous ont évangélisés pour nous faire croire que les vaccins, seuls, ont sauvé toutes ces vies. Le sénateur Cantwell a reçu environ 456’000 dollars des compagnies pharmaceutiques.

L’affirmation selon laquelle les vaccins ont sauvé des centaines de millions de vies est si ancrée dans la sagesse conventionnelle qu’elle reçoit rarement le genre de scepticisme et d’examen scientifique rigoureux que les agences de santé publique devraient appliquer à tous les dogmes.

Les vaccins sont une partie critique de la santé publique, ils peuvent prévenir complètement les infections comme la rougeole et les blessures graves qui l’accompagnent parfois, et cela peut vous empêcher de propager la rougeole aux autres. Mais la foi aveugle en la vaccination seule comme seul recours contre l’infection a incliné notre système médical à sous-estimer le rôle des médicaments thérapeutiques, vitamines, de l’alimentation, de l’exercice, et d’autres changements de modes de vie qui pourraient fortifier les systèmes immunitaires humains contre toutes sortes de maladies.

L’idée que la bonne santé ne vient que dans une seringue déforme les priorités de santé publique et mène à des allocations érronées des ressources de santé publique. L’administration Biden et la réponse déséquilibrée du gouvernement américain à la pandémie de Covid ont parfaitement illustré ce danger. Les citoyens américains en ont payé un lourd tribut. Les Etats-Unis ont enregistré plus de décès liés au Covid que tout autre pays.

Sous la direction du président Trump, nous allons veiller à ce que l’Amérique dispose du meilleur calendrier de vaccination infantile. Nous allons nous attaquer aux problèmes liés aux vaccins. Nous allons moderniser les vaccins américains grâce à une science transparente et standardisée. Nous allons éliminer et corriger les conflits d’intérêts et les incitations inappropriées, et nous allons garantir la liberté scientifique et médicale.

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Un commentaire

  1. Cela avait été démontré , statistiques à l’appui, de façon magistrale par le dr Michel de Lorgeril en 2018 dans son livre :
    Introduction générale à la médecine des vaccins

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