Une révélation eschatologique est en cours, et le « feuilleton extraterrestre » se poursuit

Une parlementaire américaine vient d'être reçue par Joe Rogan pour y déclarer l'existence d'entités extraterrestres; chronique d'une révélation programmée.

Le podcasteur le plus écouté dans le monde anglophone, Joe Rogan, a reçu ce mercredi 13 août 2025 une parlementaire américaine, Anna Paulina Luna, qui a fait des déclarations fracassantes.

Selon elle, il existerait des « entités interdimensionnelles » qui seraient capables de faire des « mouvements à l’extérieur de l’espace-temps », dont certains « livres supprimés de la Bible » feraient état, et qui disposeraient d’aéronefs dont elle aurait consulté une « documentation photographique » prouvant leur existence.

Ci-dessous figure une vidéo sous-titrée en français d’un extrait de l’émission, où il est question de ce sujet, dont les médias de masse n’ont pas manqué de faire état; comme ils ont relaté d’ailleurs, peu de jours auparavant, des remarques dans le même sens de Tulsi Gabbard (directrice du renseignement national sous Trump).

Le feuilleton extraterrestre

Essentiel News a déjà eu l’occasion de traiter de ce sujet; tout d’abord lors de le l’interview de Maxence Layet par Senta Depuydt le 3 avril 2025. Ensuite dans différentes interventions où le contexte eschatologique de ces révélations programmées est expliqué.

Dans ce « feuilleton extraterrestre » en cours, tout a véritablement commencé en 2016 par la fuite des emails Podesta par Wikileaks. Plusieurs messages font allusion à l’existence des « extraterrestres ». Il y est question par exemple d’un « univers contigu », de « célestiaux dans notre propre univers », ou encore de « visiteurs extraterrestres ».

Certains de ces éléments des emails Podesta avaient été relatés par les médias de masse à l’époque, alors qu’ils avaient déjà dit peu de temps auparavant que l’entourage d’Hillary Clinton s’intéressait à ce sujet. L’origine de cette divulgation avait également été suggérée dans les emails Podesta, en la personne de Laurence Rockefeller.

En décembre 2020, au début du premier mandat de Donald Trump, c’était ensuite au tour de Haim Shed, ancien chef de la direction spatiale du ministère israélien de la Défense, de nous dire qu’il existait une « fédération galactique », et que les « extraterrestres » estimaient que « l’humanité n’était pas prête à connaître leur existence ».

Ensuite, 1er février 2021, le réputé magazine scientifique américain Scientific American avait publié une interview du Dr Avi Loeb, professeur à l’université Harvard, titulaire de chaire du département d’astronomie, et ancien officier israélien. Elle est intitulée: «L’astronome Avi Loeb affirme que des extraterrestres ont visité la Terre, et il ne plaisante pas».

L’interview porte sur ‘Oumuamua, cet objet interstellaire observé à 33 millions de kilomètres de la Terre le 19 octobre 2017, que M. Loeb considère comme «rien de moins que le premier contact de l’humanité avec un artefact d’intelligence extraterrestre».

L’interview faisait suite à son papier publié dans The Astrophysical Journal Letters et à son livre Extraterrestrial; elle a également été accompagnée de nombreux autres articles dans les médias de masse.

En résumé, le livre de M. Loeb soutient qu’Oumuamua est probablement une technologie extraterrestre (décrivant l’improbabilité, compte tenu de ses propriétés, qu’il s’agisse d’un objet naturel) et dénonce ses collègues scientifiques qui refusent d’envisager cette idée (en établissant à plusieurs reprises des parallèles avec Galilée et l’Église catholique).

Le thème principal est toutefois plus subtil; pour l’illustrer, voici deux extraits intéressants.

En 1998, l’économiste Robin Hanson a publié un essai intitulé The Great Filter—Are We Almost Past It? (« Le grand filtre: sommes-nous sur le point de le franchir? »). Selon Hanson, la réponse au paradoxe de Fermi réside peut-être dans le fait que, dans l’univers, le progrès technologique d’une civilisation prédit de manière écrasante sa destruction. Le moment même où une civilisation atteint notre niveau d’avancement technologique, c’est-à-dire le moment où elle peut signaler son existence au reste de l’univers et commencer à envoyer des vaisseaux vers d’autres étoiles, est aussi le moment où sa maturité technologique devient suffisante pour causer sa propre destruction, que ce soit par le changement climatique ou par des guerres nucléaires, biologiques ou chimiques.

L’exercice de réflexion de Hanson est suffisamment plausible pour que l’humanité fasse bien de se poser la question énoncée dans le titre de son article: la civilisation humaine approche-t-elle de son propre filtre?

Il serait assez ironique que Fermi soit la solution à son propre paradoxe, car c’est avec son aide que nous avons développé les armes nucléaires il y a sept décennies. Mais même sans armes nucléaires, nous sommes en train de nous détruire en modifiant de façon permanente le climat. La montée de la résistance aux antibiotiques, due à de nombreux facteurs, mais certainement aussi à l’utilisation largement indiscriminée des antibiotiques dans l’agriculture industrielle et l’élevage, constitue également une menace. Il en va de même pour les pandémies, accélérées et exacerbées par notre assaut industrialisé sur l’écosystème de notre planète.

Avi Loeb, Extraterrestrial, chapitre 9

Imaginez la vie sur notre planète le lendemain de la confirmation irréfutable de l’existence de vie ailleurs dans l’univers. Imaginez un instant que «Oumuamua» ait été découvert avant octobre 2017 et que nous ayons eu l’occasion de lancer un vaisseau spatial équipé d’une caméra qui aurait pris une photo en gros plan de «Oumuamua» à son approche maximale et démontré sans l’ombre d’un doute que cet objet était un débris technologique provenant d’une civilisation extraterrestre.
Maintenant, posez-vous la question suivante: qu’est-ce qui aurait suivi?

— Avi Loeb, Extraterrestrial, chapitre 11

Dernièrement, Avi Loeb a réitéré son propos, cette fois au sujet d’un autre « objet interstellaire », 3I/ATLAS. Il a publié en juillet 2025 un papier intitulé « L’objet interstellaire 3I/ATLAS est-il une technologie extraterrestre? », ainsi qu’un article plus grand public où il dit essentiellement la même chose.

Un rappel important

Avant de décrire la suite du feuilleton de la « révélation des extraterrestres », il faut rappeler un principe fondamental: lorsque les médias de masse publient une information, il convient de toujours se demander:

  • Qui me dit cela?
  • Pourquoi me dit-on cela?
  • Pourquoi me dit-on cela maintenant?

En d’autres termes: en plus de savoir si l’information est vraie, il convient d’examiner aussi l’implication de sa publication – c’est-à-dire l’information à propos de l’information, et plus précisément la manière dont se forme la connaissance commune (ce que les gens savent que les gens savent). Une certaine discipline est nécessaire pour observer le feuilleton d’un point de vue plus élevé, plutôt que de prendre les histoires au premier degré (qu’il s’agisse de les accueillir ou de les dénoncer).

Lorsqu’on est capable de discerner une trame dans le feuilleton, c’est particulièrement digne d’intérêt; et en ce qui concerne le récit sur les « extraterrestres », une trame est bien présente.

Voici un autre exemple, intéressant notamment à cause des chiffres qui y figurent (synchronistiques ou choisis à dessein).

Non seulement cette interview, citée par de nombreux médias de masse, a été publiée le 22 mars 2021 (le nombre 322 est cher à Skull and Bones), la révélation du Pentagone dont elle fait état (selon laquelle les OVNIs existent bel et bien) date quant à elle du 17 avril 2020, soit 911 jours après la première observation d’Oumuamua.

Et au cas où on douterait qu’une telle révélation n’ait pas été conçue pour être remarquée, voici ci-dessous l’épisode entier de « 60 Minutes » à ce sujet – l’émission américaine de reportages la plus ancienne et la plus regardée des États-Unis.

Documentaires et audience parlementaire

Les exemples ci-dessus ne couvrent pas tous les épisodes du « feuilleton extraterrestre »; parmi d’autres cas notables, on peut également citer le documentaire The Day Before Disclosure, les différents documentaires de Steven Greer (dont Unacknowledged et UFO Endgame to Disclosure sont les plus fameux), le dernier documentaire à succès du même ordre, The Day of Disclosure, ainsi que The Program, Beyond the Light Barrier, ou encore Alien Encounters: Fact or Fiction.

Tous ces films à succès participent à la révélation en cours, mais pas autant que la session parlementaire qui s’est tenue devant le Congrès américain en 2022 et qui a affirmé, pour la première fois sous serment et dans un contexte tout à fait officiel, l’existence des « extraterrestres ».

On le voit, les dernières déclarations de Rep. Anna Paulina Luna chez Joe Rogan, citées en titre, ne sont que le énième chapitre d’un processus de révélation qui a commencé il y a plus de 10 ans déjà – et qui fait écho à ce sentiment de révélation imminente qui a prévalu dans les années 1970 dont Jacques Vallée parle dans ses livres de l’époque (il a d’ailleurs été, lui aussi, reçu récemment par Joe Rogan).

La question qui reste à poser est donc la suivante: est-ce que cette nouvelle vague de révélations culminera vers une sorte de point d’inflexion (un épisode spectaculaire de type Blue Beam), ou ne s’agit-il que de distractions qui s’éteindront comme ça a déjà été le cas il y a 50 ans?

Et au-delà de cela, quelle est la vérité? Les « extraterrestres » existent-ils vraiment, et si c’est le cas, le gouvernement américain a-t-il effectivement récupéré certaines de leurs technologies?

Une réponse partielle

On ne peut bien sûr répondre à aucune de ces questions avec certitude. On peut néanmoins tenter de suggérer une hypothèse. Mais d’abord, notons une anecdote supplémentaire, qui se distingue des autres, et qui est à peu près inconnue.

Peu de gens savent que l’observatoire du Vatican est désormais l’un des principaux organismes à la recherche d’exoplanètes et de vie extraterrestre. Or le directeur de l’observatoire du Vatican, le Jésuite Jose Funes, a déclaré en 2008 que si une telle intelligence venait à être découverte, ces entités ne seraient pas nécessairement concernées par la rédemption; en d’autres termes, elles n’auraient pas nécessairement commis le « péché originel », et pourraient donc « être restées en très bons termes avec le créateur »; ce qui revient à dire, même si ce n’est pas ce qu’il dit explicitement, que l’humanité pourrait se tourner vers ces entités comme vers une sorte de messie.

C’est cette idée de « sauveur surnaturel » qui semble, de différentes façons, constituer le fil rouge de toutes ces révélations en cours. De Steven Greer à Avi Loeb, en passant par le New Age et les nombreuses « religions OVNIs », sans compter les traditions eschatologiques qui emploient un vocabulaire certes différent mais dont les idées sont congruentes, un dénominateur commun important semble être que les humains auraient besoin d’être sauvés contre eux-mêmes et, si nécessaire, contre leur gré.

Autrement dit, s’il fallait deviner, une hypothèse serait qu’à l’apogée d’une crise à venir, l’humanité serait confrontée à une grande provocation à laquelle il serait difficile de résister; les « extraterrestres » se manifesteraient, les puissants dans un exercice de psychologie inversée prétendraient qu’ils « sont méchants » et qu’il « faut s’unir pour leur faire la guerre », et l’humanité, dégoûtée par le pouvoir, ses mensonges et ses abus, prévenue de longue date par les « complotistes » à la Steven Greer, et se croyant libre pensante et « éveillée », rejetterait ses gouvernements corrompus et étreindrait ces sauveurs « frères de l’espace ».

Évidemment, un tel scénario semble pour l’instant tellement saugrenu et invraisemblable qu’il convient de ne l’envisager que comme pur exercice de l’esprit et dont la survenance éventuelle, en réalité, n’a aucune raison de nous effrayer dès lors qu’on a décrypté le niveau de compréhension suivant.

En somme, cet auteur rejoint la position de Tucker Carlson sur ce sujet, qui a déclaré lors d’une interview avec Shawn Ryan en mai 2024 qu’il rejette l’explication extraterrestre du phénomène OVNI (comme d’ailleurs Jacques Vallée), en lui conférant plutôt une explication spirituelle. Pour ceux que la science-fiction intéresse, il a aussi rédigé en 2020 un texte en deux parties (en anglais) présentant un hypothétique scénario futur d’une telle provocation.

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Un commentaire

  1. Nous avons tous naturellement les réflexes de la manipulation, cela fait partie de nos programmes biologiques de base. Par contre nous pouvons être plus ou moins inconscient des mécanismes à l’œuvre malgré le fait qu’ils soient toujours les mêmes. Même un enfant, quand il grandit, acquiert la capacité de manipuler.

    Petit aparté, manipulation n’est pas forcément signe de perversion.

    Alors, comment ça marche, quels sont les éléments essentiels sur lesquels cela repose ?

    D’abord il y a le contexte, celui-ci doit être propice aux éléments de la manipulation, il doit y avoir une sorte de cohérence du tout.

    Ensuite, cela vise les réflexes conditionnés de la personne. Autant, ses réflexes biologiques, acquis et développés depuis sa naissance, que les réflexes acquis à travers son environnement, d’où l’importance de l’endoctrinement « sociétal »/ »culturel ».

    De ces réflexes naissent des besoins, des envies, et tout l’art de la manipulation est d’identifier celui qui va nous permettre d’atteindre la personne sans qu’elle ne s’en aperçoivent et qu’elle baisse alors la garde car on vient la satisfaire, même si l’autre main fait tout autre chose.

    Comment se protéger ?

    D’abord, il faut comprendre le mécanisme, apprendre à identifier les modèles qui reposent dessus, venant de soi-même et des autres.

    Puis il faut développer sa capacité à s’observer soi-même, en d’autres termes, il faut élever son niveau de conscience.

    Avec le temps, on s’observe en permanence et très rapidement on voit l’incohérence qui était invisible avant, on voit alors comment on a tenté de nous manipuler, et on finit par devenir quasi inviolable, le tout étant de ne pas tomber dans la paranoïa.

    D’où nous vient cette idée d’extraterrestres, est elle native ? A t on fabriqué le contexte favorable à ce questionnement (films, bandes dessinées, etc) ? Cela est il présent dans notre vie depuis toujours (dès l’enfance) ? Répond t il à un besoin propre à chacun ? Sert il de divertissement et de diversion à d’autres choses cachées ?

    Il faut remarquer comment on nous a appris à penser dès l’école.
    On appelle en fait « pensée critique » le mimétisme, c’est à dire apprendre à répéter un enseignement de façon dogmatique, sans question du pourquoi et sans remise en cause des fondements présentés.
    De cette façon, il n’y a pas de place pour la contradiction, c’est juste de l’obéissance et à aucun moment on nous apprend à essayer de comprendre une problématique et la résoudre dans un second temps. Ici, la problématique est déjà présenté, on ne l’interroge pas, on ne cherche pas d’autres variables cachées, etc. On apprend juste la résolution de cette problématique hypothétique. A cela s’ajoute la spécialisation, de telle façon que les gens savent rien sur tout, et ne construisent alors pas une vision d’ensemble, une pensée complexe.

    Face à cette interdiction obscurantiste de chercher à comprendre les problèmes, on réduit alors le champ de la contradiction à la résolution, sans jamais se demander si les hypothèses seraient fausses. Dès qu’un élément extérieur d’une brebis galeuse vient mettre le fouillis dans cette pensée étriquée, la dissonance cognitive se déclenche et il n’y a plus aucun raisonnement, juste de l’émotion, pouvant aller jusqu’au pire (chasse aux sorcières).
    Le principe de la logique est pernicieux, un raisonnement algorithmique peut être bon et ne pas être vrai, il suffit que les hypothèses soient fausses et comme on nous apprend ces hypothèses comme des dogmes, on se trouve dans un cercle vicieux.
    Si on prend le covid, la quasi totalité des gens ont cherché des solutions aux problèmes donnés par le système lui-même. Donc les gens se battaient entre vaccin, arn ou non, ou encore HCQ ou ivermectine, etc, ou encore masque, visière ou rien, etc. Qui a interrogé la véracité de l’hypothèse de base, à savoir l’existence d’une maladie spécifique, de sa grande mortalité prétendue ou encore de l’existence du virus ? Quasi personne, on a réagit comme on nous l’a appris et le système a fabriqué les oppositions inutiles qui permettront de garder en laisse tout le monde. C’est eux qui ont permit la diffusion sur Internet, ils ont même potentiellement créés certains points. Les gens ont relayé comme on leur a appris avec les réseaux asociaux car on a satisfait leur besoin.

    Cela se répercute parfaitement dans la mauvaise approche habituelle pour l’établissement d’un lien de causalité. On va donner comme des éléments de preuve tout ce qui vient corroborer l’hypothèse, et on pense que c’est ainsi qu’on trouve la vérité, c’est à dire en cherchant à valider nos idées de base. Ces éléments présentés comme des preuves sont en fait généralement des effets, c’est à dire qu’on regarde ce qui se passe et si cela va dans notre sens, cela devient une cause.
    On ne peut pas définir une potentielle cause en pratiquant dans ce sens. On doit d’abord jouer sur un maximum de variables de l’expérience et ensuite voir les effets.
    L’effet cytopathique est une parfaite image du problème. On vient ajouter des tas de variables dans l’expérience mais on les ignore en ne gardant que la variable dont on considère par avance que c’est la cause.
    Les effets, comme les éléments causales, ne sont pas uniques, surtout quand on approche la biologie, le domaine dit du vivant. Un ensemble d’éléments vont déclencher un ensemble d’effets, et le piège est de penser que l’effet étudié est causé par un autre effet car ils sont là en même temps ou un peu avant (exemple CO2 vs température). Par exemple, la seule présence de bactérie ne peut pas être présentée comme la cause d’un déséquilibre (maladie), à moins d’être dans l’obscurantisme comme aujourd’hui.

    Si on ne peut pas prouver quelques choses de la sorte alors comment peut on faire ?
    En faisant l’inverse, en cherchant via la modification des variables ce qui invalide les effets de base (hypothèse). On procède en cherchant à invalider l’expérience, et c’est lorsqu’on n’y arrive pas qu’on considère que c’est, à ce moment là, la meilleure approche qu’on a de la vérité (d’où le fait que la science évolue). Nous ne sommes pas détenteur de la vérité, on peut simplement la chercher pour s’en approcher, mais nous ne sommes pas omniscient, notre niveau de conscience à ses limites.
    Par exemple, si on observe la présence de bactérie sans déséquilibre, cela invalide l’hypothèse. De même si on observe le déséquilibre sans bactérie, cela invalide l’hypothèse. Au lieu de cela, les soi-disant scientifiques ferment les yeux dans le premier cas, et inventent l’idéologie du virus invisible dans le second cas pour protéger la théorie des germes et réussir à l’imposer à tous.

    Pour ce scénario de fin possible, le mieux serait encore que ces extraterrestres soient invisibles mais perceptibles par moment (son, image rapide, etc), surtout à la télé, pour jouer le jeu. Il faut donner uniquement des fictions à distance, rien que les gens puissent vérifier eux-même de façon approfondie.
    Je pense que la quasi totalité des images et vidéos qui circulent sur Internet sont totalement sous contrôle du système, et que le système est lui-même à l’origine de cette circulation (surtout quand c’est reposté par tout le monde). Nous vivons dans un monde de spectacle, sauf que comme dans le film Truman show, les acteurs ne savent pas qu’ils sont acteurs, et ils représentent la quasi totalité de la scène.

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