Chers amis,
Après avoir relu Ultima Verba de notre Maître Hugo, je me suis laissé aller à quelques vers et je me permets de vous les adresser, en guise d’encouragement. Merci pour ce que vous faites.
Epilogue
Je plains ceux qui d’une main martyrisent leur peuple,
Et sans gêne de l’autre font mine d‘apaiser,
D’un procédé sournois qui de fait les décuple,
Les souffrances infinies qu’ils viennent d’infliger.
Je plains bien plus encore les serviles valets,
Corrompus, ou flattés de leur nouvel état,
Tourmenteurs attitrés de qui n’est pas courbé,
Pourfendeurs d’hérétiques, d’adeptes du sabbat.
Mais je plaindrai surtout ces tyrans d’opérette,
Quand le peuple éveillé se lèvera d’un cri,
Poussé par la seule force que jamais rien n’arrête,
La conscience assurée d’avoir été trahi.”
Raymond