Procès Covid contre Bill Gates & ses co-conspirateurs aux Pays-Bas: la Cour tente de museler les experts

Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone préparent la riposte.

Dans l’affaire trop peu médiatisée des victimes des vaccins Covid contre Bill Gates, Albert Bourla et une quinzaine d’autres accusés, le tribunal de Leeuwarden aux Pays-Bas a décidé de ne pas entendre les experts et a censuré les débats, sur base d’une recommandation qui semblait avoir été édictée en dernière minute.

L’on pouvait s’y attendre car les plaignants néerlandais, des victimes des vaccins Covid et la fondation Rechtoprecht ont attaqué en force: ils parlent de génocide et de destruction planifiée pour organiser un « grand reset », sous couvert de réponse à la pandémie. Et pour attester du complot, ils ont recruté une équipe de choc: des voix qui pèsent tant par leurs qualifications que par leur acharnement à exposer « les crimes Covid ».

Dr Mike Yeadon: britannique, ancien vice-président pour la recherche et le développement des produits concernant les maladies respiratoires au niveau mondial pour le groupe Pfizer. Mike Yeadon a déclaré à maintes reprises que le fait d’utiliser la protéine spike qui est à l’origine du processus inflammatoire de la maladie comme base de fabrication des vaccins Covid, était un choix erroné qui violait les principes de précautions habituels de l’industrie pharmaceutique. Cette erreur manifeste ayant été commise par tous les fabricants démontre selon lui une intention de nuire concertée. En outre, le Dr Yeadon expose aussi le fait que l’on ignore ce que contiennent les vaccins Covid et qu’il est virtuellement impossible d’en contrôler les lots.

L’économiste Catherine Austin Fitts: ancienne sous-secrétaire au logement sous la 1ère administration Bush et fondatrice du Solari Report, elle a été une des premières à dénoncer le reset de l’architecture financière opéré sous couvert de pandémie et la destruction délibérée de la petite et moyenne entreprise au profit des grands capitaux. Dans « The Going Down Reset », l’économiste explique comment les banquiers centraux se sont accordés sur la plan d’accaparement des ressources et d’endettement présenté par Blackrock le 22 août 2019, 6 mois avant la pandémie, et dont l’accélération a été enclenchée au lendemain de la déclaration d’une alerte sanitaire liée au SARS-cov-2 par l’OMS.

Katherine Watt: une juriste américaine. Elle a exposé tout le montage juridique, dont le fameux « Prep Act » aux États-Unis qui permet de contourner la législation pharmaceutique et médicale normale en donnant les pleins pouvoirs aux militaires pour fabriquer et imposer des produits expérimentaux utilisés comme armes biologiques lors de la déclaration d’un risque de pandémie. Cette même législation organise une complète opacité et une totale exonération de tous les acteurs impliqués lorsque l’urgence est décrétée.

Sasha Latypova, une entrepreneuse dans le domaine pharmaceutique, experte dans la réglementation du développement et de la production des produits. Elle a démontré depuis le début de la pandémie les nombreuses failles de sécurité et de réglementation des produits, ainsi que le manque de contrôle des vaccins, notamment la qualité des lots.

Joseph Sansone, docteur en psychologie. Il affirme que la crise du Covid 19 a été utilisée à des fins de guerre psychologique pour induire des sentiments de peur, avec l’intention de manipuler les foules et de contrôler le comportement des peuples. Sansone a répertorié différents mécanismes psychologiques, dont certains proches de l’hypnose, qui ont été utilisés par les politiques et les médias de masse pour parvenir à ces fins.

Le sixième témoin sollicité par l’accusation était le professeur Francis Boyle, un expert en armes biologiques qui a contribué à l’élaboration de lois internationales sur les armes biologiques. Trois semaines après avoir accepté de témoigner, il est décédé subitement. La cause de son décès n’a pas été divulguée. Boyle avait plus de 70 ans, mais il était en bonne santé et enseignait à plein temps.

Il ne fait pas de doute que la pression exercée sur la partie plaignante est de taille. À la mi-juin, Arno Van Kessel, un des principaux avocats avait été arrêté par une unité de forces spéciales et son domicile avait été perquisitionné. À l’heure du procès à Leeuwarden, il était toujours en détention, sans que l’on sache véritablement pourquoi; une manoeuvre arbitraire qui a laissé son collègue seul face à la défense et qui n’est pas sans rappeller le cas de l’avocat Reiner Fuellmich en Allemagne.

Manifestement, ces débats font peur, car le procès compte aborder des questions bien gênantes, comme le fait de savoir si:

  1. La technologie de l’ARNm/ADN peut être utilisée comme arme biologique?
  2. Les injections d’ARNm de Covid-19 ont été commercialisées en tant que produits médicaux réglementés?
  3. La législation impose l’utilisation de substances et de méthodes scientifiquement validées dans le but de promouvoir les injections d’ARNm (Covid-19) comme étant sûres et efficaces?
  4. Lorsque les injections d’ARNm Covid-19 ont été administrées à des millions de personnes dans l’Union européenne, ces injections répondaient-elles aux exigences et aux garanties que les consommateurs peuvent attendre de produits pharmaceutiques?
  5. Sur quelle base les virus, les vaccins, la thérapie génique et les autres produits biologiques sont-ils différenciés des armes biologiques et bactériologiques?

Heureusement, il ne s’agit que d’une première décision et l’affaire est loin d’être terminée. Ce rejet avait de toute manière été anticipé et les avocats de l’accusation affirment avoir une série de stratégies alternatives pour poursuivre la procédure.

En attendant, un soutien du public est nécessaire face à une défense qui dispose de moyens quasi illimités. L’association Rechtoprecht lance un appel à l’aide via le communiqué de presse de leur avocat principal Peter Stassen.

Appel à l’aide et communiqué de presse envoyé par le bureau d’avocats des plaignants:

Communiqué du 20 août 2025 concernant la procédure de demande au tribunal de district de Leeuwarden avec le numéro de référence C/17/199273 / HA RK 25-17

Au nom de trois clients qui ont subi de graves dommages physiques et non matériels à la suite d’injections d’ARNm Covid-19, le soussigné a lancé une procédure de pétition au tribunal de district de Noord-Nederland, à Leeuwarden.

La demande au tribunal est d’entendre cinq témoins experts internationaux dont les opinions diffèrent du récit officiel de Covid-19 (une demande de preuves préliminaires). Mes clients, comme beaucoup de ceux qui réalisent que le Covid-19 n’est pas une maladie mais un projet, ont des questions urgentes d’une grande importance sociale.

Un débat social ou scientifique sur ces questions ne peut avoir lieu sans intervention judiciaire. Pour cette raison, il est de la plus haute importance que les experts soient entendus devant les tribunaux, devant le juge et avec la possibilité d’un débat public de procédure et de deuxième avis. Cela permet à mes clients – et à d’autres – de déterminer leur situation juridique en fonction de ces informations. Les questions de la procédure de pétition concernent, entre autres, la question de savoir si les injections d’ARNm du Covid-19 constituent une arme biologique utilisée par les défendeurs, en tant qu’exécuteurs du projet Covid-19: The Great Reset, pour commettre un génocide.

Les experts nommés dans ce contexte sont Catherine Austin Fitts, Michael Yeadon, Sasha Latypova, Katherine Watt et Joseph Sansone. Pour plus de détails sur la requête et les CV de ces témoins experts, veuillez vous référer aux documents judiciaires publiés sur le site Web de la Fondation RechtOprecht, qui facilite ces procédures (www.RechtOprecht.online). Sur le site Web susmentionné, vous trouverez également les documents de procédure complets dans une procédure de fond (procédure d’assignation – citation à comparaître) que j’entame au nom de sept autres clients – et dont l’un est décédé à la suite des injections d’ARNm Covid-19.

Ces procédures de fond contiennent de nombreuses preuves à l’appui de l’affirmation selon laquelle les injections de Covid-19 sont une arme biologique utilisée par les accusés agissant en groupe pour commettre un génocide. Ces procédures de fond sont également soutenues par la fondation Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). Une audience orale sera toujours requise dans ces procédures de fond avant que le tribunal de district de Leeuwarden ne puisse rendre un jugement (intérimaire). Aucune date n’a encore été fixée pour cette audience. Compte tenu de la similitude en matière, les deux procédures sont d’une grande importance publique. Tant les procédures de fond que les procédures de demande concernent les procédures de droit civil dans lesquelles j’ai une vaste expérience et je me suis longuement spécialisé à travers mes plus de vingt ans de pratique juridique et de multiples formations de troisième cycle (Grotius).

Pour soutenir financièrement ces deux affaires, la Fondation RechtOprecht s’appuie sur les dons des donateurs, qui sont essentiels à la poursuite de leur fonctionnement. Les options de dons peuvent également être trouvées sur le site Web susmentionné.

Peu de temps avant l’audience orale du 9 juillet, une nouvelle directive de presse a été introduite aux Pays-Bas, qui stipule que seuls les soi-disant « journalistes accrédités » sont autorisés à faire des enregistrements vidéo des audiences. Malgré le fait que le juge ne soit pas lié par cette directive de presse et vu ma demande urgente au juge d’autoriser les enregistrements vidéo par les nombreux reporters présents, l’audience a été censurée. Car les « journalistes accrédités » ont brillé par leur absence. En ce qui concerne le cours discutable des événements survenus lors et autour de cette audience, je me réfère à la correspondance avec le tribunal consécutive au procès, qui est également publiée sur le site Web.

Il n’y avait pas d’argumentation convaincante justifiant le rejet d’entendre des experts lors de l’audience du 9 juillet. Au cours de cette audience, j’ai longuement discuté de l’énorme intérêt de la procédure pour le public. Le juge, qui a entendu l’affaire, a également déclaré lors de l’audience qu’il reconnaissait l’intérêt public dans la demande. Et l’avocat de Bill Gates s’est reporté à la décision du tribunal, de sorte qu’aucune objection n’a été soulevée contre lui quant à l’octroi de la demande, et elle était donc prête à être accordée.

Avec un mépris total pour la situation de mes clients, plusieurs des défendeurs ont repris le récit officiel selon lequel les injections d’ARNm Covid-19 étaient sûres et efficaces. Les représentants des médias [les personnalités des médias néerlandais qui sont accusées en tant qu’individus dans l’affaire] ont fait valoir que leurs employeurs (NOS/Telegraaf), et non eux-mêmes, auraient dû être poursuivis. J’ai conclu mon plaidoyer en notant que si le juge rejetait la demande, elle aurait le même sang sur les mains que les défendeurs, et j’ai souhaité à la juge beaucoup de sagesse dans sa décision.

La décision d’aujourd’hui montre clairement que la juge n’a pas eu la sagesse de ne pas se salir les mains dans cette affaire. Un enregistrement audio édité de l’audience, autorisé par le tribunal, ne sera disponible qu’en même temps que le verdict. Vous ne pourrez pas voir les réponses non verbales du public et de la défense sur cet enregistrement. Cet enregistrement audio sera également publié sur le site Web susmentionné de la Stichting RechtOprecht (Fondation RightOprecht). En réponse à mes questions, le tribunal a refusé d’expliquer pourquoi il a décidé de déformer les voix des avocats des accusés dans ces enregistrements.

Prochaines étapes:

La décision maladroite de ce tribunal de première instance fera l’objet d’un appel devant la Cour d’appel de Leeuwarden. Les défendeurs ont encore beaucoup à affronter sur le plan procédural. C’est pourquoi, à la fin de ce communiqué de presse, j’aimerais attirer votre attention sur les développements à venir qui sont d’une grande importance sociale.

En ce qui concerne les procédures, nous rappelons aux médias, et en particulier à la presse (journalistes) que d’autres preuves seront présentées dans les procédures de fond. Ces preuves montrent clairement que les injections d’ARNm du Covid-19 se qualifient comme une arme biologique utilisée pour commettre un génocide.

Cela démontre également que le public est toujours induit en erreur par la perception que les injections d’ARNm Covid-19 sont un vaccin développé et produit avec des garanties de sécurité. Dans la procédure de fond, il a été avancé que l’ancien ministre néerlandais de la Santé Hugo de Jonge, entre autres, a trompé le public en déclarant (ensemble avec d’autres collègues exécutants du projet Covid-19: The Great Reset) que « le vaccin a été rigoureusement testé et qu’aucune précaution n’a été négligée ». Ceci, alors que, comme le démontreront ces nouvelles preuves, il s’agit en fait d’une arme biologique. Un nouveau communiqué de presse suivra à l’occasion de l’introduction de ces éléments dans les procédures principales.

Peter Stassen, avocat principal

Les dons pour la suite de la procédure de ce procès historique peuvent être faits à la Fondation RechtOprecht. N° de compte IBAN NL62 ABNA 0548 3386 98

Voir la vidéo Discussion sur l’affaire judiciaire aux Pays-Bas (et bien plus encore) avec Liz Gunn, journaliste néo-zélandaise, et Jim Ferguson, journaliste britannique:

Sasha Latypova: Dans la première partie de l’interview, nous discutons de l’affaire en cours aux Pays-Bas contre les responsables gouvernementaux Bourla, Gates et Schwab, accusés de démocide et d’utilisation d’armes biochimiques dans le cadre de l’opération militaire mondiale «Covid». Les autres sujets abordés dans l’interview sont les motivations qui poussent les gouvernements à attaquer la population et les méthodes psychologiques utilisées. De nombreux autres thèmes sont également abordés.



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