«Plus jamais ça! Comment éviter le retour du cauchemar»

Regardons en face les leçons du passé: la vaccination contre l'hépatite B des années 90 contenait les germes du "scandale Covid", estime Xavier Bazin

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Par Xavier Bazin, journaliste scientifique

Le Danemark a récemment annoncé que les moins de 50 ans ne se verront plus proposer de vaccin contre le Covid-19. C’est une avancée, mais c’est encore extrêmement timide.

Interdire ces vaccins aux moins de 50 ans en bonne santé aurait dû être la règle dès le premier jour de la campagne vaccinale lancée il y a plus d’un an et demi. Il était évident début 2021 que le Covid ne posait pas de risque mortel aux moins de 50 ans (sauf rares exceptions).

Il était donc très imprudent de leur proposer un vaccin expérimental, dont on ne savait rien des effets indésirables après 2 mois. Il était évident, aussi, dès le départ, qu’un vaccin injecté dans le muscle ne pouvait pas empêcher la transmission d’un virus qui se multiplie dans le nez[1].

Cela veut dire que le vaccin ne pouvait pas freiner l’épidémie. Donc, il n’y avait strictement aucune raison de vacciner les moins de 50 ans – et encore moins de les forcer à le faire via les pass sanitaires ou vaccinaux.

Ce qu’on a vécu était une folie – la plus grande folie sanitaire de ces 50 dernières années

Heureusement, la raison commence à revenir. Des scientifiques prestigieux osent désormais pointer du doigt les faits qui dérangent. Ainsi, une étude publiée cet été dans la revue Vaccine montre que les risques du vaccin Pfizer étaient supérieurs à son bénéfice depuis le début[2].

Les auteurs – dont Peter Doshi, éditeur associé au prestigieux British Medical Journal – se sont penchés attentivement sur les données des essais cliniques Pfizer et Moderna. Ils ont étudié les données que nos autorités de santé avaient en main, au moment où elles ont autorisé les campagnes de vaccination de masse.

Et ils n’ont pas été déçus du voyage. D’abord, ils ont découvert que ces vaccins sont associés à des effets indésirables graves fréquents – de l’ordre de 1 pour 800 vaccinés[3] – en particulier des troubles de la coagulation.

Roulette russe

1 pour 800 ! Sachant que les troubles graves de la coagulation peuvent causer infarctus, AVC, embolies pulmonaires, etc. C’est de la roulette russe. Et ça, c’était uniquement avec 2 doses – pas avec 3 ou 4 doses !

Que ce soit pour Pfizer et Moderna, le rapport bénéfice-risque global était négatif : dans les essais cliniques, le vaccin causait plus d’effets indésirables graves qu’il n’évitait d’hospitalisations liées au Covid.

Dans l’essai Pfizer, écrivent les auteurs, « l’excès de risques d’effets indésirables sérieux (10 pour 10 000) est plus élevé que la réduction du risque d’hospitalisation pour Covid-19 (2,3 pour 10 000) ».

Ce qui signifie : 4 fois plus d’effets indésirables graves que d’hospitalisations Covid évitées. Et ces chiffres sont tirés de l’essai clinique Pfizer, dont on sait par ailleurs qu’il a été amplement manipulé pour masquer des effets indésirables graves[4] !

Vaccin jusqu’à 98 fois plus dangereux que le virus pour les jeunes ?

Une autre étude fracassante confirme l’ampleur du scandale sanitaire, au moins pour les jeunes. L’article n’a pas encore été publié dans une revue médicale, mais cela ne saurait tarder, car ses auteurs sont prestigieux et issus des plus grandes universités de médecine : Harvard, Oxford, Johns Hopkins, etc.

Leur conclusion est sans ambiguïté : pour les jeunes adultes de moins de 30 ans, le rappel (booster) de vaccin anti-Covid est 18 à 98 fois plus dangereux que le virus.

Pour 1 hospitalisation Covid évitée, il faut donc compter 20 à 100 fois plus d’effets indésirables graves.

Et encore, ce calcul ne vaut que pour des jeunes qui n’ont jamais été infectés par le virus – les autres n’ayant aucun bénéfice à attendre du vaccin, du fait de leur immunité naturelle ! Tous ceux – et ils sont les plus nombreux – qui ont attrapé le Covid n’ont donc que des effets indésirables graves à attendre de ces vaccins.

Personne, ou presque, n’a bougé le petit doigt

«C’est la jeunesse qu’on assassine», s’est indigné à juste titre le journaliste Yves Rasir[5].

(Je précise que c’est aussi la vieillesse qu’on a assassinée avec ces campagnes de vaccination de masse – ce sera plus long à démontrer, et plus difficile à admettre, mais cela ne fait plus aucun doute sachant qu’on disposait par ailleurs de traitements préventifs et curatifs efficaces, comme la vitamine D, l’ivermectine et le protocole Raoult).

Comment une telle catastrophe a pu se produire, sans que personne, ou presque, ne bouge le petit doigt ?

À part quelques grands médecins courageux (Raoult, Perronne, Fouché, Ménat, etc.), quelques journalistes indépendants, une petite minorité de citoyens éclairés, tout le monde a laissé faire : les autorités de santé, le monde médical dans son ensemble, les médias, les politiques et les juges.

Comment est-ce possible ? Et comment éviter que cela ne recommence, à l’avenir ?

C’est LA question qu’il est urgent de se poser, désormais.

Tirer les leçons du passé pour ne pas revivre ce cauchemar

La vérité est que l’horreur n’a pas surgi de nulle part. Il y a un précédent à cette campagne désastreuse de vaccination Covid.

Cela s’est passé dans les années 1990. À l’époque, les dégâts n’ont pas été aussi graves – il est impossible d’égaler la dangerosité des vaccins anti-Covid expérimentaux.

Mais il y a tout de même eu des dizaines de milliers de victimes d’effets indésirables graves… pour un vaccin qui ne pouvait pas apporter de bénéfice à des jeunes en bonne santé, sauf cas rares et exceptionnels.

La vaccination contre l’hépatite B, notamment dans les collèges

Elle a commencé en 1994-1995, à l’initiative du ministre Philippe Douste-Blazy. Des élèves de 6ème ont été massivement vaccinés, au sein même des collèges, jusqu’à ce que Bernard Kouchner arrête les frais en 1998.

Pendant plusieurs années, des Français de tous les âges ont aussi été invités à se vacciner contre l’hépatite B. Rapidement, près de 30 millions de Français ont reçu 3 ou 4 injections !

Pourtant, ces campagnes n’avaient strictement aucun sens médical :

  • La maladie visée était rare et ne concernait que certaines populations à risque ;
  • Le simple coût financier de l’opération dépassait de beaucoup le gain espéré en termes de santé publique ;
  • Surtout, d’innombrables signaux très inquiétants ont montré que ces vaccins pouvaient causer de graves dégâts.

Comme aujourd’hui, une toute petite minorité a alors essayé de résister contre cette campagne vaccinale absurde et dangereuse. Quelques médecins et experts courageux. De très rares journalistes éveillés. Un ou deux juges isolés.

Et un certain nombre de victimes de ces injections, bien placées pour savoir de quoi elles parlent. Mais tout a été oublié. On n’a tiré AUCUNE LEÇON de ce qui s’est passé.

Administré même aux bébés

On a même fait encore pire. Au lieu d’arrêter les frais, on a généralisé le vaccin contre l’hépatite B pour les plus fragiles ! En 1995, ce vaccin  a été recommandé pour tous les nourrissons – et il est devenu obligatoire en 2018.

Or il suffit d’un minimum de bon sens pour comprendre l’absurdité de cette vaccination :

Quel peut être l’intérêt de vacciner un bébé en bonne santé contre une maladie d’adultes (qui se transmet essentiellement par des aiguilles contaminées et/ou partenaires sexuels multiples) …sachant que la durée de protection du vaccin ne dépasse probablement pas 10 ans ?

Et pourtant, cela ne fait pas de vague, chez les parents. Alors que les bébés en bonne santé n’ont strictement aucun bénéfice à attendre de ce vaccin. Et qu’il existe d’énormes suspicions d’effets indésirables très graves liés à ce vaccin.

Les prémisses du scandale Covid

L’affaire du vaccin hépatite B vaut vraiment la peine d’être revisitée.

Dans mes prochaines lettres, je vous montrerai qu’elle contenait, en germe, tous les ingrédients du scandale Covid.

Il y a une seule solution, pour éviter que le cauchemar ne recommence : REGARDER EN FACE LES ERREURS DU PASSÉ, S’AGISSANT DES VACCINS.

C’est ce que nous allons faire ensemble – restez connecté.

Sources