L’Appel de Rome a été lancé à l’occasion du Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre à Rome. Parmi les signataires, on compte notamment Robert Malone, l’un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough, cardiologue américain le plus cité au monde dans la littérature médicale et Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins.
Ils ont, avec les centaines de premiers signataires, été rejoint depuis par plus de 8’000 (au 1er octobre) scientifiques et médecins de différents pays. Montrant une fois de plus que le prétendu “consensus” scientifique en faveur des politiques sanitaires liberticides n’existe pas.
Comme l’indique le Courrier des stratèges,”ils rappellent ce qu’implique le serment d’Hippocrate, avertissent les gouvernements sur les dangers qu’ils courent à ne pas laisser les médecins prescrire et expérimenter librement des traitements. Et ils demandent que l’on “restaure confiance, intégrité et professionnalisme dans l’exercice de la médecine“.
Concluant par une prise de position sans faux-semblant : “(ce que nous avons vu) n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.”
DÉCLARATION DES MÉDECINS
SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE
Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux
Septembre 2021
Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit ;
ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.
PAR CONSÉQUENT, IL EST
RÉSOLU que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
RÉSOLU que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
IL EST RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
IL EST RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
RÉSOLU que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
RÉSOLU que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.
EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.
- Lien vers l’article sur le Courrier des stratèges : cliquer ici.
- Lien vers la Déclaration en anglais : cliquer ici.