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Spike, une protéine qui donne des soucis…

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La biologiste Ema Kahn analyse les déconvenues des injections en Israël et au Royaume Uni. Leurs effets seraient plus problématiques que prévu.

Les vaccins actuellement commercialisés consistent à injecter des acides nucléiques qui vont faire synthétiser la protéine Spike par le vacciné. Le risque existe que leur mise sur le marché, à la hâte et s’adressant à un public non informé, puisse avoir des conséquences négatives énormes et irréversibles sur la santé.

Les vaccins à ARNm sont développés depuis plusieurs années par le NIAID (Institut étasunien des maladies infectieuses) et Moderna;  en 2019 ce développement a été ciblé sur les coronavirus et les protéines de membranes virales. Les fabricants des vaccins mis sur le marché ont contourné les obstacles dus à cette nouvelle technologie en modifiant par divers procédés le matériel génétique de la spike du virus de la Covid-19. Ces modifications pourraient la rendre plus dangereuse que la spike du virus de la Covid-19. En effet, la spike (S) du virus SARS-CoV-2 est en partie responsable de certaines pathologies engendrées par la Covid-19. Les nanoparticules vectrices ont également une toxicité propre. Les études succinctes de bio-distribution des vaccins qui ont été rendues publiques récemment inquiètent les spécialistes car les nanoparticules vectrices et la spike synthétisée à partir de celles-ci se répandent dans tout l’organisme contrairement à leurs attentes. Des questions souvent posées les jours derniers seront aussi abordées : Les vaccinés peuvent-ils excréter le vaccin ? Don du sang et vaccinés. Enfin sont abordés la neurotoxicité de la spike et son passage de la barrière hémato-encéphalique (du sang vers le cerveau) qui sont maintenant bien établis.

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