Une audition remarquée de scientifiques éminents, écartés et souvent violemment attaqués par les tenants de la doxa officielle depuis le début de la “crise sanitaire”, s’est déroulée au Parlement luxembourgeois le 13 janvier dernier.
Dans son intervention, le Pr Christian Perronne a pour sa part rappelé ses états de service pertinents au regard de la gestion du Covid : il a en particulier présidé la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique, conseillé différents gouvernements français pendant 15 ans sur la gestion des crises sanitaires et des épidémies ou encore présidé le comité technique des vaccinations, et donc piloté la politique vaccinale de la France.
Décisions prises en catimini, sans preuve scientifique
Il a également été vice-président du groupe d’experts sur les vaccins pour la zone “Europe” de l’OMS, qui inclut la Russie, les républiques d’Asie centrale, la Turquie et Israël.
Le Pr Perronne souligne que les décisions des gouvernements ont été prises en catimini, sans que des justifications scientifiques soient avancées. Il révèle avoir proposé un débat public au Pr Jean-François Delfraissy, président du “Conseil scientifique” nommé par l’Élysée et que celui-ci a refusé.
Innombrables fraudes scientifiques
Bien qu’attaqué par les médias, l’infectiologue insiste sur le fait que ses deux livres et les nombreuses références scientifiques qu’ils contiennent n’ont jamais été mis en défaut.
Le déni de science dans la gestion du Covid depuis deux ans est choquant à ses yeux. Non seulement y a-t-il eu manque de preuves sur la totalité des mesures imposées à la population, mais on a vu de surcroît d’innombrables fraudes scientifiques. Comme celle bien sûr du journal médical Lancet contre l’hydroxychloroquine, où un escroquerie a été produite puis publiée dans une revue réputée alors qu’il s’agissait d’un faux grossier.
Conflits d’intérêt majeurs parmi les “experts” et les médias
Ou encore le “Pfizergate” révélé par le British Medical Journal, qui a montré l’existence de fraudes dans les essais cliniques du géant pharmaceutique. Les médias en France n’en ont jamais parlé à l’exception d’un petit encart dans Le Figaro.
Nous sommes en réalité dans un environnement de conflits d’intérêts majeurs et généralisés parmi les “experts” et les médias. Ces derniers ont reçu en France trois milliards d’euros du gouvernement au cours des deux dernières années, à une époque où les caisses sont vides.
Chiffres gonflés à cause des tests PCR
Christian Perronne se dit aussi choqué, en tant que spécialiste des vaccinations, que les injections géniques expérimentales pour le Covid soient dénommées “vaccins” . Selon lui, elles ne méritent pas cette appellation, puisqu’elles ne protègent pas de la contamination ni de la transmission, ni des cas graves ni des décès. Dans les pays où la couverture “vaccinale” est la plus élevée, 90% des patients en réanimation sont des “vaccinés”, ajoute-t-il.
Les chiffres généraux d’incidence, d’hospitalisation et de décès attribués au Covid sont gonflés à cause de l’utilisation de tests PCR à des taux d’amplification excessifs, bien au-delà de ce qui est normalement autorisé. On comptabilise ainsi dans ce registre des gens hospitalisés ou morts pour d’autres affections mais qui ont eu un PCR positif (lequel ne peut pas dire avec certitude si une personne est infectée ou non).
Vitesse choquante de mise sur le marché des injections géniques
Le Pr Perronne trouve également choquant la vitesse de mise sur le marché des injections géniques : normalement, il faut dix ans pour qu’un nouveau vaccin soit autorisé, avec un délai supplémentaire de sécurité pour les femmes enceintes.
Aucune des décisions prises (rappel, booster, nombre de doses et même autorisation de mise sur le marché) ne s’appuie sur des données scientifiques. L’agence européenne du médicament (EMA) a même révélé qu’elle ne connaissait pas la composition des vaccins. Comment a-t-elle pu donner une autorisation dans ces conditions ?
Des dizaines de milliers de décès post-vaccinaux signalés
Les données de pharmacovigilance montrent qu’il y a déjà eu 36’000 décès post-vaccinaux signalés en Europe et 25’000 aux Etats-Unis, ce qui est énorme. On constate également une augmentation significative des cancers parmi les “vaccinés.” Alors que dans les pays qui n’ont pas ou pas beaucoup “vacciné”, l’épidémie est terminée.
Tout ceci est illégal, et les décideurs peuvent être poursuivis
Tout ceci est illégal, insiste Christian Perronne : les autorisations de mise sur le marché conditionnelles ne peuvent être accordées que s’il n’y a pas de traitements efficaces. Or des centaines de publication scientifiques montrent que nous disposons de tels traitements.
Les injections géniques étant des produits expérimentaux de phase III, tout Etat ou parlementaire qui vote une obligation peut être poursuivi devant la Cour Pénale Internationale ainsi que tous ceux qui ont participé à cette décision.
Les enfants meurent du vaccin et non du Covid
Actuellement, des enfants meurent du vaccin alors que les enfants ne meurent pas du Covid. Christian Perronne termine en demandant un moratoire : il ne s’agit pas d’un vaccin, et les injections géniques n’ont pas été évaluées de façon correcte.
“Ces vaccins sont des poisons”
Dans son intervention, la généticienne Alexandra Henrion Caude a pour sa part insisté sur le fait que les études de sécurité (cancérogénicité et génotoxicité) n’ont simplement pas été réalisées par manque de temps, selon l’aveu même de l’Agence européenne des médicaments.
Quant au Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, il a asséné : “Ces vaccins ne sont pas des vaccins, ce sont des poisons.”
- Pour consulter l’audition complète sur la chaine Parlementaire du gouvernement du Luxembourg : cliquer ici.
- Pour consulter la correspondance officielle avec l’Agence du Médicament Européen : cliquer ici.
- Pour les références des centaines d’études attestant de l’efficacité des traitements alternatifs : cliquer ici pour l’ivermectine et ici pour l’hydroxychloroquine.