Le constat entraînera-t-il un sursaut de conscience au sein de la classe politique? Il a en tout cas de quoi provoquer un séisme dans la communauté scientifique où une étude publiée le 6 décembre dans la prestigieuse revue Nature a déjà fait l’effet d’une bombe. Cette étude révèle comment les modifications apportées au codage de l’ARN pour produire la Spike entraînent des erreurs de fabrication de la protéine. Pour le Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, ces perturbations peuvent être gravissimes, car susceptibles d’engendrer la production de protéines indésirables. Dans une vidéo destinée au grand public, le scientifique explique en quoi ces manipulations représentent un véritable danger pour la survie de l’humanité.
Risques inimaginables
L’étude de Nature fait apparaître que l’adjonction d’un certain élément au code génétique de la protéine Spike en fausse la lecture. Ceci donne lieu à des erreurs dans la transcription de l’ARN messager par la cellule, qui ne reçoit plus les instructions correctes pour fabriquer les protéines. Sachant que des ARN messagers ‘perturbateurs’ sont injectés par milliards dans le corps humain, les risques liés à la production de protéines indésirables ou inconnues en grande quantité sont inimaginables.
Pour le Dr Sabatier, il est trop tôt pour prédire les conséquences que ceci aura sur les 6 milliards d’êtres humains qui ont été vaccinés, mais cela confirme à nouveau que la technologie de l’ARN précipite l’humanité dans une expérience hors de contrôle, liée à la possible programmation génétique des ARN messagers avant la vaccination. Avec cette interrogation lancinante: y a-t-il une volonté de modifier le génome humain par l’utilisation d’une telle technologie?