La Maison Blanche et les CDC, les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies, ont été informés des arrêts cardiaques liés aux vaccins Covid dès le mois d’avril 2021. Des courriels internes obtenus par voie légale ont enfin révélé comment les autorités ont tout fait pour cacher l’information et rassurer le public sur la sécurité des vaccins. Tous les hauts responsables des instituts de santé américains ont été impliqués dans la fabrication de ce mensonge aux conséquences incommensurables.
Mensonge au plus haut niveau
Les emails internes témoignant de cette abomination ont été obtenus par le DailyClout, dans le cadre de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act, FOIA). Ils montrent que l’équipe de communication de la Maison Blanche s’est évertuée à dissimuler l’affaire avec la complicité des plus hauts responsables de la santé des États-Unis. En premier lieu, le Dr Anthony Fauci, principal responsable de la ‘réponse Covid’ sous les présidents Trump et Biden, mais aussi la directrice du CDC Rochelle Walensky, le Dr Janet Woodcock, conseillère médicale en chef du président Biden et commissaire par intérim de la Food and Drug Administration (FDA), le Chirugien Général Vivek Murthy et le Dr Francis Collins, directeur de l’Institut National de la Santé (NIH).
Anthony Fauci, le conseiller santé des présidents
Ils ont participé ensemble à l’élaboration d’un “courriel sur la myocardite” qui minimisait les risques d’arrêt cardiaque liés aux vaccins Covid”, a déclaré Amy Kelly, directrice du projet d’analyse des documents Pfizer par le DailyClout.
L’initiative émanait de l’équipe du président Biden, notamment Ian Sams, responsable de la réponse au Covid-19, assistant spécial du président, conseiller principal et porte-parole de la Maison Blanche. Elle comptait aussi Abbigail Tumpey, la directrice de la communication pour le CDC, et la Dre Dana Meaney-Delman, responsable du suivi de la vaccination des mères et des enfants au CDC.
Les arcanes du dossier Pfizer
Ces courriels accablants ont été obtenus par Edward Berkovich, l’un des 250 avocats bénévoles qui collaborent au projet du DailyClout dont le but est d’analyser les 450 000 pages de dossiers Pfizer que le fabricant a tenté en vain de garder secrètes pendant 75 ans.
Ce travail d’ampleur pharaonique est l’initiative conjointe de la journaliste Naomi Wolf, ancienne conseillère de la campagne Clinton, et de Steve Bannon, ancien conseiller du président Trump et animateur du podcast “The War Room”.
Outre le groupe d’avocats, Mme Kelly supervise aussi 3 250 médecins, infirmières, scientifiques et autres volontaires pour éplucher le dossier. 89 rapports d’enquête ont déjà été publiés, dont celui du 18 octobre qui concerne la dissimulation de la myocardite, mise en évidence dans les courriels précités.
Pour la responsable du projet :
Il est ahurissant de constater que ces courriels révèlent que les plus hauts responsables, jusqu’à la Maison Blanche, étaient au courant des lésions cardiaques liées aux vaccins à ARNm… Et qu’ils se sont entendus en coulisses pour dissimuler cet effet secondaire grave au peuple américain. Mais c’est bien là. Tout le monde peut étudier les trois courriels publiés dans le cadre de la demande sur base de la loi FOIA disponibles sur le site de Dailyclout.
Tout le monde savait, tout le monde a menti
Et d’ajouter:
Ce qui me semble le plus important, c’est de voir qui est impliqué. Je pense qu’en tout, 105 personnes différentes figurent sur ces courriels. La majeure partie sont de la Maison Blanche, du CDC, du Département américain de la santé, du NIAID, mais aussi de Pfizer et de certains hôpitaux et organisations pour enfants et quelques personnes externes.
Ce que j’en retiens, c’est que tout le monde, dans toutes les agences de santé publique, savait qu’il y avait un grave risque de myocardite lié aux vaccins Covid-19. Et malgré cela, ils ont rédigé une communication pour en minimiser l’importance.
Les courriels montrent que le ministère israélien de la santé avait alerté le CDC à ce sujet, dès la fin du mois de février 2021.
Les israéliens avaient envoyé un message clair:
Nous voyons un signal de myocardite et nous sommes désireux de partager ces informations avec vous.
Apparemment, le CDC n’avait même pas répondu au premier courriel. Le ministère israélien de la santé a dû envoyer un second courrier en date du 2 mars :
Nous observons un signal concernant la myocardite, nous sommes inquiets, discutons-en si vous le souhaitez.
Le script du crime
Pour Naomi Wolf l’implication de la Maison Blanche dans la dissimulation des dangers liés aux vaccins est “absolument choquante”. Elle révèle que l’accès aux informations a été facilité par un dénonciateur anonyme du CDC qui n’avait pas hésité à accuser la Maison Blanche.
La journaliste Naomi Wolf
En plus des pages que notre avocat avait demandées, nous avons reçu 46 pages supplémentaires qui montraient que l’équipe de communication de la Maison-Blanche paniquait à l’idée que les vaccins provoquent des caillots sanguins et des lésions cardiaques. Mais au lieu de dire la vérité au peuple américain et de retirer cette injection du marché, ils ont fait appel aux docteurs Fauci, Collins et Walensky pour créer un scénario qui permettrait de dissimuler l’information.
Selon leurs propres mots, il s’agissait d’un “script” de 17 pages (entièrement caviardé dans les documents reçus) ayant pour but de cadrer la communication, afin que tout le monde reste sur la même longueur d’onde et minimise les dangers.
Et suite à cela, plutôt que de retirer cette injection du marché, ils l’ont rendue obligatoire. Ils ont ‘doublé la mise’ en imposant le vaccin.
Pour la journaliste, les courriels en question révèlent un crime de grande ampleur.
Ils montrent qu’un modèle de courrier a été préparé pour les communications informant le président des États-Unis de la discussion entre responsables de la santé publique au sujet des myocardites liées au vaccin Covid. Le Dr Walensky, le Dr Fauci et le Dr Collins étaient dans ces échanges, toute l’équipe de communication de la Maison Blanche menait la discussion.
Ils ont aussi reçu des signaux d’alerte de l’Association américaine de pédiatrie. Celle-ci les avait avertis du risque de myocardite chez les adolescents, une maladie grave, parfois mortelle, qui nécessite une prise en charge constante. Ils ont élaboré une stratégie pour étouffer l’affaire, en sachant qu’ils tuaient des gens.
Pfizer premier coupable
Le Dr Peter McCullough, l’un des cardiologues les plus publiés au monde, a déclaré que les vaccins Covid-19 de Pfizer auraient dû être retirés du marché en janvier 2021, “après les 50 premiers décès”, ce qui était l’ancienne norme du gouvernement fédéral pour garantir la sécurité d’un produit biologique.
Selon lui les dossiers de la FDA montrent que, sur la base des premières données soumises par Pfizer, l’agence s’attendait à un risque de myocardite lié aux vaccins Covid-19 à ARNm dès le 22 octobre 2020, avant même que les premiers vaccins ne soient autorisés.
Deux mois plus tard, lors de sa présentation devant le comité d’approbation de la FDA, Pfizer a caché 38 décès supplémentaires, pour ne pas compromettre l’obtention du feu vert à l’utilisation en urgence de son vaccin.
S’ils avaient signalé ces décès, on aurait vu un risque cardiovasculaire trois à quatre fois plus élevé avec le vaccin Pfizer dans les données montrées à la réunion du 10 décembre 2020, et leur vaccin n’aurait jamais été approuvé.
L’heure des comptes
L‘article que le Dr McCullough a publié avec d’autres scientifiques montre que la dissimulation de la myocardite a tué des milliers d’Américains. Il est basé sur la revue systématique de tous les rapports d’autopsie qui ont examiné le lien possible entre les myocardites et les vaccins contre le Covid-19, jusqu’au 3 juillet 2023.
Il conclut:
il existe une forte probabilité de lien causal entre les vaccins Covid-19 et les décès dûs à une myocardite, dans les cas où un décès soudain et inattendu est survenu chez une personne vaccinée.
Pour le cardiologue et ses collègues, une enquête à grande échelle doit maintenant être menée, pour évaluer les recommandations vaccinales et réduire la fréquence des décès par myocardite.
En attendant, une autre question demeure, relève The Defender: étant donné le haut profil et le nombre des personnes impliquées, comment rendre les auteurs de ces décisions criminelles responsables de leurs actes ?
D’après un article de Mike Capuzzo, publié le 24 octobre par The Defender