L’International political and scientific ethics (IPSE), ONG basée à Genève, récolte des signatures pour une réévaluation de la balance Bénéfice/Risque par classe d’âge.
L’IPSE évoque les inquiétudes autour des effets nocifs suspectés de la protéine Spike. Basée sur des études scientifiques récentes, la demande aux autorités sanitaires et politiques précise notamment :
“Nous demandons aux Autorités en charge de la santé publique de reconsidérer immédiatement l’autorisation de vacciner massivement dans l’attente d’une clarification sans équivoque sur la sécurité et l’efficacité des vaccins SARS-CoV2 disponibles.”
Extrait des motivations :
“Les procédés « vaccinaux » contre la Covid-19, issus du génie génétique (vaccins géniques), ont bénéficié de conditions d’autorisation de mise sur le marché extrêmement précoces au caractère exceptionnel. Malgré les résultats préliminaires, transmis par les fabricants, semblant démontrer leur efficacité, les promesses en lien avec cette nouvelle technologie se sont, dans la pratique, transformées en inquiétudes pour plusieurs raisons. L’une d’entre elles concerne la protéine Spike elle-même, dont la production induite en grande quantité dans les cellules de l’hôte après introduction de son code génétique, semble être en lien avec d’importantes atteintes vasculaires. Les études et observations relayées à ce sujet sont à l’origine de graves préoccupations.
Si certains éléments de compréhension restent encore à découvrir, il existe une très forte présomption que la protéine Spike, qui est l’élément déterminant des dispositifs vaccinaux contre le SARS-CoV-2, soit également la responsable des dommages causés aux organes distants du lieu d’injection, notamment le cerveau, le cœur, les poumons, les reins et les organes de reproduction.
Comme les statistiques (…) le montrent, les vaccins utilisés actuellement peuvent déclencher des effets adverses à court terme potentiellement mortels (plus de 10.000 actuellement dans l’Union Européenne), dont certains sont très probablement liés aux dommages au niveau de la micro-vascularisation. Au surplus, si nous ne sommes pas en mesure de connaître l’importance des conséquences à long terme liées aux dommages causés à l’endothélium vasculaire, nous pouvons supposer qu’ils seront significatifs.
Avant que l’un de ces vaccins ne soit officiellement approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, selon différentes catégories et classes d’âges, il est important de pouvoir évaluer plus précisément, chez les sujets vaccinés, les effets liés à la de production de la protéine Spike à l’origine du déclenchement d’une réaction immunitaire.
Nous basant sur le principe de précaution nous demandons réévaluation de la vaccination dans l’attente de vérifications concernant ces effets adverses graves dus à la protéine de surface Spike.
Dans les conditions actuelles de nos connaissances, nous ne pouvons prendre le risque de constater ultérieurement que des personnes en bonne santé aient à subir des lésions iatrogènes durables au niveau de la vascularisation consécutives à la vaccination, alors que nous les suspections.”
- Lien vers l’appel sur le site de l’IPSE (+ récole de signatures) : cliquer ici.