Les vaccinés sont-ils un danger pour les non-vaccinés ?

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Dans la pluie d’informations, un motif dérangeant se dessine : les autorités ne répercutent que les données publiées par les laboratoires pharmaceutiques, même si ceux-ci ont été condamnés pour de nombreux délits dans le passé récent.

Ainsi, dans l’émission 36°9 (consacrée à la santé sur la Radio télévision suisse) par exemple, le pédiatre-vaccinologue Alessandro Diana invitait à “faire confiance” aux “données de la science” pour affirmer que la “vaccination” devait aussi inclure les enfants.

Pourtant, les firmes impliquées ont toutes de lourds casiers judiciaires pour des délits récents, incluant la falsification des données, la publicité mensongère, la corruption et parfois la mise en danger de la vie d’autrui.
Cela ne devrait-il pas inciter à une certaine prudence ?
En parallèle émergent des mises en garde provenant d’experts et de collectifs crédibles, allant parfois très loin dans l’évocation des dangers encourus avec les “vaccins”, toujours en phase de test clinique.
N’ayant aucune compétence en immunologie, l’équipe de CovidHub estime toutfois important d’ouvrir le débat en incluant certaines de ces voix radicalement opposées au discours officiel, dès lors qu’elles proviennent de sources ayant une autorité médicale et/ou scientifique.
Ici, nous mentionnons à ce titre la note d’information de l’organisation America’s Frontline Doctors (AFLDS), qui s’était déjà engagée pour le traitement précoce du Covid-19.
AFLDS y met en garde en particulier contre la capacité de la protéine Spike à :
1) traverser la “barrière hémato-encéphalique” en provoquant des dommages neurologiques
2) être “excrétées” par les vaccinés, provoquant des maladies chez les enfants et les adultes non vaccinés
3) provoquer des saignements vaginaux irréguliers chez les femmes
En clair, le “vaccin” transformerait les “vaccinés” en machines à fabriquer des protéines Spike ; ils en porteraient des milliards en eux et en répandraient une partie sur leur entourage.
Ces protéines Spike, produites par le “vaccin” à ARNm (Pfizer, Moderna), seraient 20 fois plus susceptibles de traverser la paroi hémato-encéphalique et de s’attacher aux cellules du cerveau que celles du virus naturel, causant inflammations, thromboses et AVC. Les nanoparticules lipidiques qui les entourent pourraient en outre fusionner avec ces mêmes cellules, provoquant des pathologies neuro-dégénératives.
Par ailleurs, les enfants non-vaccinés, contaminés par leurs parents ou d’autres adultes vaccinés, pourraient beaucoup en pâtir et développer des maladies cérébrales sur le long terme, puisqu’ils ont beaucoup plus d’années à vivre, pendant lesquelles les protéines Spike risqueraient de proliférer dans leur organisme.
D’autres troubles résultant du “vaccin” pourraient affecter l’appareil reproductif des vaccinés comme celui des personnes qui sont en contact avec elles : stérilisation, fausses-couches (y compris tardives).

Espérons que tout cela ne se vérifie pas.

Mais refuser d’entendre des contre-arguments est non seulement contraire à la démarche scientifique, mais pourrait bien ici être dangereux.

Nous partageons donc cette référence, tout en soulignant notre inaptitude à en apprécier la validité.

  • Page d’information sur les “vaccins” géniques de America’s Frontline Doctors (en anglais) : cliquer ici.
  • Article « Identifying post-vaccination complications & their causes: an analysis of Covid-19 patient data » (en anglais) : cliquer ici.
  • Entretien (traduit en français) avec le Dr Simone Gold sur France-Soir : cliquer ici.