La nouvelle a fait peu de bruit : depuis début septembre, les ressortissants de l’Etat hébreu, où vaccination massive rime avec explosion des cas, sont indésirables dans ces deux pays.
Ces décisions ont été prises par Stockholm et Lisbonne après que l’Union européenne a rayé Israël d’une liste de nations «épidémiologiquement sûres».
Interrogé par le quotidien The Times of Israël, Nadav Davidovitch, épidémiologiste et professeur à l’Université Ben-Gurion, a indiqué qu’Israël était « un cas étrange » à catégoriser pour les autres gouvernements.
« Nous avons les taux parmi les plus élevés en nombre d’infections et en nombre de vaccinations », note-t-il, ajoutant que c’est cela qui amène les pays à varier leurs évaluations du risque posé par les ressortissants israéliens.
- Article (en français) dans The Times of Israël : cliquer ici