(Covidhub) Nous publions des extraits de la Lettre Santé Sans Filtre, qui fait état des travaux du Dr belge Pascal Sacré sur les manipulations de l’industrie pharmaceutique capable de faire recommander par les autorités toutes sortes de médicaments aux effets potentiellement dangereux. Les éléments complets de cette enquête sont publiés dans la nouvelle revue Santé Libre (à laquelle est également associé notre référent en santé publique Jean-Dominique Michel). Intertitres de notre rédaction.
par Gaspard Frey, de la Lettre Santé Sans Filtre
L’annonce aurait dû faire l’effet d’une bombe… Mais encore une fois, les médias sont passés à côté du problème. Au lieu de s’inquiéter de la pénurie de Doliprane, ils auraient dû dénoncer cette consigne complètement folle, et pourtant assénée durant des mois par les gouvernements :
«Contre le Covid, prenez du Doliprane (ou en Suisse: Dafalgan)»
Car cette injonction pose un ENORME problème : Paracétamol = danger ! On le sait depuis longtemps : le paracétamol provoque des dégâts dévastateurs dans tout votre corps ! Et pas besoin d’une dose excessive pour cela.
Avec seulement la moitié de la posologie recommandée, vous risquez déjà très gros:
Pour votre cœur : une étude de l’université d’Édimbourg parue en février 2022 montre qu’il élèverait significativement la tension artérielle. Pire : prendre du Doliprane c’est augmenter votre risque de faire une crise cardiaque de 63%, surtout si vous êtes une femme. Il empoisonne vos reins (surtout si vous l’associez à l’alcool[1]) et provoque des saignements gastriques fréquents[2] ;
Il diminue aussi vos capacités respiratoires et dégrade vos poumons (chez l’enfant, il augmente le risque de devenir asthmatique[3]).
Il s’attaque même à vos oreilles, surtout si vous êtes une femme… Il fait baisser votre audition : vous prenez le risque de devenir sourde sur le long terme[4]! Au final, aucun organe n’est épargné !
Et c’est précisément ce qui est arrivé à Naomi Musenga.
Naomi Musenga n’avait que 22 ans, et elle s’est tuée en consommant du paracétamol seulement !
Effets parfois irréversible
Et ne vous faites pas avoir par le sous-titre du journal. Même à petite dose, il a des effets catastrophiques sur votre santé. Il impacte votre foie parfois de façon irréversible.
Ça commence par des nausées, puis des vomissements, et enfin des douleurs abdominales insupportables. La transplantation du foie est alors le seul recours. Au final, prendre du paracétamol, c’est mettre votre vie en danger : votre risque de mourir augmente de 23%, même si vous respectez les dosages[5].
Mais dans le cas du Covid, c’est encore pire ! C’est le pavé dans la mare que vient de lancer le Dr Pascal Sacré, médecin anesthésiste et réanimateur belge.
Paracétamol : une cause des 144 000 décès du Covid ?
Comment est-il possible, connaissant les terribles effets secondaires du paracétamol, que tant de gouvernements aient choisi de le recommander à grande échelle?
Si vous avez eu le Covid, vous savez comme on peut avoir mal : au dos, aux articulations, avec des poussées de fièvre qui vous terrassent pendant des jours… Et là, l’envie est forte de se jeter sur une boîte de Doliprane. Sauf que sans le savoir vous avez mis votre santé en danger.
Et ça le Dr Sacré ne le tolère plus. C’est pourquoi il a décidé de prendre tous les risques pour publier une enquête inédite.
Doliprane et Covid: un mélange explosif
– Selon le Dr Sacré, les effets du Doliprane mélangés aux symptômes du Covid ont formé un cocktail explosif dans votre corps. C’est un peu comme si donniez un médicament qui fluidifie le sang à une personne qui saigne. Complètement inconscient, non ? Cet expert vous explique à quel point cette stratégie a été tragique.
– Prendre du paracétamol pour diminuer la fièvre et les douleurs est contre-productif et idiot d’un point de vue scientifique. Ce médecin vous explique pourquoi il est indispensable de laisser faire la fièvre plutôt que de vous ruer sur du paracétamol (surtout si vous avez plus de 60 ans).
– Avant de vous obliger à prendre du paracétamol, les autorités auraient dû vous demander : comment va votre stock de glutathion? Car sans cet antioxydant, impossible de faire face à la toxicité du paracétamol. Et si vous avez plus de 65 ans, votre stock est naturellement dangereusement bas. Pascal Sacré vous dit comment booster votre taux de glutathion quel que soit votre âge.
Et évidemment, parce qu’il est impensable pour lui de vous laisser souffrir, le Dr Sacré vous donne des alternatives au paracétamol. Vous pouvez notamment miser sur un complément alimentaire naturel : le PEA. C’est une substance produite par le corps qui est analgésique et anxiolytique, mais sa production aussi diminue avec l’âge. Il vous dévoile comment la rebooster.
Le Dr Sacré est vent debout contre nos autorités de santé. Pourquoi ? Parce que malgré tous ses effets dangereux, cela n’a absolument pas freiné nos gouvernements qui ont continué à recommander le Doliprane.
La raison ? Votre santé n’est clairement pas au centre de leurs intérêts ! Preuves à l’appui, le Dr Sacré vous démontre que le paracétamol n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Car la même question se pose avec les statines : les valeurs normales du cholestérol ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre. Quelle est la base des prescriptions alors ? Qui a raison ? On est à risque dans un pays mais pas dans un autre ?
Même débat pour les antiépileptiques, les hypotenseurs, les IPPs… et la liste est encore longue.
Pour le Dr Sacré la réponse à cette question est très claire. Les firmes créent des maladies qui n’existent pas ou qui pourraient être traitées différemment… par appât du gain.
Alors pour en finir avec ces prescriptions abusives et inutiles, voire dangereuses, il faut ARRÊTER de traiter les symptômes et enfin s’attaquer aux causes des maladies. Le Dr Sacré vous dévoile COMMENT FAIRE dans son enquête.
Cette dernière contribue à un projet de plus grande envergure. Avec la nouvelle revue Santé Libre, des vrais pionniers de la médecine engagée et indépendante se sont réunis pour faire toute la vérité sur les grandes manipulations à l’œuvre en matière de santé. Car ne croyez pas que le paracétamol est le seul sujet qu’on cherche à vous cacher.
Sources :
[1] Relationship of acetaminophen and alcohol usage to renal dysfunction: An opportunity for health promotion/education in chiropratic. Think Global. Harrison T. Ndetan et all, Novembre 2013
[2] Michael Doherty, Chris Hawkey, Michael Goulder, Iain Gibb, Nicola Hill, Sue Aspley, Sandie Reader. A Randomised Controlled Trial of Ibuprofen, Paracetamol or a Combination Tablet of Ibuprofen/Paracetamol in Community-Derived People with Kneepain. Ann Rheum Dis 2011;70:1534-1541 doi:10.1136/ard.2011.154047
[3] Paracetamol use in pregnancy and infancy linked to child asthma
[4] American Journal of Epidemiology December 14 2016 DOI: 10.1093/aje/kww154 Duration of Analgesic Use and Risk of Hearing Loss in Women
[5] Emmert Roberts, Vanessa Delgado Nunes, Sara Buckner, Susan Latchem, Margaret Constanti, Paul Miller, Michael Doherty, Weiya Zhang, Fraser Birrell, Mark Porcheret, Krysia Dziedzic, Ian Bernstein, Elspeth Wise, Philip G. Conaghan. Paracetamol: Not as Safe as We Thought? A Systematic Literature Review of Observational.Ann Rheum Dis doi:10.1136/annrheumdis-2014-206914