Le film ‘Sûr et Efficace’ démonte la «propagande vaccinale»

Malgré les discours rassurants des autorités, les preuves des effets dévastateurs s’accumulent au Royaume Uni. Témoignages émouvants de victimes. A voir en français sur notre site.

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Voici les point forts du documentaire anglais «Safe and effective, a second opinion», produit par Mark Sharman et réalisé par Oracle Films Production, en association avec News Uncut Media  (55min). Ce film sorti fin septembre 2022, traduit en français par «Sûr et efficace», a atteint à mi-octobre un million de vues (Covidhub)

Ce documentaire a pour caractéristique assez rare de donner la parole à de nombreuses personnes qui souffrent d’effets graves suite à la vaccination Covid, souvent imposée par une forte pression. Elles ne se sentent pas écoutées et reconnues par le système de santé et le gouvernement auxquels elles ont fait confiance.

Le Dr Aseem Malhotra, cardiologue, a été l’un des premiers à recevoir le vaccin Pfizer (deux doses). Il a analysé pendant plusieurs moi les données, et consulté des scientifiques de premier plan d’Oxford, Stanford et Harvard. Il a aussi travaillé avec des journalistes médicaux d’investigation et été en contact avec deux lanceurs d’alerte de Pfizer.

«Stoppons ces injections et analysons ce qui se passe»

Il arrive à cette conclusion: ces injections, qui génèrent des préjudices sans précédent, devraient être arrêtées immédiatement, jusqu’à ce que toutes les données soient analysées de façon indépendante.

De nombreux scientifiques du monde entier ont également demandé l’arrêt de cette vaccination, pour les mêmes raisons.

John Bowe, le présentateur du film, nous éclaire sur un phénomène qui ne plus être ignoré : partout dans le monde des millions d’effets secondaires et milliers de décès sont signalés sur des sites de pharmacovigilance officiels.

Des gouvernements sont accusés de vouloir couvrir ces faits. Les médias en parlent rarement, ou en finissant toujours par dire que la gêne est temporaire et que ces injections n’en demeurent pas moins recommandées.

Nombreux témoignages poignants

Ce documentaire donne la parole à des personnes qui ont déclenché des effets secondaires graves suite à ces injections, alors qu’ils étaient en parfaite santé avant. Leurs témoignages sont bouleversants.

Georgia Siegal, 35 ans, effondrée après la 2ème dose Pfizer, a eu de violentes convulsions dans tout le corps.  Elle ne pouvait que très difficilement marcher, à l’aide d’un déambulateur. Elle en subit encore les conséquences, elle s’évanouit souvent, ses jambes deviennent faibles et lâchent… Elle a fini par être reconnue invalide et a pu améliorer son état grâce à un traitement «goldic». Mais elle n’a pas récupéré la qualité de vie qu’elle avait avant l’injection. Elle souffre toujours de crises d’épilepsie, d’évanouissements, et de problèmes pour marcher.

Alex Mitchell, 57 ans, était un travailleur très actif. Il a eu des caillots sanguins après une injection AstraZeneca. Sa jambe gauche a dû être amputée. Il devient aveugle de l’œil droit, obligé de se déplacer en fauteuil roulant. Il a reçu une indemnité de 120’000 livres Sterling.

Charlotte Wright:  son mari de 32 ans est mort d’un AVC après sa première injection AstraZeneca, alors qu’il allait occuper un nouveau poste comme médecin-chef en psychologie clinique. Le décès a été reconnu comme faisant suite à la vaccination. Cette mère au foyer a reçu une compensation de 120’000 livres.

Dr Craig: «un scandale d’une telle ampleur qu’on ne sait par où commencer»

Analyse des chiffres de pharmacovigilance. En Angleterre au 24 août 2022 430’000 déclarations d’effets indésirables et 2’240 morts répertoriés. Le système américain VAERS compte au 2 septembre 2022 1’400’350 déclarations d’effets indésirables et 30’796 morts ! Tous ne sont pas confirmés comme étant induits par ces injections. Les effets secondaires ne sont pas tous signalés. Il est capital d’investiguer.

Des suicides… et un guide de survie

Caroline Pover, 50 ans, était très active: cheffe d’entreprise, auteure, conférencière. Après une injection AstraZeneca, sa vie a basculé. Pendant cinq longs mois, elle était incapable de faire quoi que ce soit, avec une fatigue chronique, des douleurs constantes à la tête et aux yeux. Elle marchait lentement, ne pouvait plus lire ni écrire. Aujourd’hui elle ne fonctionne qu’à 30 % de ses activités antérieures. Régulièrement, des douleurs à la poitrine l’obligent à s’allonger.

Elle rapporte que dans la communauté de victimes des injections covid, plusieurs personnes se sont suicidées.

Caroline Pover a écrit un livre: Covid Vaccine Adverse Reaction Survival Guide. Elle va un peu mieux grâce à la phlébotomie qu’elle a appris à pratiquer sur elle-même.

La toxicité des agents actifs des vaccins n’a jamais été étudiée

Alexandra Latypova, chercheuse spécialisée dans les essais cliniques, fait partie d’un groupe d’experts qui a examiné les documents de Pfizer. Ce qu’elle affirme est choquant : «La toxicité des agents actifs des vaccins à ARNm n’a jamais été étudiée. Le CDC (Centres de contrôle des maladies aux Etats-Unis), la FDA (Agence de contrôle des aliments et médicaments) et Pfizer ont menti en disant que le contenu des vaccins restait dans le bras».

Selon le Dr Aseem Malhotra, affirmer que ces vaccins auraient sauvé 20 millions de vies est de la science-fiction. Une étude récente du British Médical Journal a montré que 86 % du financement des autorités de régulation (qui autorisent la mise sur le marché des vaccins) est assuré par l’industrie pharmaceutique, c’est un énorme conflit d’intérêts.

Les médecins permettent-ils un consentement éclairé?

Dr Clare Craig : «Ce qui s’est passé avec le consentement éclairé est très préoccupant. Le plus inquiétant pouer moi, c’est que les médecins ne se sont pas informés. Beaucoup l’ont fait seulement via la BBC ou à la pause déjeuner. Ils ont accepté sans remise en question parce qu’il s’agissait de «vaccins» présentés comme sûrs et efficaces. C’était un véritable manquement au devoir».

Pourquoi le gouvernement a continué à recommander ces injections alors que les scientifiques affirmaient que celles-ci n’empêchaient pas l’infection et la transmission? Alors que selon les statistiques, la majorité de la population n’était pas à risque de contracter une maladie grave ?

Dr Jones, pédiatre ayant toujours été pro-vaccins, affirme que les enfants sont à faible risque, ils n’ont pas besoin de ces injections covid-19 dont les méfaits sont réels.

Abandonnés, trahis

Pour ceux qui souffrent d’effets graves, la douleur physique est aggravée par la frustration et le stress mental d’être ignorés. Ils se sentent abandonnés par les autorités sanitaires, incompris du public, trahis par leur gouvernement.

John Watt, 36 ans, très sportif, faisait de la musculation. Il allait se marier. Sa vie a basculé après le booster de Pfizer. Il avait un antécédent d’AVC mais était en bonne santé. La 3ème dose l’a rendu handicapé. Il a cru mourir, son corps tremblait et sursautait. Il a été très malade pendant 6 semaines: crampes au coeur, brouillard cérébral, convulsions, vomissements, ralentissement général, bégaiement… Son corps ne régule plus sa température. Il souffre du Syndrome de tachycardie orthostatique posturale, une marche de vingt mètres fait monter son rythme cardiaque en flèche. Il ne peut rester debout que trois à cinq minutes, sinon il s’évanouit. Ce sont ses parents qui financent ses traitements, ils ont dépensé des milliers de dollars et sont prêts à hypothéquer leur maison pour l’aider. Toujours cloué au lit, il cherche encore des traitements concluants.

Maxwell Harrison, 22 ans, danseur, il rêvait de devenir professionnel, se préparait avec sa partenaire pour des championnats internationaux. Après sa seconde injection Pfizer, il a pensé qu’il allait mourir, il avait si mal au coeur qu’il ne pouvait plus respirer. Résultat : miné par la péricardite et la myocardite, il ne peut plus pratiquer sa passion.

Geneviève Florence, 24 ans, était dans une équipe olympique de natation synchronisée. Elle s’entraînait 6 jours par semaine, 10 heures par jour. Son employeur lui a demandé d’être doublement vaccinée pour travailler dans des films. Elle l’a immédiatement regretté. Souffrant de terribles maux de tête, elle ne pouvait plus se lever ni se faire à manger. L’expérience la plus traumatisante pour elle: s’entendre dire que sa souffrance était psychologique et non physique.

Une fortume dépensée pour trouver des traitements

Ces victimes des vaccins covid ont dépensé beaucoup d’argent à la recherche de traitements. Geneviève a retrouvé 70 % de ses capacités grâce à l’oxygénothérapie qui lui permet d’atténuer ses migraines régulières.

L’analyse des données après le début de la campagne vaccinale montre, en Angleterre et Pays de Galles, dècés toutes causes chez les 19-44 ans, une augmentation significative en 2021. Les hommes jeunes développent couramment des myocardites soit inflammation du coeur. On note une explosion de cas aux Etats-Unis en particulier de 18 à 24 ans.

Tous ces sportifs qui s’effondrent… pourquoi?

Matt Le Tissier, footballeur anglais: «C’est tout simplement incroyable le nombre de personnes, pas juste des footballeurs, tous les sportifs en général, des joueurs de tennis, basket, combien se sont effondrés ? A un moment donné, il faut bien dire que ce n’est pas normal. Il faut lancer une investigation sérieuse pour comprendre si cela vient du covid ou de la vaccination».

Nous devons savoir pourquoi plus de gens meurent en 2022, que lors des années précédentes, comme l’a confirmé le bureau national des statistiques anglais. Les décès ont augmenté de 11.7 % chez les jeunes de 10 à 14 ans et de près de 15 % dans le groupe d’âge de 55 à 59 ans.

Mais les incitations à se vacciner continuent

Le journal Daily Telegraph rapporte que les décès générés par le confinement seraient plus importants que ceux liés au covid.

Au vu de tant d’effets indésirables graves et de morts, comment se fait-il que le gouvernement anglais (entre autres) recommande encore ces injections ?

En avril 2022, le système de santé public au Royaume Uni a déployé les vaccins pour les enfants de 5 à 11 ans et leur a envoyé une lettre avec des smileys (sourires) et graines de tournesol pour « apporter de la joie et du soleil dans leur vie » avec juste en dessous le message incitant à la vaccination anti-covid « pour leur donner la meilleure protection ».

Un tournant dans la politique?

Matt Hancock, secrétaire d’Etat à la santé de 2018 à 2021 : «La probabilité que les enfants aient un préjudice important ou le covid, est très faible, il s’agit donc d’un vaccin pour adultes». Néanmoins l’été 2022, le NHS (système de santé publique britannique), a ajouté l’injection covid-19 au calendrier vaccinal régulier des enfants de 5 à 15 ans, même si le gouvernement ne recommande pas Pfizer pour les moins de 12 ans et AstraZeneca pour les moins de 40 ans.

Une décision qui a incité 78 médecins, professeurs et analystes à écrire à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé anglaise MHRA : « Nous contestons fortement l’ajout de la vaccination covid-19 dans le programme de vaccination systématique des enfants, malgré l’absence de preuve clinique de son efficacité, les risques connus et inconnus, et le fait que ces vaccins n’ont encore qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle ».

Pourquoi une seule version de l’histoire?

Les recommandations du gouvernement ont changé depuis le 1er septembre 2022. Les enfants dès 5 ans ne peuvent recevoir une ou deux doses de vaccin covid que s’ils sont à haut risque en raison d’un problème de santé ou vivent avec une personne dont le système immunitaire est affaibli. Les enfants de 12 à 15 ans ne peuvent recevoir le booster que s’ils sont également à haut risque.

Si ces vaccins sont sûrs et efficaces, pourquoi sont-ils maintenant limités ?

Comment et pourquoi les médias grand public ne vous ont raconté qu’une version de l’histoire, et comment le gouvernement a utilisé des techniques psychologiques pour pousser la nation à se conformer ?

Des associations de soutien

L’organisation caritative de John Bowe a créé un centre d’appels pour soutenir les victimes des vaccins.

Charlet Crichton, fondatrice de ukcvfamily.org : « Nous voulons nous soutenir les uns les autres, parce que nous n’avons personne d’autre avec qui parler ».

Caroline Pover : « Les médecins ne savent pas quoi faire de nous. Personne d’autre ne sait vraiment quoi faire alors on essaie juste de s’entraider ». Caroline continue à se mobiliser pour l’aide et la reconnaissance des victimes des injections covid-19.

Les victimes se sentent très seules

Charlet Crichton rapporte qu’une fois par semaine, il lui est rapporté qu’une personne est suicidaire. Des gens disent qu’ils veulent en finir. Ces groupes de soutien permettent de maintenir les gens en vie. Les victimes des injections anti-covid sont coincées entre les pro et anti-vax, ils se sentent très seuls.

Le sort des personnes affectées par ces injections sera à l’ordre du jour lorsque la juge Heather Hallett mènera enfin une investigation sur la question. Elle doit également enquêter sur le groupe scientifique consultatif du gouvernement SAGE et en particulier sur leur «unité nudge» autrement connue sous le nom de Spy B (espion B). Pourquoi ont-ils conduit une telle culture de la peur ?

Créer la peur pour pousser au vaccin

Dr Christian Buckland, psychothérapeute, rapporte que des techniques psychologiques contraires à l’éthique ont été employées ces deux dernières années comme l’utilisation de la peur pour encourager le changement de comportement.

Le confinement a été la mesure la plus stricte mise en œuvre en temps de paix, avec des dommages indicibles aux entreprises, à l’éducation, à la santé mentale et vie de famille.

Dans cette atmosphère pesante, alourdie par la déclaration répétée des nombres de morts du covid, aujourd’hui reconnus comme ayant été exagérés selon des experts, la vaccination a été promue comme la seule issue possible. Même une star comme Elton John en a vanté les mérites : «Il est vraiment important de savoir que les vaccins ont tous satisfait aux normes de sécurité et de qualité en vigueur»…

Lorsque 9 millions d’adultes au Royaume Uni ont choisi de ne pas se faire vacciner, l’incitation s’est transformée en menace : « pas de vaccin, pas de travail », pass sanitaire. La diffamation des « anti-vax » a atteint des sommets.

«Pas discuter avec les anti-vax…même s’ils ont peut-être raison»

Des dizaines de milliers de personnes ne se sont pas pliées à la vaccination de masse. Elles ont exigé la liberté de choix, et accusé les médias de relayer la propagande du gouvernement. Une journaliste de la BBC a affirmé refuser de débattre avec les anti-vax, même lorsqu’ils ont peut-être raison.

Les médias n’ont pas relayé les grandes manifestations citoyennes qui ont eu lieu à Londres et ailleurs en Angleterre. Ils accusent les récalcitrants d’être de « dangereux anti-vax ». Le gouvernement anglais a dépensé environ un demi-milliard de fonds publics pour la publicité qui fait la promotion de la vaccination covid-19 dans les médias.

Gouvernement, géants d’internet et médias construisent un script commun

Puis il y a eu « trusted news initiative » (l’initiative d’information de confiance) qui est, selon la BBC, une collaboration entre grands médias, géants du numérique et des réseaux sociaux, travaillant ensemble pour arrêter «la propagation de la désinformation». Les partenaires incluent la BBC, Facebook, Google, YouTube, Twitter, Microsoft.

Cela signifie que les gouvernements, les médias, et les big Tech travaillent à un script commun, leur version de la vérité. Nous avons demandé à la BBC ce qui était arrivé à la liberté d’expression, au compte-rendu équilibré des faits et à l’impartialité, ils n’ont pas voulu commenter…

Mêmes les victimes sont accusées de désinformation

Quiconque remet en question le narratif officiel est généralement calomnié, censuré ou étiqueté comme un diffuseur de désinformation sur les réseaux sociaux, y compris d’éminents scientifiques, médecins et, comble du scandale, les personnes victimes de ces vaccins covid.

Des groupes de victimes de ces injections ont été supprimés sur facebook. Il leur a été dit que leur histoire était de la désinformation, qu’elles étaient anti-vax, anti-science, qu’elles tuaient des gens qui ne se feront pas vacciner s’ils entendent leur histoire, etc.

Nous devons connaître la vérité

Une science objective doit aboutir à une conclusion solide, nous devons connaître la vérité. Entre le 1er janvier et le 31 mai 2022, 15’113 personnes sont mortes avec le covid-19 en Angleterre. 90 % d’entre elles avaient reçu au moins une injection. Source : ONS (Office of National Statistics).

En 2021, Pfizer a doublé son chiffre d’affaires annuel pour atteindre 81 milliards de dollars, qui va sans doute dépasser la barre des 100 milliards de dollars cette année 2022.

Un article publié aux Etats-Unis a révélé que pour chaque personne qui éviterait une hospitalisation, 98 jeunes pourraient être affectés par l’injection Covid-19. L’auteur principal est le directeur du centre médical universitaire de Harvard pour les soins de santé.

Aux Etats-Unis, un juge a statué que la Maison Blanche doit rendre publique toute correspondance relative à l’entreprise de censure massive des Big Tech. Les plaignants allèguent que les autorités fédérales ont été en contact avec les réseaux sociaux, en lien avec la désinformation et censure de la libre expression sur ces plateformes.

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