Publié le 22.5.2021 par le docteur Nicole Délépine d’après l’analyse de la journaliste Celeste Mc.Govern qui a enquêté sur les tactiques psychologiques utilisées pour la désinformation mondiale et la propagande.
Quelle folie pousse tant de gens apparemment censés à se ruer vers des pseudo vaccins expérimentaux, aux effets — à court et surtout à long terme — inconnus pour une maladie en voie de disparition et qui surtout tue peu en dehors des personnes très âgées ayant déjà dépassé l’espérance de vie moyenne ?
La manipulation s’accentue avec le délaissement des vaccins (5 millions de personnes aux USA qui ont reçu la première dose ne veulent pas de la seconde) et un stock excédentaire de vaccins s’accumule partout dans le pays. La peur du vaccin dépasse désormais la peur du virus, la majorité des personnes atteintes récemment du covid-19 avaient déjà été vaccinées.
L’Observatoire de la demande de vaccinations a été créé avec un groupe appelé “projets de bien public” (PGP) qui “conçoit et met en œuvre des programmes de changement de comportement à grande échelle pour le bien public”, en association avec l’UNICEF — qui a reçu 86,6 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates depuis 2020 — et l’Institut Yale pour la santé mondiale, subventionné aussi par Gates.
PGP (public good projects) a été fondée par Joe Smyser, universitaire en santé publique ayant suivi une formation au Center for Disease Control et associé à Google et Facebook. Des membres du conseil d’administration comprennent des dirigeants de Merck Pharmaceuticals, Pepsi, Lévi-Strauss, le Advertising Council, Sesame Street, Campbell’s et TikTok. »
En 2020, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a créé un nouveau domaine de santé publique appelé « infodémiologie » — la « science de la gestion de l’infodémocratie » afin de mener une « surveillance de la santé publique contre la désinformation » et de fournir un soutien communautaire dans les « flambées de désinformation ».
Une énorme « association » de multinationales (BIO, RCAID, Zignal Labs, FHI..) organisée pour manipuler nos cerveaux à travers une ingénierie sociale très élaborée, utilise « la psychologie sociale, l’anthropologie, l’économie comportementale, le marketing social et d’autres sciences comportementales » pour effectuer des changements de comportement chez les populations. Les promoteurs des vaccins se comportent comme s’ils vendaient du Coca Cola ou du MacDo.
Une prise de position sans ambiguïté mais qui soulève des questions redoutables et essentielles, de la part d’une défenseure inlassable d’une médecine éthique et centrée sur la personne.
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