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La nuit n’est jamais aussi noire… que juste avant l’aube

par Xavier Bazin, journaliste scientifique, auteur de «Big Pharma démasqué».

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En ce début d’année 2022, il y a des ténèbres, mais aussi de la lumière au bout du tunnel. Commençons par ce qui est sombre. Mais lisez bien jusqu’au bout pour ne pas déprimer.

D’abord, la preuve a été faite que la propagande est de retour et qu’elle fonctionne. Même en démocratie. Même avec des médias censés être « libres et pluralistes ». Il suffit que les chaînes de télévision, les radios et les journaux « classiques » ne diffusent qu’un seul discours. Qu’ils interdisent de parole toute opinion dissidente. Et qu’ils ne cessent de relayer la même propagande, 24h sur 24.

Un exemple parmi cent, il y a quelques jours, sur LCI (groupe TF1). La présentatrice annonce que l’Agence européenne du Médicament a autorisé l’injection de la 3ème dose 3 mois seulement après la 2ème (c’était 5 mois auparavant). C’est une « excellente nouvelle », ajoute-t-elle… sans la moindre ironie ! Ce n’est pourtant pas son rôle d’applaudir ce genre d’avis de l’Agence européenne du médicament[1].

Et cela n’a absolument rien d’une bonne nouvelle (à part pour Big Pharma). Car cela veut dire que les vaccinés entrent dans une spirale de piqûres sans fin ! Les cobayes vaccinés seront soumis à ces injections expérimentales 2 à 4 fois par an, probablement jusqu’à la fin de leur vie. Une région d’Allemagne a même déclaré qu’on pouvait prendre la 3ème dose après… 4 semaines[2]. C’est très inquiétant, surtout quand on sait que les effets indésirables de ces vaccins sont d’autant plus graves que les doses sont rapprochées entre elles[3].

Mais si les médias classiques sont unanimes dans la « coronafolie », au moins ont-ils l’excuse de l’ignorance (crasse). Il est facile de les rouler dans la farine en leur faisant croire à un «consensus scientifique». Mais que dire, alors de ceux qui produisent ce faux consensus ?

Les institutions médicales ? Pires que les médias !

La plupart des grandes institutions médicales et scientifiques ont été en dessous de tout.

Pensez au Conseil Scientifique, qui n’a pas arrêté de nous terroriser avec des prévisions apocalyptiques… toujours démenties par les faits – souvenez-vous du fameux « 400 000 morts si nous ne faisons rien », déclaré par Emmanuel Macron à l’automne 2020.

En réalité, la Suède qui n’a « rien fait » (ni confiné, ni imposé de masques) a eu moins de morts, rapportés à sa population, que la France.

Pensez à l’Institut Pasteur, qui n’a cessé de publier des études bidonnées, comme celle qui a justifié le pass » sanitaire : « les non-vaccinés sont 12 fois plus contaminants que les vaccinés », avait-il conclu, au mépris de la réalité. C’était totalement faux à l’époque, et c’est encore plus risible maintenant : avec Omicron, les vaccinés sont plus souvent infectés que les non-vaccinés !

Au niveau international, ce n’est pas mieux qu’en France. Début 2021, le chercheur Andrew Hill, affilié à l’Organisation Mondiale de la Santé, s’apprêtait à recommander officiellement l’ivermectine, sur la foi de nombreuses études favorables… et en a été empêché par son sponsor, Unitaid, un organisme international de santé publique, qui l’a forcé à modifier ses conclusions ! «Je suis dans une position délicate. C’est un lobby très puissant», avait-il avoué, dans une conversation privée avec une scientifique qui lui reprochait d’avoir cédé aux pressions[4].

Quant aux grandes revues médicales, ce n’est pas plus brillant. Tout le monde se souvient de l’étude publiée dans The Lancet, un des plus prestigieux journaux scientifiques au monde, qui concluait faussement à la dangerosité de l’hydroxychloroquine… sur la base de chiffres fabriqués de toutes pièces !

Les scientifiques éclairés ont été censurés

Mais ce n’est que la face émergée d’un iceberg de manipulation de la science. Les grandes revues médicales n’ont pas arrêté de publier des études biaisées, favorables à Big Pharma[5]… et de censurer les études favorables aux traitements précoces ou critiques vis-à-vis des vaccins anti-covid[6]. Bref, la communauté médicale dans son ensemble est corrompue, directement ou indirectement, financièrement ou intellectuellement.

Certes, il y a quelques phares institutionnels dans la nuit, fort heureusement. Comme l’IHU du Pr Raoult à Marseille, ou l’épidémiologiste en chef de la Suède, le Dr Tegnell, qui a refusé la politique catastrophique des confinements.

Mais ils sont peu nombreux, car il est coûteux, très coûteux de dire la vérité. Regardez ce qu’a subi le Pr Raoult : il a été démis de son poste de praticien hospitalier, blâmé par l’Ordre des Médecins, et traîné dans la boue par les médias.  Résultats : tous les médecins et scientifiques de bonne foi se disent : « s’ils infligent ce traitement au meilleur d’entre nous, comment me traiteront-ils si j’ose dire la vérité moi aussi »? Et c’est ainsi que la plupart des médecins et scientifiques éclairés se taisent. Ils baissent les yeux face à l’accumulation de scandales dignes d’une entreprise criminelle.

Les avez-vous entendus se dresser contre le dernier scandale, concernant l’Institut Pasteur de Lille ? Ce centre de recherches a eu le mérite de découvrir très vite qu’un médicament ancien (et banal) était extrêmement efficace in vitro contre le Covid-19… mais il a été obligé d’abandonner les recherches[7], car le ministère de la Santé d’Olivier Véran lui a mis trop de bâtons dans les roues.

On ne peut pourtant pas dire qu’Olivier Véran soit « anti-traitement », car c’est bien lui qui a :

  • accueilli à bras ouverts le remdésivir de Gilead à 2 000 euros – très vite reconnu comme inefficace et toxique),
  • applaudi à tout rompre le bamlanivimab du laboratoire Eli Lilly à 1 000 euros[8] – très vite abandonné ;
  • et commandé encore récemment 50 000 doses du Molnupiravir à 700 euros de Merck – récemment reconnu comme inefficace et toxique lui aussi !

Tous ces traitements étaient hors de prix et promus par des grands laboratoires ! À l’inverse, Olivier Véran s’est opposé aux traitements efficaces, sans danger et pas chers. Olivier Véran a interdit aux médecins de prescrire l’hydroxychloroquine, n’a jamais dit un mot de l’ivermectine ou de la vitamine D… et a donc réussi à tuer dans l’œuf le traitement découvert par l’Institut Pasteur de Lille.

Dans un pays normal, Olivier Véran devrait être immédiatement traduit devant la Cour de Justice de la République.

Mais la Justice, elle aussi, est défaillante dans cette affaire.

Ce qui s’est passé sur le fameux « pass sanitaire » est exemplaire. Notre Justice s’est couchée devant l’absurde, l’irrationnel et l’injuste. Cet été, le Conseil d’État avait validé le « pass sanitaire » à une condition. Que ce pass soit destiné à limiter les contaminations, là où il est mis en place. Pas question, a dit le Conseil d’État, que ce pass soit destiné à « inciter à la vaccination »[9].

Mais depuis, il est devenu évident que le pass sanitaire ne limitait en rien les infections. Le Président du Conseil scientifique, le Pr Delfraissy, l’a reconnu lui-même, lors d’une audition devant le Sénat le 8 décembre dernier : «Est-ce que le pass protège réellement ? Vous avez la réponse. La réponse est non[10]

Il n’a fait que confirmer ce que tout le monde a pu observer de ses yeux. La France a connu à l’automne une énorme vague de cas malgré le pass sanitaire… et malgré une couverture vaccinale de plus de 85 % chez les adultes. La preuve était faite que le vaccin et le pass sanitaire ne freinent en rien l’épidémie.

En décidant de fermer les discothèques, pourtant déjà soumises au pass sanitaire, le gouvernement a reconnu implicitement que le pass n’empêchait pas la circulation du virus. Alors, pour justifier son maintien, le gouvernement a avoué que son objectif était surtout… d’inciter à la vaccination. Le Premier ministre Jean Castex l’a dit explicitement, le 6 décembre : « Le pass sanitaire est un outil d’incitation à la vaccination »[11]. On ne peut pas faire un aveu plus tonitruant !

Le Conseil d’État, selon sa propre logique, aurait donc dû immédiatement censurer le pass sanitaire. Eh bien non. Le 15 décembre, le Conseil d’État a validé sa prolongation du pass sanitaire, en refusant de reconnaître qu’il ne sert qu’à inciter à la vaccination[12]. Puis, dans son avis du 27 décembre sur le projet scandaleux de « pass vaccinal », il admet finalement que l’objectif d’incitation à la vaccination est acceptable !

Bref, la Justice s’est soumise à la « coronafolie », elle aussi.

Comme d’ailleurs à peu près tous les autres corps intermédiaires :

  • L’Église catholique n’a pas dit un mot contre les confinements, le pass sanitaire ou les obligations vaccinales…
  • Les syndicats comme la CGT, connus jusqu’alors pour leur défense intraitable des salariés, n’ont pas levé le petit doigt pour défendre les soignants suspendus sans salaire ou licenciés comme des malpropres, simplement parce qu’ils refusaient la vaccination ;
  • Quant aux partis politiques d’opposition, ils ont à peine fait entendre leur voix, sauf à demander, comme Valérie Pécresse ou le parti socialiste, d’aller encore plus loin dans les restrictions visant les non-vaccinés !

Bref, toutes nos « institutions », ou presque, ont failli dans cette crise. Mais ce n’est pas un motif de désespoir. Au contraire.

Covid: un extraordinaire RÉVÉLATEUR… qui réveille toujours plus de monde

Car ces institutions étaient déjà défaillantes… et beaucoup d’entre nous l’ignoraient ! En fait, le Covid est l’occasion d’ouvrir les yeux sur la réalité. Ce n’est pas pour rien que j’ai intitulé mon livre Big Pharma démasqué : la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.

Cela fait des années que je connais l’influence tentaculaire de Big Pharma, et sa mainmise délétère sur notre système de santé. Le Pr Even avait tout dit, dans son livre Corruption et crédulité en médecine, publié en 1995 : « par inconscience, naïveté, suivisme, paresse et pour certains, corruption, les médecins sont les premiers responsables des dérives et scandales concernant les médicaments ». Le grand médecin Peter Götzsche, co-fondateur de la fondation Cochrane, avait parfaitement décrit le problème dans son livre intitulé Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé.

Mais qui avait lu ces livres ? Qui était au courant ? Très peu de monde… jusqu’à la crise du Covid, qui a tout changé ! Chaque jour qui passe, le nombre de gens qui ouvrent les yeux ne cesse d’augmenter.

  • Au départ, il y a eu ceux qui n’ont pas compris pourquoi on a diabolisé un traitement aussi inoffensif et prometteur que l’hydroxychloroquine du Pr Raoult ;
  • Puis, se sont ajoutés ceux qui ont trouvé étrange la stratégie du « tout vaccinal », alors qu’on n’avait aucun recul sur ces vaccins, leur efficacité réelle et leur effets indésirables ;
  • Puis, parmi ceux qui étaient favorables à deux doses pour tous, certains se sont demandé si la 3ème dose pour tous était bien raisonnable, vu les effets indésirables graves ;
  • Ensuite, beaucoup de pro-vax, défavorables à la vaccination des enfants de 5 à 11 ans, ne comprennent pas la pression politique et médiatique pour les vacciner à tout prix.

Bref, à chaque nouvelle étape, encore plus absurde que la précédente, de nouvelles personnes se réveillent et comprennent que notre système ne tourne pas rond ! Et cela va continuer, avec les exigences folles à venir : 4ème dose, vaccination des bébés, obligation vaccinale pour tous et privations de plus en plus sévères pour les non-vaccinés. Il sera de plus en plus difficile de rester aveugle, car pendant ce temps, les vaccins sont en échec total pour juguler l’épidémie (ce qui était prévisible depuis le début puisque les coronavirus ne cessent de muter).

Bref, beaucoup de gens réalisent que ce qui se passe n’a rien de « logique » ni de « sanitaire ». Beaucoup comprennent que la crise du Covid et l’absurdité apparente de la réponse sanitaire n’ont rien à voir avec la santé. J’ai moi-même fini par comprendre une chose fondamentale : ce qui se trame, en coulisse, ce n’est pas seulement une affaire d’argent pour Big Pharma…

…c’est aussi et surtout un assaut contre nos libertés démocratiques :

Il était temps d’ouvrir les yeux : la société de surveillance arrive

Cette crise nous dévoile de manière éclatante la volonté de certaines élites de mettre fin à la démocratie libérale au profit d’une technocratie de surveillance. Avant même la pandémie, le Britannique Boris Johnson avait averti le monde, à la tribune des Nations Unies, des risques de dérive liés au progrès technologiques :

« Vous pouvez garder des secrets vis-à-vis de vos amis, de vos parents, vos enfants, votre médecin mais il faut de réels efforts pour cacher votre pensée à Google. Et si cela est vrai aujourd’hui, demain il n’y aura peut-être nulle part où se cacher. (…) Les villes intelligentes vont pulluler de capteurs reliés entre eux, votre matelas surveillera vos cauchemars, votre frigo émettra un bip pour plus de fromage (…). Mais cette technologie pourrait être aussi utilisée pour garder chaque citoyen sous surveillance 24h sur 24. »

C’est pour cela que la pandémie est une chance : car le risque de la société de surveillance paraît beaucoup plus évident, là où un processus plus lent nous aurait peut-être trompé… comme la grenouille qui se laisse cuire dans l’eau qui bout progressivement.

Saviez-vous, par exemple, que l’Union européenne avait planifié la mise en place de « passeports vaccinaux » dès 2019, avant la crise du Covid ? Cela n’avait aucun intérêt sanitaire, mais beaucoup d’intérêt pour contrôler les allées et venues. Car la vaccination est un formidable cheval de Troie de la société de surveillance : sous prétexte de santé publique, on suit les gens à la trace, et on les habitue au QR code.

L’étape suivante, rêvée par des technocrates mondialistes comme Tony Blair[13], c’est l’identité numérique[14]. Plutôt que de vérifier votre carte d’identité, on scannera votre QR code. C’est une merveilleuse façon de savoir où vous êtes, en permanence.

Déjà, dans certains pays, on vous demande le QR code de votre pass sanitaire pour faire le plein d’essence. Bientôt, ce QR code pourrait vous être demandé partout où vous passez ! En plus de l’identité numérique, vous aurez aussi une monnaie numérique, déjà planifiée par la Banque centrale européenne.

L’intérêt en termes de surveillance est énorme : toutes vos transactions seront suivies, enregistrées, monitorées. « L’Etat aura une vision en temps réel d’absolument tout ce qu’on fait avec cet argent. C’est une incursion de l’Etat dans les finances personnelles des gens encore plus profonde, avec des prélèvements directs et surtout une disparition progressive de l’argent liquide », expliquait la spécialiste Sajida Zouarhi interviewée par le journal 20 Minutes[15].

Des outils dangereux que les Etats seront trop tentés de les utiliser

Rien de ce que vous ferez, rien de ce que vous consommez, rien de ce que vous lisez n’échappera à la connaissance de l’État. Et bien sûr, l’État sera tenté d’en faire usage pour vous discipliner.

Avec l’euro numérique, la Banque centrale pourra par exemple désactiver votre carte bancaire si vous n’avez pas téléchargé l’application « StopCovid »[16].

Cela commencera par le « sanitaire », puis on continuera avec « l’écologique ». Ainsi, une entreprise suédoise a anticipé l’avenir, en créant une carte bancaire qui se bloque dès que vos dépenses dépassent votre « quota carbone »[17].

Peut-être trouvez-vous cela réjouissant, s’il s’agit de « sauver la planète ». Mais l’enfer est pavé des bonnes intentions, et quand on voit ce qu’ils font avec le pass sanitaire, il serait fou de faire confiance aux gouvernements pour utiliser « correctement » des outils aussi dangereux.

Le but ultime, pour certains, c’est le système chinois du « crédit social ». Vous gagnez des bons points quand vous pensez de la bonne manière, vous consommez de la bonne manière, vous agissez de la bonne manière. Vous en perdez quand vous ne vous comportez pas comme l’État le veut. Et en fonction de votre nombre de points, vous avez plus ou moins de droits, notamment celui de voyager. Le vaccin pour entrer au restaurant, pour prendre le train et l’avion, n’est que la première étape. Tout cela est fait pour nous habituer à une société de surveillance et de discipline.

Encore une fois, cela n’a rien de complotiste. Cela fait longtemps que les « penseurs » de la technocratie mondiale savent que les épidémies sont le moment idéal pour faire avancer leur projet. Écoutez ce que disait Jacques Attali en 2009, dans une tribune intitulée «Avancer par la peur» : «La pandémie qui commence (NDLR : H1N1 à l’époque) pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. (…) On devra mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial ».

Le problème du « gouvernement mondial » est que c’est un rêve de technocrates, anti-démocratique. On voit bien que nos démocraties s’enracinent dans des peuples, et donc des nations. Ceux qui rêvent de gouvernement mondial sont généralement ceux qui pensent que les « gens ordinaires » sont trop stupides pour prendre des décisions éclairées, et qu’il vaut mieux confier les décisions importantes aux « experts ».

Cela peut paraître séduisant, mais quand on voit le niveau de nos « experts » dans cette pandémie, on voit où cela risque de nous mener. Pensez aux experts des plateaux télé qui n’ont cessé de vouloir nous enfermer, nous vacciner de force, tout en nous empêchant de nous soigner !

Et si c’était une CHANCE?

Et c’est pour ça, je le redis, que cette affaire de Covid est une chance. Le cauchemar que je viens de vous décrire était déjà en cours de réalisation, avant la pandémie. Mais beaucoup – moi le premier – n’en avaient absolument pas conscience.

C’est l’absurdité sanitaire qui a fini par me le faire réaliser. J’ai fini par comprendre que Big Pharma ne pouvait pas être la seule force à l’œuvre dans cette hystérie collective. Et nous sommes de plus en plus nombreux à ouvrir les yeux. C’est une chance, car un homme averti en vaut deux. Il ne tient qu’à nous, désormais, de tout faire pour empêcher l’avènement d’une société totalitaire digne de « 1984 », avec des technologies d’une puissance que George Orwell lui-même ne pouvait pas imaginer.

Le Dr Louis Fouché a tout dit dans le titre de son excellent livre :«Tous résistants dans l’âme – Éclairons le monde de demain !».

Voilà ce que je vous souhaite pour cette nouvelle année.

Bonne santé, et Bonne Année à tous, mes chers amis !

Sources

[1] https://twitter.com/xavier76100/status/1469253973731336193?s=11

[2] https://www.rtl.de/cms/booster-impfung-schon-nach-4-wochen-nrw-fuehrt-neue-corona-regeln-ein-4883196.html

[3] Dans cette étude, le risque de myocardite est atténué lorsque la deuxième dose est retardée de 8 semaines https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.02.21267156v1

[4] https://www.thedesertreview.com/opinion/columnists/ivermectin-and-the-price-of-life/article_3e1a2e14-5c70-11ec-b6f4-2b146e98a0b5.html

[5] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/Quousque-tandem-abutere.pdf

[6] https://www.the-scientist.com/news-opinion/frontiers-removes-controversial-ivermectin-paper-pre-publication-68505, https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/693/htm

[7] https://la1ere.francetvinfo.fr/l-institut-pasteur-de-lille-arrete-les-tests-de-son-medicament-contre-le-covid-19-faute-de-volontaires-dans-les-antilles-1177510.html

[8] https://www.liberation.fr/societe/sante/covid-19-bamlanivimab-un-traitement-qui-enthousiasme-veran-mais-divise-les-experts-20210302_WYKN5UMHEBBERBTLFGIBBKDRX4/?redirected=1&redirected=1

[9] https://www.conseil-etat.fr/ressources/avis-aux-pouvoirs-publics/derniers-avis-publies/avis-sur-un-projet-de-loi-relatif-a-la-gestion-de-la-crise-sanitaire

[10] https://www.liberation.fr/checknews/jean-francois-delfraissy-a-t-il-dit-que-le-pass-sanitaire-ne-protege-pas-20211209_R7DTOX4XPVBJRPBNIFX42ZLDWQ/

[11] https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-un-conseil-de-defense-sanitaire-ce-lundi-matin-face-au-defi-de-la-5e-vague-20211206

[12] https://www.francesoir.fr/politique-france/le-conseil-detat-rejette-le-recours-mesures-sanitaires

[13] https://www.thalesgroup.com/fr/europe/france/dis/gouvernement/identite/identite-numerique

[14] https://www.bbc.com/news/uk-politics-54010432

[15] https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/3176007-20211119-monnaie-numerique-etat-pouvoir-vision-temps-reel-tout-fait-argent

[16] https://fr.sputniknews.com/20210618/euro-numerique-vous-naurez-plus-un-euro-sans-que-la-bce-ne-sache-dou-il-vient-et-lusage-que-vous-en-1045750109.html

[17] https://www.weforum.org/agenda/2019/05/this-credit-card-has-a-carbon-emission-spending-limit/