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La fabrique d’une pandémie: l’art de faire mentir les chiffres

Le statisticien Pierre Chaillot explique la mécanique du comptage qui a entretenu la peur et fait croire à l'efficacité du vaccin anti-Covid. Un déchiffrage saisissant.

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par Pierre Chaillot, statisticien, chercheur, auteur de la chaîne Décoder l’éco

L’objectif de cette présentation est de comprendre la mécanique mise en place depuis le début de l’année 2020 pour créer et entretenir la peur d’un virus, mais également faire croire à l’efficacité des vaccins censés protéger contre ce dernier. Cette mécanique est d’ordre bureaucratique. Des règles ont été édictées très tôt de façon à maîtriser les comptages et mettre tous les projecteurs sur le fameux Covid-19. La nouveauté de ce siècle est qu’il n’y a même plus besoin d’avoir des symptômes pour être déclaré malade, et même plus besoin de malades pour déclarer une pandémie.

Bilan de deux ans de pandémie

Pas d’hécatombe. Pas d’hôpitaux engorgés par le Covid. Pas de vague de malades

La quasi-totalité des pays se sont émus de l’augmentation du nombre de décès pendant l’année 2020 par rapport aux années précédentes. L’augmentation a partout été montrée comme la preuve de l’hécatombe Covid-19. Ici on observe le nombre de décès annuels français disponible sur Eurostat.

Cependant, la France comme tous les pays d’Europe est vieillissante, comme en témoigne l’évolution de sa pyramide des âges entre 2000 et 2020. Les baby-boomers arrivent dans les âges où l’on décède. Le nombre de décès va donc naturellement augmenter fortement pendant 30 ans. Tous les démographes le savent depuis longtemps.

On doit compter les décès standardisés par âge

Pour comparer des choses comparables, il faut prendre en compte cette évolution en utilisant la méthode reconnue par l’OMS et tous les instituts de statistiques (jusqu’en 2020 en tout cas) : les décès standardisés par âge. On observe alors que l’année 2020 est aussi mortelle que l’année 2015. L’année 2020 est la 6e année la moins mortelle de toute l’histoire de France. Si en nombre brut, il y a plus de morts en 2020 qu’auparavant, c’est parce que la population vieillit et pas à cause d’un virus. Cette situation est la même pour la quasi-totalité des pays Européens. Pour un certain nombre de pays (en beige pâle) 2020 est même l’année la moins mortelle de l’histoire. Au pire en Europe comme en Espagne, c’est juste une année relativement mortelle pour la décennie (voir la carte d’Europe au chapitre “La désorganisation organisée”).

Au passage, si on fait l’exercice de mettre tous les pays européens sur la même échelle de décès, ici ils sont standardisés selon la population française de 2020, on remarque qu’au sein de chaque pays, les variations d’une année sur l’autre sont relativement faibles. L’année 2020 est pour chaque pays en bas du graphique, donc une année de faible mortalité. En revanche les différences ente pays sont énormes. A population égale, la Bulgarie a deux fois plus de morts que le France ! Ce qui impacte réellement la mortalité n’a rien à voir avec des phénomènes épidémiques. C’est le niveau de pauvreté et l’accès aux soins qui sont déterminants. Un organisme comme l’OMS devrait uniquement se préoccuper de ces aspects s’il voulait réellement améliorer la santé des gens. Dommage que ça ne rapporte pas d’argent.

Covid: à peine 2% des hospitalisations en 2020

Donc pas d’hécatombe en 2020. Passons aux hospitalisations. En France, l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation a sorti deux rapports sur les hospitalisations en 2020. Nous y avons découvert que contrairement à ce que la propagande médiatique nous a fait croire pendant des mois, l’activité Covid-19 n’a représenté que 2% de l’activité hospitalière en 2020. C’est ridicule. Elle a représenté 11% des morts à l’hôpital, tout simplement parce qu’en France, 1 personne âgée sur 2 décède à l’hôpital. Un certain nombre de personnes âgées hospitalisées ont été cataloguées Covid-19 en 2020.

Même au maximum du pic de mars-avril 2020, l’activité covid-19 n’a représenté que 7,6% de l’activité. Et encore, dans un contexte où les hôpitaux ont été à moitié vidés pour laisser la place au soi-disant « raz-de-marée » de patients Covid-19 prévus. Et qui ne sont pas venus.

Au niveau régional, le record de déclarations Covid-19 est pour l’Ile-de-France avec 2,2% seulement. On note juste qu’il y a une adéquation parfaite entre la part de Covid-19 déclarée et la sous-activité. Plus les hôpitaux sont proches du pouvoir et plus ils déclarent de Covid-19 et moins ils soignent.

Où est le raz-de-marée, la peste noire?

Même les réanimations sont restées vides. Les hôpitaux ont déclaré une surutilisation de 10% par rapport à l’habitude, alors que les capacités avaient été doublées en requalifiant d’autres lits en réanimation. Ces lits requalifiés sont donc majoritairement restés vides.

Nous savons donc que le « raz-de-marée » de malades Covid-19 n’était pas à l’hôpital. Il n’était pas non plus dans les cabinets médicaux. Regardons le nombre de malades Covid-19 déclarés par les médecins. L’incidence relevée par les médecins généralistes est toujours restée ridiculement faible (ce sont les courbes rouges autour de 100 malades pour 100 000) au regard des grippes habituelles (autour de 800 malades pour 100 000).

Donc pas d’hécatombe nulle part, pas de saturation hospitalière, mais au contraire, une sous-utilisation, et pas de malades chez les médecins. Où est la pandémie mortelle ? Comment a-t-on pu faire croire à ce scénario ?

La prise en main du comptage

Commencer à compter les choses, c’est leur donner une existence

L’histoire du Covid-19 a démarré fin 2019. L’OMS nous raconte qu’une «nouvelle pneumopathie» d’étiologie inconnue a été constatée chez 44 malades. 44 malades dans un pays d’1,5 milliard d’habitants dont on a une idée du niveau de pollution et de pauvreté. D’ailleurs à cette période, Wuhan enregistre de très forts taux de pollution aux particules. On devrait donc s’attendre à trouver des personnes souffrant de problèmes respiratoires. La logique voudrait de ne pas créer de psychose. Pas pour l’OMS.

Le 7 janvier la séquence d’un nouveau coronavirus est diffusée. Une équipe de chercheurs chinois annonce alors avoir trouvé la « cause » de la maladie.

Pas de quoi lancer une panique mondiale. Et pourtant…

La méthodologie est expliquée dans un article du journal Nature. L’équipe explique avoir récupéré du liquide de lavage broncho-alvéolaire chez un patient de 41 ans malade, et avoir lancé des RT-PCR multiples pour faire du séquençage. Ce procédé mériterait un examen en détail pour relever toutes les incertitudes et discussions possibles sur chaque étape. Contentons-nous de considérer que, comme toute méthode, elle possède sa part d’incertitudes. Cette méthode permet d’identifier des morceaux de séquence ARN ou ADN présents dans un échantillon.

56 millions de séquences ont été identifiées. Elles ont été passées dans 2 logiciels réalisant chacun 2 étapes : enlever les séquences attribuées au patient à toutes les séquences déjà connues, puis recoller les séquences restantes pour former la chaîne d’un nouveau virus. Les 2 logiciels utilisés ne sont pas d’accord entre eux. Le logiciel Megahit a formé une séquence de 30 000 nucléotides qui a pu être appelée « SARS-COV-2 ». Le logiciel Trinity considère que la séquence n’existe pas dans l’échantillon. A ce stade nous avons donc 44 patients malades d’étiologie inconnue et une séquence qu’un seul logiciel déclare avoir trouvée sur un seul malade. Cette séquence n’a pour le moment jamais prouvé être un pathogène. Il n’y a pas de lien statistique montré entre la séquence et la maladie, et donc encore moins de causalité. Rationnellement, on semble assez loin de pouvoir lancer une panique mondiale. C’est pourtant ce qu’il se passe.

Changement de définition: la grippe disparaît des comptages…

Très vite le 23 janvier est publié un protocole validé dans la foulée par eurosurveilance pour tester des gens et trouver le virus du « SARS-COV-2 ». Ce protocole a le bon goût d’arranger financièrement ses commanditaires, tout en détectant un maximum de « SARS-COV-2 » partout.

En France, les définitions des maladies changent. Auparavant les maladies hivernales étaient appelées «grippes». A partir de mars 2020 elles sont appelées «infections respiratoires aiguës», ce qui permet de piocher dedans pour attribuer les malades au Covid-19.

D’ailleurs, depuis le changement de définition, la grippe disparaît des comptages.

…de même que les bronchites, pneumonies, etc.

A l’hôpital, arrive la nouvelle arnaque au comptage. Il faut savoir que chaque patient se voit attribuer un code en arrivant. Ce code fait partie d’une nomenclature appelée Classification Internationale des Maladies (CIM-10). Elle est tenue par l’OMS. Fin janvier 2021, et pour la première fois de l’histoire, l’OMS a créé un code d’urgence : U07.1 maladie respiratoire à coronavirus Covid-19. Grâce à ce code, tout malade d’infection respiratoire va pouvoir être comptabilisé comme Covid-19. D’ailleurs l’ATIH prévient de n’utiliser que ce code, même lorsque la Covid-19 n’est pas confirmée par test.

Cela n’a d’ailleurs pas raté, toutes les bronchites, pneumonies, bronchopneumopathies, bronchiolites, tuberculoses, grippes, semblent avoir disparu, au profit du code d’urgence Covid-19.

La désorganisation organisée

Confinements: la «stratégie du choc»

Nous venons de voir la prise de contrôle des statistiques début 2020. Elle a eu lieu en même temps que la propagande médiatique permettant de préparer les esprits. La bascule dans la psychose et le totalitarisme sanitaire a lieu à mon sens à l’annonce des premiers confinements. Le confinement général est un choc, au sens de « La stratégie du choc » de Naomi Klein. Il place les gens dans un état de sidération et empêche toute contestation. En toute rationalité, chacun peut se dire que si l’Etat prend des mesures aussi drastiques, c’est forcément que la situation est très grave. Le confinement est un révélateur de l’adhésion du gouvernement à la propagande de l’OMS et révèle bien souvent le début de la désorganisation complète du soin au profit de l’histoire racontée.

En étudiant la soi-disant première vague Covid-19 de mars-avril 2020 en Europe, j’ai été surpris de constater que seulement 9 pays sur 35 ont une surmortalité visible sur la période. Il n’y a aucune logique géographique à ces pays. L’histoire de la pandémie qui se répand partout a de sérieuses lacunes. Par exemple, la Belgique a suivi depuis le début le narratif Covid-19 et présente, en effet une forte hausse du nombre de décès (seulement des personnes âgées) fin mars 2020 en plein confinement. La France a le même profil. A contrario son voisin l’Allemagne qui n’a pas confiné et a misé sur des mesures de recommandations n’a aucune hausse de mortalité significative.

Discours qui fait peur – discours qui rassure

Nous pouvons faire le même constat entre l’Espagne et le Portugal. En Espagne, 12 000 décès de personnes âgées sont suspects. La presse a rendu publique la découverte par les militaires espagnols après le confinement, de dizaines de maisons de retraite entièrement désertées par les personnels, laissant les plus âgés mourir dans leur lit. Il est public que ce n’est pas le virus qui a tué les plus âgés espagnols, mais la peur. Au Portugal, il y a également eu un confinement, mais avec une autre stratégie, dont des annonces du gouvernement pour renforcer les moyens hospitaliers. D’un côté un discours de la peur, de l’autre un discours qui rassure. Deux pays, deux ambiances, deux résultats.

Le même constat se fait au sein des pays. La France métropolitaine est découpée en 96 départements. Sur ces 96, seuls 15 ont une hausse de mortalité significative en mars-avril 2020. On peut voir ici la différence entre la région Île-de-France autour de Paris et la région Nouvelle-Aquitaine au Sud-Ouest. Plus on est proche de la capitale et donc du pouvoir, là où se trouvent les décideurs, les plus acharnés du narratif, et plus il y a de morts.

Pas un problème de virus tueur… mais de stratégie tueuse

L’institut de la statistique français décline les décès selon le lieu de décès. Les Français décèdent soit à domicile, soit à l’hôpital, soit en maison de retraite. J’ai récupéré les statistiques de décès et je les ai comparées aux morts déclarés Covid-19 sur ces 3 lieux. A domicile personne n’est déclaré mort du Covid-19. On a pourtant une augmentation forte du nombre de décès sur la période. A posteriori les autorités et instituts français ont attribué ces morts au Covid-19. Pourtant les rapports officiels de l’ATIH nous montrent que pendant cette période les hôpitaux étaient déserts, en particulier les urgences. Il manque sur la période 5 000 personnes aux urgences cardiaques et AVC par rapport à d’habitude. Soit exactement la surmortalité. Ce que l’on mesure ici n’est pas le virus, mais l’abandon de soin.

En France, plus d’une personne sur deux décède à l’hôpital. L’hôpital est le lieu principal de la fin de vie avec 1000 décès par jour. On observe qu’en mars-avril 2020, une grosse partie des décès habituels est attribuée au Covid-19. Faisant croire à une hécatombe alors qu’il s’agit de la vie normale en majorité. C’est là qu’interviennent les fameux codes d’urgence Covid-19. La surmortalité hospitalière est de 7 000 personnes, alors que 14 000 sont attribuées au Covid-19. Il reste quand même un surplus visible, mais dont nous savons l’origine : le Conseil Scientifique français (qui conseille le gouvernement) a publié un article montrant que 6000 personnes déclarées décédées du Covid-19 à l’hôpital sont mortes dans les 3 premiers jours. Dont 3000 le jour même de leur arrivée. Cette étude révèle juste que la stratégie d’interdire aux gens de consulter un médecin en cas de symptômes, de laisser la situation s’aggraver jusqu’à ne plus pouvoir respirer, a tué plusieurs milliers de personnes. Il n’y a pas de problème d’un virus tueur, mais d’une stratégie tueuse.

5000 personnes tuées au Rivotril

Enfin dans les maisons de retraite intervient le pire. Quasiment toutes les personnes âgées décédées sur la période ont été déclarées Covid-19. La stratégie sur la période en France était qu’en cas de soupçon Covid-19, la personne était déclarée non soignable et devait être placée en soins palliatifs avec des tranquillisants. Cette stratégie a été mise en place dans tellement de pays qu’il y a eu une pénurie mondiale de midazolam. En France, une loi d’urgence a été votée pour remplacer ce produit par du clonazépam commercialisé sous le nom de Rivotril. En comparant le nombre de boîtes de Rivotril injectables à ce qui est vendu d’habitude, et en considérant qu’il suffit de 2 ampoules pour « accompagner » un décès, on estime que 5000 personnes ont bénéficié de cette mesure. 5000 personnes c’est exactement la surmortalité en maisons de retraite. Il n’y a pas un virus tueur, il y a des personnes âgées qui ont été déclarées mortes avant de l’être.

Le moteur de la fraude : les tests

L’épidémie sans malades

Nous avons vu qu’il a été possible de déclencher une panique mondiale sans même avoir besoin de prouver l’existence d’un pathogène. Il a suffi qu’un laboratoire déclare avoir reconstruit une chaîne ARN à partir de liquide prélevé sur un patient, et qu’il déclare que cette chaîne était responsable d’une quarantaine de pneumopathies en Chine. La suite est une succession de surveillance et d’accusation des malades de propager la maladie sans jamais le prouver. Les parcours de soins ont été désorganisés, les malades habituels ont été déclarés Covid-19 et insoignables. Les plus anciens ont été abandonnés ou au mieux placés en soins palliatifs. Les tests RT-PCR, qui sont positifs dans beaucoup de cas, font le travail d’entretien de la psychose sans même avoir besoin de trouver des malades. Les nombreux bien-portants sont déclarés asymptomatiques, en totale contradiction avec le 2e postulat de Koch dans sa version moderne : La séquence nucléique du micro-organisme ne doit pas être retrouvée (ou rarement) chez des individus indemnes.

Vaccin ciblant tout le monde et pas seulement les plus âgés

La supercherie des tests est indispensable à toute la stratégie de contrôle de la population et surtout à la stratégie vaccinale depuis le début. Pour s’en rendre compte, il suffit de lire les études de phase 3 de Moderna et Pfizer. Les 2 études sont construites exactement de la même façon. Pour commencer, ces études comportent une majorité de personnes de moins de 65 ans. Cela signifie que les laboratoires savent déjà que leurs vaccins ont pour finalité d’être distribués à toute la population et pas seulement aux plus âgés. Mais surtout, la soi-disant efficacité des vaccins n’est pas basée sur des résultats cliniques, sur le fait que les patients seraient moins malades, mais sur des résultats de tests.

Volontaires et testeurs savaient qui était vacciné ou non

Les 2 études portent d’ailleurs un biais monumental puisqu’elles sont en “observer-blinded”. Les vaccins et placebos administrés n’avaient pas la même couleur, de sorte que tout le monde pouvait savoir qui avait reçu le vaccin miracle (et se croyait protégé) et qui avait reçu le placebo. Ensuite, les laboratoires n’ont pas organisé de tests réguliers. Ils ont juste recueilli les tests des volontaires lorsqu’ils y allaient d’eux-mêmes. Le biais est évident. Les vaccinés ont naturellement cru être protégés et avoir des effets indésirables des vaccins lorsqu’ils se sont sentis un peu malades, alors que ceux qui ont reçu le placebo ont plus souvent cru être malades du Covid-19 au moindre symptôme. Ne pas contrôler le nombre de tests tout en influençant les volontaires en leur laissant savoir le produit qu’ils reçoivent est une fraude grossière.

Nous savons en plus qu’au moins un des laboratoires de Pfizer a triché en décourageant les vaccinés de se faire tester. En toute logique, il suffit de savoir qu’un seul laboratoire a fraudé pour invalider l’ensemble des résultats. Non seulement le biais est énorme, mais en plus ils ont triché. D’ailleurs au final, il y a eu dans chaque essai autant de morts voire plus du côté des vaccinés que du côté des placébos. Et encore, c’est en faisant semblant de croire que tous les morts des volontaires initiaux ont bien été rapportés et pas masqués en les considérant sortis de l’étude.

Tests: la clé pour forcer la vaccination et faire croire que les vaccins marchent

Le biais du test a été mis en place dès les études de phase 3. On sait dès leur lecture que les vaccins seront imposés à toute la population et que les tests seront la clé pour imposer la vaccination et faire croire que les vaccins marchent. Il faudra pour cela s’assurer que les non-vaccinés se testent bien plus souvent que les vaccinés, soit mettre en place un passe sanitaire. Pour bien comprendre ce biais, prenons l’exemple d’une population vaccinée à plus de 80%. Nous avons 200 non-vaccinés et 1000 vaccinés. Un passe sanitaire est mis en place de sorte que 8 non-vaccinés sur 10 se testent alors que seulement 1 vacciné sur 10 se teste. Cela fait 160 tests réalisés pour les non-vaccinés et seulement 100 chez les vaccinés. Supposons que le vaccin n’a aucun impact sur le taux de positivité du test. Il est de 10% dans chaque cas. Cela fait 16 tests positifs chez les non-vaccinés et seulement 10 chez les vaccinés. 16 tests positifs pour 200 fait un ratio de 80 pour 1000 chez les non-vaccinés alors que le ratio est de 10 pour 1000 chez les vaccinés. Voilà comment les autorités peuvent déclarer le vaccin efficace à 90 %, il suffit de tester plus souvent les non-vaccinés.

Ce biais a été reproduit dans toutes les études d’efficacité de tous les gouvernements. C’est le cas dès l’étude israélienne de Dagan et al. Toute l’équipe est pleine de conflits d’intérêts avec Pfizer, mais c’est surtout ce biais qui permet de faire croire à une efficacité. Ils ont en plus supprimé le résultat de tous les testés positifs dans les jours suivant la vaccination, afin de vraiment gonfler le résultat.

Le passe sanitaire fait exploser le nombre de non-vaccinés positifs

Le ministère de la santé français reproduit le même biais dans toutes ses études. Il n’y a aucun contrôle sur le nombre de tests réalisés par les vaccinés et non-vaccinés. Le vaccin fait donc semblant d’être efficace dès la mise en place du passe sanitaire.

On voit donc le nombre de tests positifs exploser en France chez les non-vaccinés à partir de la mise en place du passe sanitaire au 12 juillet 2021. Les non-vaccinés en rouge et ceux qui n’ont reçu qu’une seule dose en violet sont juste obligés de se tester pour accéder aux bâtiments publics et lieux de vacances. Il n’y a aucune épidémie virale en juillet 2021, juste une épidémie de tests, avec un biais pour faire croire à l’efficacité des vaccins.

Les instituts payés par le ministère de la santé ont également reproduit ce biais à chaque fois pour vanter l’efficacité vaccinale.

La soi-disant efficacité vaccinale s’est effondrée avec la fin du passe sanitaire.

Dès que le passe a été abandonné, les non-vaccinés n’ont plus été obligés de se tester. Les acharnés du test nasal sont les plus stressés de la population : les multiples vaccinés. Ils sont du jour au lendemain devenus majoritaires. Cela a fait croire à une baisse de l’efficacité vaccinale ou même une inversion, alors qu’il ne s’agit que du même biais, mais cette fois-ci à l’envers. Toute l’efficacité n’a jamais été qu’une fraude statistique. C’est la maîtrise du comptage qui créé l’illusion.

Pour finir, si nous regardons en France qui, depuis le début de la crise a été déclaré positif ou négatif après un test, et selon le fait d’être malade ou non, on obtient 4 catégories. Pendant tout 2021, le taux de positivité (rapportant le nombre de tests positifs au nombre total de tests) a rarement dépassé les 5 %. Il n’est donc pas possible sur la base de ces résultats d’être certains que la chaîne ARN recherchée par les tests était présente quelque part. Ces résultats positifs peuvent tout à fait provenir de l’erreur de mesure.

Appelés «asymptomatiques» pour gonfler le nombre de cas

En outre, durant l’année 2021, les personnes testées positives étaient majoritairement en bonne santé, on les a appelées pour le besoin de communication «asymptomatiques», remettant ainsi au goût du jour la célèbre formule du Docteur Knock «Tout bien portant est un malade qui s’ignore». Parallèlement, les «enrhumés» (symptomatiques) étaient en grande majorité testés négatifs ! Il n’y a donc aucun lien statistique entre le test et la maladie en 2021 et toute la positivité peut être mise sur le dos du hasard statistique.

Dès le début de 2022 les nouveaux protocoles de tests ont fait exploser le taux de positivité aussi bien chez les malades que chez les bien-portants. La positivité augmente par l’introduction de la recherche du « variant omicron » présent partout, et de l’abandon de la confirmation par test PCR en cas d’un test antigénique positif. On observe également qu’à partir du mois de novembre 2021, la part de personnes testées présentant des symptômes (avec des résultats positifs comme négatifs) augmente : quand arrive l’hiver, il y a plus de maladies respiratoires qu’en été. Que ferions-nous sans la science ?

Depuis le début, il n’y a aucun lien statistique entre le fait d’être malade et le fait d’avoir un test positif. Selon les postulats de Koch, les tests ne recherchent pas un pathogène, mais juste une séquence présente chez des humains. Les vaccins ne peuvent pas avoir le moindre intérêt puisqu’ils se basent sur une supercherie. Leur soi-disant efficacité ne repose que sur le biais créé et entretenu par le principe du passe sanitaire. Il faut et il suffit de faire tomber la croyance envers ces fameux tests pour faire s’effondrer la fraude politique, bureaucratique, médiatique sous couvert de science, qui nous régit depuis plus de 2 ans.

Lien entre surmortalité et campagnes de vaccination

(Covidhub) Dans la plupart des pays européens, les courbes de décès excédentaires (notamment chez les jeunes) explosent peu après les campagnes de vaccination, comme le montre l’exemple hongrois. A noter que la croissance de la surmortalité avant le début de la vaccination s’observe partout en Europe en octobre 2020, au moment d’une vaccination antigrippale massive. La Finlande et la Norvège, qui ont largement renoncé à cette dernière, n’ont en revanche pas connu cette “bosse” de mortalité à l’automne 2020.