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L’Islande arrête de vacciner contre le Covid

Une ex-cadre repentie de la pharma convainc tout un pays de l'inutilité et de la dangerosité des injections - qui ont été suivies par une hausse record de la mortalité.

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La fin de la vaccination covid s’est instaurée discrètement, après la tenue début octobre d’une conférence intitulée “Let the Science Speak” (Laissez parler la science) à Reykjavik, en Islande. Les orateurs y avaient parlé des dégâts liés aux injections Covid et de la prise de pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé.

Sasha Latypova, une ancienne cadre de l’industrie pharmaceutique, avait alors expliqué comment toutes “les contre-mesures ou vaccins covid” ont été créés, produits et distribués dans le contexte d’un programme militaire secret, contournant toutes les étapes des procédures normales de fabrication. Les orateurs avaient également démontré, chiffres à l’appui, que la vaccination en Islande est tout simplement un coup d’épée dans l’eau. Six semaines plus tard, les organisateurs de la conférence ont annoncé qu’à fin novembre, les injections Covid ne seraient plus disponibles en Islande.

Comme n’importe quelle grippe

Voici ce qui est paru dans la presse Islandaise :

Selon Ragnheiður Óskar Erlendsdóttir, directrice des soins infirmiers du service de santé de la région de la capitale, les infections respiratoires ont connu une forte augmentation ces derniers temps.

“Nous avons constaté une affluence considérable pour les consultations”, dit-elle. Les patients se déclarant malades, il est clair que le covid-19 est très répandu dans la société, au même titre que d’autres fléaux.

Le covid s’assimile maintenant à n’importe quelle autre grippe, mais comme pour les autres grippes, nous voudrions demander aux gens de faire une pause lorsque les symptômes sont graves et de pratiquer la prévention des infections.

Depuis le 18 octobre, les personnes âgées de 60 ans et plus et les personnes souffrant de maladies sous-jacentes peuvent se faire vacciner contre la covidie et la grippe, mais Ragnheiður affirme que l’affluence a été modérée.

Grande nervosité officielle

L’experte a savouré cette victoire personnelle dans une de ses lettres.

Il y avait plus de 200 personnes dans une salle de conférence bondée et plus de 300 personnes en direct … C’était une grande participation pour un événement sur un sujet qui est fortement censuré… Même les médias traditionnels se sont montrés brièvement. Peu importe. Tout le monde se connaît dans ce petit pays, et on nous a dit que les hauts fonctionnaires étaient devenus extrêmement nerveux. Et là, six semaines plus tard j’en croyais à peine la nouvelle ! Un journaliste local qui a passé quelques coups de fil m’a informée que personne ne peut expliquer pourquoi les injections covid ne sont plus proposées. C’est comme si le gouvernement était en train de murmurer tous bas pour éviter de parler. Apparemment, si l’on insiste vraiment, on peut toujours se faire vacciner… dans une seule pharmacie du pays. Et encore,  il faut venir avec quatre amis, car il y a  5 injections par flacon et il ne faut pas les gaspiller! Jusqu’à preuve du contraire, je déclare qu’il s’agit d’une victoire. Nous avons gagné en Islande!

Il n’y a jamais eu de pandémie en Islande

Mais, l’experte ajoute que cette victoire intervient après les dégâts considérables causés à 80 % de la population :

Islande: mortalité excédentaire toute causes confondues

Ce graphique extrait de World in data montre parfaitement qu’il n’y a jamais eu de pandémie en Islande et que toute la surmortalité s’est produite après l’introduction des vaccins.

La scientifique épilogue :

Le monstre n’admettra pas qu’il a perdu. Il va balayer l’affaire sous le tapis, en faisant de petites annonces obscures qu’il espère que personne ne remarquera, comme il le fait en Islande et ailleurs – par exemple en Australie.

Ils prétendront que de courageux agents de santé publique ont lutté contre la peste. Qu’il ont certes fait quelques bêtises, mais que c’était le mieux que ces idiots aient pu faire. Ils prétendront qu’il y a eu une “audition” sur la façon de prévenir les pandémies futures – qui ont toujours été truquées.

Ils n’admettront en aucun cas que les lois en vigueur aux États-Unis et dans l’UE permettent un génocide de masse de la population par le gouvernement en toute légalité, tant qu’ils appellent ce poison biochimique qui est imposé à tout le monde une “contre-mesure de l’Union européenne dans le cadre de l’urgence de santé publique”.

C’est pourquoi ils veulent que vous croyiez aux pandémies, ou du moins aux épidémies, et en particulier au conte de fées selon lequel des virus artificiels représentant un réel danger pour des millions, voire des milliards de personnes, et peuvent être facilement fabriqués par des étudiants dans des garages à l’aide de composants achetés sur Amazon.

Mais vous n’avez pas le droit d’accuser le Centre de recherche sur les virus (“VRC”) des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (“CDC”) d’avoir fabriqué un poison biologique et de l’avoir appelé “vaccin” parce que les scientifiques du CDC VRC sont à la fois bons et stupides – ils ne verraient jamais comment cela est possible…

Pour suivre Sasha Latypova sur sa Lettre Substack

Conférence Let The Science Speak