Les pluies diluviennes et inondations espagnoles récentes ont été tellement soudaines et spectaculaires, et l’apathie des pouvoirs publics tellement patente, qu’elles soulèvent de nombreuses questions au-delà de leur explication officielle.
De surcroît, certaines similitudes avec les catastrophes récentes causées par l’ouragan “Helen” aux États-Unis, mais également les incendies spectaculaires de Lahaina à Hawaï en 2023, ajoutent aux interrogations.
Dans tous ces cas, des observateurs sérieux ont allégué que ces catastrophes auraient été volontairement produites par des expériences dites de “géo-ingénierie”, dont l’objectif serait de convaincre l’opinion que le dérèglement climatique ainsi causé serait effectivement dû à un réchauffement de l’atmosphère; et contre lequel les solutions se trouvent toutes prêtes, sous forme notamment d’un impôt mondial sur le gaz carbonique.
Nous incluons ci-dessous la vidéo récente de nos confrères de Nexus, qui couvre tous ces points, et qui en fait un exposé intéressant de 27 minutes.
La question est ainsi posée: est-ce que les expériences d’ensemencement des nuages au Maroc, reconnues et avérées, auraient pu jouer un rôle? Rappelons que l’ensemencement de nuages a déjà été soupçonné d’avoir causé de graves inondations à Dubaï, et que les soupçons avaient été tellement persistants que les médias de masse s’étaient sentis après les faits obligés de citer des experts pour le nier.
Au minimum, si on n’admet pas que les inondations espagnoles aient pu être délibérément provoquées, peut-on se demander si l’élimination de certains barrages aurait favorisé la catastrophe, et qu’une telle catastrophe sert le pouvoir mondial et ses projets pour l’humanité? Ou alors, que les avertissements aient été volontairement ignorés par la région de Valence, pour les mêmes raisons?
Pour alimenter le débat, voici donc la vidéo de Nexus, qui contient des opinions et des positions qui n’appartiennent résolument pas à l’orthodoxie.
Bonjour,
Je ne comprends pas cette focalisation sur les barrages et non sur les problèmes les plus importants comme l’urbanisation induisant la destruction des espaces (semi) naturels, sans oublier le recalibrage et/ou détournement de cours d’eau.
Ces écosystèmes jouent différents rôles comme zone d’expansion de crue (retard du pic de crue), lutte contre le ruissellement, microclimat…. .
Cependant, même s’il y avait tout cela, tout hydrosystème arrive un moment à saturation, même en bon état.
Durant plus de huit heures, ce sont près de 500 litres au mètre carré qui sont tombés, une intensité exceptionnelle correspondant à un an de précipitations. (Source : https://www.climato-realistes.fr/a-propos-des-inondations-catastrophiques-de-valence/).
Aussi, pour avoir un moulin, les vannes sont ouvertes dans ces moments là afin d’éviter que l’amont n’inonde et surtout éviter un risque de rupture !
Bonne journée et bonne continuation
Jessica