Aidez-nous à poursuivre notre mission en 2025! Objectif de notre financement participatif: 144'000 chf (150'000 €) - 67.77% atteints

Les incontournables pour repenser le monde #1 La pandémie

Partager

L’été est toujours le meilleur moment pour se ‘re-créer’. Cet instant où l’on prend une pause, invite à réfléchir à la vie, tout en se faisant plaisir. C’est aussi l’occasion de découvrir de nouveaux intérêts ou de rattraper ce que l’on a manqué pendant l’année. Chaque semaine Covidhub vous offre un éclairage sur une thématique actuelle en vous proposant une sélection de films, de documentaires et d’entretiens à découvrir ou à revoir.

Parmi les sujets incontournables, il y a bien évidemment un retour sur la pandémie et l’approfondissement de différentes questions sur les vaccins ou la transformation du système monétaire.  Ensuite, l’on trouvera de quoi régaler les passionnés de la controverse, du fact-checking et de la manipulation de l’information.

Tout cela conduit naturellement à penser l’avenir en tenant compte des développements de l’intelligence artificielle et du transhumanisme, selon des visions du monde utopiques ou orwelliennes.

Enfin, l’on ne saurait se passer d’évoquer la bataille entre le contrôle de l’esprit et sa libération. La clé de notre futur tiendra sans doute dans notre capacité à renouveler notre regard sur la conscience, l’amour, la vie et l’au-delà.

Voilà tout un programme pour continuer à s’informer et se préparer à la rentrée. Alors, profitez de cet été pour regarder ce que vous avez manqué, relancer la controverse lors d’une soirée entre amis ou, tout simplement, satisfaire cette envie insatiable d’en savoir encore plus…

Pandémie ou plandémie ?

Certains l’auraient anticipée. D’autres affirment s’être éveillés en cours de route. Et nombreux sont ceux qui pensent toujours que tout cela n’est qu’un fantasme devant quelques réactions opportunistes à une situation d’urgence.

Parler de ‘plandémie’ paraissait impensable il y a trois ans. L’est-ce toujours autant ? Les premiers à s’être risqués à dénoncer les abus de pouvoir imposés au nom de l’urgence sanitaire ont été lapidés sur la place publique. Ils avaient raison sur certains points et peut-être tort sur d’autres. Une chose est certaine : ces lanceurs d’alerte ont eu le courage et le mérite de chercher du sens critique et de la transparence, là où la censure interdit désormais la réflexion.

Aujourd’hui, le fait que la plupart des mesures d’exception se pérennisent dans des législations internationales (dont l’objectif serait d’accroître le contrôle des populations), leur donne en partie raison.

Il reste donc très intéressant de revoir, d’approfondir et de diffuser les documents qui révèlent et analysent cette planification de la pandémie afin d’avertir un public plus large et de comprendre vers quoi le monde pourrait se diriger.

La série  ‘Covid non-censuré’ qui fait le bilan des 3 années Covid et de sa ‘doxa’ est à suivre durant tout l’été. En 8 semaines et 40 épisodes quotidiens de 10 minutes chacun, Jean-Dominique Michel revisite les informations diffusées par les autorités et les médias à la lumière des données officielles et des études scientifiques indépendantes.

A côté de cela, un parcours des films et documents déjà parus reste particulièrement instructif et permet aussi de placer les choses dans un contexte plus large.

Ce qui s’est passé près de chez nous

Premier film à avoir véritablement questionné la politique gouvernementale en réponse à la pandémie, à sa sortie en 2020, le documentaire Hold-Up avait provoqué un véritable tsunami dans la presse et sur les plateaux télé. Son réalisateur, le journaliste Pierre Barnérias, avait été victime d’un lynchage médiatique féroce de la part de ses confrères et les montants obtenus via un financement participatif (crowdfunding) pour sa production avaient été confisqués. Malgré une censure et des attaques constantes encouragées par le gouvernement français, le film dépassa pourtant le million de vues.

Présentés par une équipe d’anciens journalistes des grands médias, les deux épisodes suivants, Hold On (début 2022), et Hold-Out (avril 2022) poursuivent l’enquête, en n’hésitant pas à s’aventurer sur des terrains risqués : le contenu suspect des vaccins, la qualité anormale du sang des vaccinés, les magouilles politiques et même les témoignages de ceux qui opèrent tels de véritables ‘commandos’ secouristes.

Entre témoignages édifiants, preuves matérielles sérieuses et spéculations avancées, de nombreux sujets de la série donnent matière à controverse, y compris parmi les voix qui s’écartent de la doxa scientifique. Mais cette trilogie reste ‘à voir absolument’, car elle offre un panorama des questions auxquelles il faut impérativement répondre pour restaurer la confiance du public face à un discours médiatique et institutionnel univoque, généré en vase clos.

La collaboration entre gouvernements et médias

C’est aussi cette collusion entre le gouvernement et les médias dans le traitement de la crise sanitaire qui avait poussé le belge Bernard Crutzen à réaliser Ceci n’est pas un complot pour analyser :“Ce qu’ils disent, comment ils le disent, et ce qu’ils taisent…avec une attention particulière à la notion de ‘complot'”.

L’opus avait également été complété l’année suivante par un deuxième volet intitulé La loi, la liberté dans lequel l’auteur avait rendu ce constat amer: «Ceci n’est plus une crise sanitaire». Bien qu’il ait également réalisé plusieurs émissions diffusées sur des chaînes publiques et malgré un ton plus modéré que celui de son confrère français, le journaliste n’avait pas non plus réussi à percer le mur de la censure et des accusations ‘complotistes’.

Toujours fin 2020, Mal Traités d’Alexandre Chavouet avait aussi été parmi les premiers documentaires à révéler avec moults détails la manipulation pour gonfler les chiffres des décès attribués au Covid et surtout, la dérive des protocoles imposés par le ministère de la santé en interdisant aux médecins de soigner leurs patients.

Le regard international sur un ‘coup d’Etat mondial’

Mais c’est sans doute le discours de l’avocat Robert F. Kennedy Jr à Berlin, le 29 août 2020, qui a véritablement lancé l’idée d’un coup d’Etat planétaire sous couvert de mesures de réponse à l’urgence sanitaire. S’adressant à plus d’un million de manifestants venus de toute l’Europe, en dépit des tentatives pour interdire la manifestation et diffuser la nouvelle de son annulation, le neveu de l’ancien Président avait dénoncé la mainmise des oligarques sur l’économie et la politique mondiale par le biais de la pandémie. Traduites dans des dizaines de langues, les paroles de celui qui est aujourd’hui candidat à la présidence américaine avaient fait le tour de la planète, avec plusieurs dizaines de millions de vues sur les réseaux sociaux.

Cette prise de conscience fut également le moteur de l’écriture d’un volumineux ouvrage dénonçant la collusion entre les agences de santé, l’industrie pharmaceutique et le complexe militaire américain dans leur instrumentalisation de la santé à des fins lucratives et géopolitiques. Paru en 2021, le livre Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma : leur guerre contre la santé publique et la démocratie  a exposé des décennies d’ingénierie politique et derrière les simulations de diverses pandémies, identifiant les acteurs et les programmes qui tirent bénéfice de la situation actuelle. Tout en ayant été totalement passé sous silence dans les médias, le livre fut un best-seller immédiat, et atteint plus d’un million de copies vendues en quelques mois.

Fin 2022, un documentaire du même nom (1ère et 2ème partie en FR) en a repris les principaux éléments, afin de faciliter la diffusion de ce volumineux ‘acte d’accusation’.

La série Plandemic d’une virologue américaine

A ce coup de gueule d’un homme dont la vie a été marquée par les coups d’Etat, s’est aussi ajouté celui de nombreux lanceurs d’alerte, dont la virologue Judy Mikovits qui a très tôt questionné les thèses officielles de l’origine du virus.  Le 1er épisode de la série Plandemic dans lequel la scientifique dénonce un agenda criminel impliquant le ‘monsieur santé de l’Amérique’ Anthony Fauci a fait l’objet d’une véritable guerre entre les algorithmes de censure et les internautes, ces derniers passant leur temps à télécharger et republier le document sur toute la surface du net.  Cette bataille médiatique a ensuite été relatée dans Plandemic 2, qui s’est aussi attaché à montrer la collusion entre les différents planificateurs de la pandémie, dont Bill Gates à la tête de l’OMS, Klaus Schwab et les principales personnalités du Forum économique mondial.

Peu à peu, les divers éléments du Grand Reset ont laissé paraître une volonté de plus en plus manifeste et déclarée de s’emparer de tous les domaines de la société pour créer  un ‘gouvernement mondial de la santé’. La série de James Corbett sur Bill Gates a permis de comprendre comment un personnage ultra-puissant tel que ce milliardaire dit philanthrope est parvenu à faire converger ses différents domaines d’influence (OMS, vaccins, surveillance, contrôle de l’identité, de la nourriture etc.) dans un agenda de domination planétaire présenté sous forme d‘objectifs de développement durable.

De son côté, le film espagnol The Big Reset livre une illustration intéressante du fait que des stratégies et récits similaires sont observés partout dans le monde.

C’est aussi ce qui transparaît des multiples entretiens menés durant plus de deux années par James Patrick dans la série Planet Lockdown. L’une de ses premières vidéos et sans doute l’une des plus éclairantes était celle de l’économiste américaine Catherine Austin Fitts, qui avait dès la départ dénoncé comment le ‘grand reset économique’ de la pandémie avait été impulsé dès août 2019 par un plan de Blackrock présenté à la réunion des banques centrales à Jacksonhole. Explorant la pensée d’économistes, d’avocats, de scientifiques, de princes, prélats et libertaires, James Patrick a livré une série de réflexions originales qui ont finalement abouti à la réalisation du film Planet Lockdown reprenant les moments les plus significatifs de la série.

Plus jamais ça, le grand réveil

Force est de constater que les trois années de pandémie ont donné lieu à des politiques de répression inédites depuis la guerre. Si la France avait déjà initié des violences d’Etat contre une partie de sa population durant les manifestations des gilets jaunes, la brutalité orchestrée et démontrée par la plupart des gouvernements en place, s’est malheureusement fait sentir de façon inquiétante.

L’arsenal déployé le 1er avril 2021 à Bruxelles pour punir des adolescents qui s’étaient rassemblés pour un après-midi de ‘boum’ paisible au parc, après une année de restrictions et de confinements, restera gravé dans la mémoire des belges. Au cours de l’année 2021, les manifestations se sont déployées dans une coordination mondiale avec les World Wide rallies et les World Wide Demonstrations, dont quelques souvenirs ont été repris dans le documentaire The Pushback. Mois après mois, les scientifiques, médecins, journalistes et lanceurs d’alerte se sont succédés dans des zooms hebdomadaires pour réinformer et rassembler le public. Les séries du Conseil scientifique indépendant, de l’IHU de Marseille, l’Info en question, les sessions d’enquête de l’avocat Reiner Fuellmich, les colloques des Doctors for Covid Ethics et tant d’autres, ont permis d’élargir la compréhension des événements en cours de manière tout à fait remarquable.

Trois ans plus tard, l’heure est au bilan. Vera Sharav, rescapée des camps de concentration et doyenne des militants pour la liberté et le respect du traité de Nuremberg, sort une série aussi choquante qu’édifiante : Never Again is Now Global ou Plus Jamais ça, c’est maintenant et mondial établit le parallèle incontestable entre la montée du nazisme et les dérives totalitaires initiées sous prétexte de réponse à l’urgence sanitaire.

La censure d’un colloque sur les dérives totalitaires sur l’enfance à Paris en mai 2023 qui annonçait la sortie du film, ainsi que l’interdiction de sa présentation à Metz en juin dernier, constituent une mise en garde sérieuse. Même si le coronavirus a temporairement disparu des écrans et de l’attention publique la ‘plandémie’ poursuit son avancée vers un gouvernement mondial.

L’avènement d’une dictature est également le sujet central  de Plandemic 3 ‘Le grand réveil’, sorti il y a quelques semaines. Le film dénonce un ‘grand reset’ au parfum communiste, avec la connivence entre l’empire du milieu, le Forum économique mondial, l’OMS et l’Amérique de Biden tous adeptes des idéologies collectivistes. Que ce soit le politologue Edward Griffin, le psychologue Mattias Desmet ou des réfugiés du parti communiste, tous lancent l’alerte : la négation de l’individu au profit du bien commun est la rhétorique qui a permis l’ascension du nazisme, du communisme et de toutes les dictatures de la planète.

Peut-on et faut-il donc vraiment penser le retour de l’impensable ?

Dans un entretien récent pour Covidhub, Jean-Dominique Michel et Ariane Bilheran ont entrepris d’expliciter les mécanismes qui conduisent tant de ‘braves gens’ à basculer dans une déviance et à adhérer à la maltraitance imposée par des systèmes totalitaires. L’espoir est permis, comprendre offre en soi la possibilité de dépasser ce qui a été vécu et, espérons-le, de changer le cours de l’histoire.

A découvrir prochainement sur Covidhub : l’interview de Senta Depuydt à propos du plan mondial de la vaccination, et des mesures sanitaires planifiées par l’Union européenne plus d’un an avant la pandémie.