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Une étude allemande explique le crash immunitaire des vaccinés Covid

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Une étude allemande (Irrgang et al.) parue le 22 décembre 2022 dans Science Immunology, indique que le système immunitaire réagit d’une façon inattendue à l’injection répétée du vaccin Comirnaty de Pfizer. La proportion d’un certain type d’anticorps, appelé IgG4 et associé à une tolérance d’un agent étranger souvent allergène, augmente au fil des rappels Covid, au détriment des anticorps capables d’éliminer le virus ou la protéine spike vaccinale. Ceci a l’avantage d’éviter une sur-réaction inflammatoire mais augmente la charge virale de la protéine de pointe vaccinale, causant une plus grande contagiosité, une maladie plus longue et plus de dégâts sur les organes.

Covidhub vous invite à lire les articles listés dans les sources ci-dessous, dont voici quelques extraits qui résument les enjeux et qui devraient alerter les autorités sanitaires en plus haut lieu.

Les différents corps de notre «police immunitaire»

Parmi les anticorps, on distingue plusieurs classes d’immunoglobulines: IgA, lgD, IgE, IgG et IgM. Et parmi les IgG, il existe 4 sous-classes : IgG1, IgG2, IgG3 et IgG4. [1]

L’IgA s’occupe du virus dans le mucus, l’IgM réagit à l’infection en réduisant la charge virale, l’IgG3 se joint ensuite à la lutte et s’attaque à tout reste de virus caché, afin que votre organisme ne finisse pas par le tolérer en arrière-plan. Bien qu’ils ne représentent moins de 10% de notre masse d’anticorps, les IgG3 effectuent 42,2 % de la neutralisation des virus. [4]

Réponse inflammatoire gênante,voire dangereuse

Les IgG4 sont eux par exemple générées lors de thérapies visant à guérir une allergie par la confrontation répétée avec le produit allergène (pollen ou cacahuète par exemple.) Après plusieurs confrontations, les IgG4 apparaissent et « calment » le système immunitaire, qui apprend ainsi à tolérer l’allergène (plutôt qu’à se mobiliser pour l’éliminer) en déclenchant une réponse inflammatoire, gênante voire dangereuse. [1]

L’étude allemande a constaté que la proportion des IgG4 augmente au détriment de celle des IgG3 à chaque injection et plus la proportion des IgG4 est élevée, plus la gravité de la maladie et la contagiosité sont élevées. [2]

Seulement voilà : les éléments allergéniques du pollen ou de la cacahuète ne se reproduisent pas dans nos cellules ; et s’il est judicieux de calmer la réponse immunitaire dans le cas d’un allergène, la tolérance face à un virus capable de proliférer n’est pas nécessairement une bonne idée. [1]

Les multi-vaccinés deviendraient plus accueillants à la maladie

Ce qui inquiète, donc, c’est l’hypothèse selon laquelle, au lieu de renforcer la lutte contre le SARS-CoV2, la stratégie de multiplication des injections — «boosters», «boosters bivalents» etc. — conduirait au contraire les personnes multi-vaccinées contre le Covid à devenir accueillantes pour la protéine Spike, ce qui permettrait au virus d’être mieux accepté dans l’organisme, de se reproduire plus facilement, de davantage contaminer l’entourage, et sans doute de provoquer des dégâts sur divers organes. La multiplication des doses modifie la nature des anticorps, et ce n’était pas prévu… [1]

Une étude américaine menée sur un groupe de 51 000 soignants suivis sur deux ans montre que ceux qui ont reçu trois doses ont 3.15 fois plus de risques d’avoir à nouveau le covid qu’un non vacciné. On sait pourquoi les effets indésirables s’emballent et les risques de tomber malade explosent. [2]

Une étude chinoise va dans le même sens

Le même jour que l’étude allemande d’Irrgang et al., est parue une étude chinoise de Gao et al. qui, par une autre méthode que le décompte des IgG4, a constaté sur des souris que la répétition de boosters de vaccins anti-Covid induisait une tolérance immunitaire. [1]

Même si cela ne suffit peut-être pas à constituer une preuve irréfutable, des commentateurs scientifiquement instruits voient dans cette réponse immunitaire un danger considérable pour la santé future des personnes vaccinées et des personnes qui les entourent. Il conviendrait que les autorités sanitaires prennent en compte cette information nouvelle, et mènent des études précises. [1]

Sources: