Une étude en pré-print de l’Université de Columbia évalue à 20 le facteur de sous-déclaration des décès post-vaccinaux dans la base de données de pharmacovigilance américaine VAERS. Ce qui veut dire qu’il y aurait en réalité 20 fois plus de décès que le nombre déclaré.
Cette estimation est congruente avec les connaissances accumulées en la matière.
Le VAERS (comme ses équivalents européens et suisse) fonctionne sur la base des déclarations spontanées des personnes concernées ou de leurs médecins en cas d’effet indésirable ou de décès. Avec pour conséquence une sous-déclaration très importante. Le taux de signalement est habituellement évalué à 2-5% des cas en la matière.
La pondération des données disponibles avec ce facteur 20 peut donner des chiffres imprssionnants:
- 434’900 décès pour les Etats-Unis (21’745 x 20)
- 720’000 pour la Communauté européenne (36’000 x 20)
- 3’840 pour la Suisse (192 x 20).
Autant de personnes qui, pour l’immense majorité d’entre elles, seraient encore en vie si elles n’avaient pas été injectées.
Rappelons qu’habituellement, les expérimentations médicales sur des produits, y compris les vaccins, sont arrêtées dès que quelques dizaines de décès suspects au plus sont signalés. C’est dire l’anormalité de la situation.
Refus des demandes d’indemnisation
Arborant une posture de déni, les “experts” autorisés avancent l’incertitude quant à l’imputabilité des décès aux injections géniques.
La Confédération helvétique, par exemple, fait usage de ce prétexte pour refuser toutes les demandes d’indemnisation des victimes d’effets indésirables graves, en avançant que le lien causal avec les injections géniques ne peut être prouvé.
Pourtant, les méthodologies d’imputabilité sont disponibles, il suffit de les appliquer.
Causalité directe dans 93% des cas après autopsie
D’après le Pr McCullough et ses équipes de recherche, on est ici au moins à 84% de causalité dans les décès post-“vaccinaux” signalés.
Les Pr Sucharit Kakhdi et Arne Burkhardtt, ayant procédé à des autopsies, arrivent pour leur part à une causalité directe dans 93% des cas.
Ce qui nous met face à une véritable hécatombe vaccinale : ce sont des millions de personnes qui auront été tuées à l’échelle mondiale – dont des jeunes et des enfants – pour une maladie anodine en-dessous de 65 ans (sauf en cas de comorbidités bien spécifiques).
Sources :
- Lien vers l’étude “COVID vaccination and age-stratified all-cause mortality risk” sur Researchgate (en anglais) : cliquer ici.
- Pour lire “Les demandes de dédommagement après le vaccin sont en berne” sur la Tribune de Genève : cliquer ici.
- Lien vers la publication “On COVID vaccines: why they cannot work, and irrefutable evidence of their causative role in deaths after vaccination” de Bhakdi et Burhardt (en anglais) : cliquer ici.